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Boire de l’eau ou une tisane pour couper les fringales

(Relaxnews) – Difficile de résister à la tentation d’un carré de chocolat ou d’un dessert sucré. Pourtant, chaque femme a son petit secret pour ne pas céder à la gourmandise.

D’après une étude réalisée par l’institut BVA pour Taillefine, 44 % des Françaises déclarent boire un grand verre d’eau ou une grande tisane pour ne pas craquer. D’autres préfèrent manger un yaourt nature ou un fruit (29 %) ou complètement oublier la nourriture en s’évadant avec un livre (16 %).

D’une façon générale, les femmes ont conscience d’être gourmandes et n’ont aucun problème avec ça. Près de la moitié des Françaises (46 %) affirment assumer cette gourmandise, et 36 % disent apprécier ces petits plaisirs tout en sachant se maîtriser.

Près d’un cinquième des sondées (18 %) avoue toutefois qu’il est difficile de ne pas craquer, malgré de longs moments de résistance.

La maison est le lieu où il est le plus difficile de résister à la tentation (77 % en première citation). Toutefois, les femmes ont également tendance à céder à la gourmandise au restaurant ou au travail (7 %).

Cette étude a été réalisée en ligne par BVA, entre le 20 et le 27 février dernier, auprès d’un échantillon national représentatif de 1000 femmes âgées de 18 à 65 ans.

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Encore trop de dépressions post-partum

Alors que la naissance d’un enfant représente souvent la réalisation d’un voeu précieux et de nombreux moments de pur bonheur en perspective, 10 % des femmes sombrent dans une dépression post-partum, et plusieurs d’entre elles ne seront jamais décelées, rapporte le site Top Actus Santé.

Cette dépression peut survenir peu après l’accouchement, mais aussi jusqu’à 1 an plus tard, alors que certaines femmes se sentent isolées avec leur bébé, sans trop savoir comment gérer tous les aspects de la maternité. En plus, la plupart des mamans dans cette situation n’osent pas parler de leur état et ne reçoivent donc pas l’aide nécessaire.

Or, il est maintenant fortement recommandé à toutes les femmes enceintes d’avoir un entretien prénatal précoce, dès le début du second trimestre de grossesse. Cet entretien permet de parler de tous les sujets voulus, rassurer la future maman et déceler un risque possible de dépression post-partum.

L’entretien prénatal précoce représente donc un bon espoir pour mieux combattre ce type de dépression. Cependant, le manque de personnel apte à recevoir les femmes pour un entretien et le fait que ce rendez-vous ne soit pas obligatoire, ou du moins bien ancré dans les habitudes de suivi de grossesse, sont deux points à travailler pour en augmenter l’efficacité.

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Le décès de son enfant peut être fatal pour la mère

Peu importe l’âge de l’enfant au moment de sa mort, ce pourcentage resterait le même pour les mères. En fait, ce chiffre ne serait pas non plus altéré par le revenu familial, l’éducation de la mère, la taille de la famille ou la cause de la mort de l’enfant.

Des études faites il y a quelque temps au Danemark avaient démontré que les parents, tant les pères que les mères, avaient plus de risques, suivant la mortalité de leur enfant, d’être hospitalisés pour la première fois pour un désordre psychiatrique que les autres parents.

Toutefois, les femmes étaient encore une fois plus susceptibles de se retrouver dans une telle situation que les hommes.

Rappelons que selon une étude publiée dans la revue The Lancet, les deux tiers des 8,8 millions de décès d’enfants de moins de cinq ans sont causés par une maladie infectieuse comme la pneumonie, la diarrhée ou le paludisme.

Cependant, près de la moitié de ces décès se produisent dans les pays en développement.

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Les troubles alimentaires touchent aussi les femmes plus âgées

Contrairement à la croyance populaire, il n’y a pas que les adolescentes qui peuvent être obsédées par leur poids et leur image; les femmes adultes aussi.
 
Une étude américaine parue dansl’International Journal of Eating Disorders mentionne que les troubles alimentaires guettent de plus en plus les femmes de 50 ans et plus.
 
Malheureusement, à cet âge plus avancé, les troubles alimentaires peuvent s’avérer être plus dommageables pour la santé des femmes.
 
62 % des plus de 50 ans ont dit que leur poids ou leur ligne avait un impact négatif sur leur vie, alors que 13 % des femmes de plus de 50 ans sont obsédées par leur poids au point de souffrir de troubles alimentaires comme l’anorexie, la boulimie ou le sport en excès.
 
1849 femmes ayant en moyenne 59 ans ont répondu à des questionnaires. 25 % étaient obèses, 29 % en surpoids, 42 % de poids normal et 2 % trop maigres.
 
Ces femmes peuvent également avoir recours à différents moyens pour perdre du poids, comme les pilules amaigrissantes (7 %), l’excès de sport (7 %), les diurétiques (2,5 %), les laxatifs (2 %) ou encore les vomissements (1 %).
 
79 % des femmes de plus de 50 ans ont déclaré qu’elles n’aimaient pas leur corps. Ainsi, cette étude révèle que les pressions sociales exercées sur les femmes et l’importance de l’image corporelle peuvent avoir un impact également plus tard dans la vie, et non seulement à l’adolescence.
 
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Travailler de nuit augmente les risques de cancer du sein de 40 %

Le travail de nuit perturbe le rythme circadien, ce qui est déjà reconnu pour augmenter les risques de maladies cardiaques et de troubles métaboliques.
 
Une nouvelle étude parue dansl’International Journal of Cancer confirme maintenant que le travail de nuit est cancérigène.
 
Les chercheurs ont comparé le parcours professionnel de 1200 femmes ayant eu un cancer du sein entre 2005 et 2008 à celui de 1300 autres femmes qui n’ont pas eu de cancer.
 
On constate que 13 % des répondantes qui ont eu un cancer ont déjà travaillé de nuit, contre 11 % chez le groupe en bonne santé.
 
Les femmes qui ont fait partie d’une équipe de nuit voient leurs risques de cancer du sein augmenter de 35 %. Si elles ont travaillé de nuit pendant plus de 4,5 ans, ces risques grimpent à 40 %, et ils se retrouvent à 43 % si les femmes ont travaillé trois nuits ou moins par semaine.
 
De plus, on apprend que si les femmes ont travaillé de nuit plus de quatre ans avant leur première grossesse menée à terme, les risques de cancer du sein sont accrus de 95 %.
 
« Nos travaux confortent les résultats d’études antérieures et posent le problème de la prise en compte du travail de nuit dans une optique de santé publique, d’autant que le nombre de femmes travaillant avec des horaires atypiques est en augmentation », indique l’auteur principal de la recherche, Pascal Guénel.
 
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Les femmes sont plus soucieuses de leur santé

Les femmes se soucient plus de leur santé que les hommes, selon un sondage réalisé en France par ViaVoice.
 
73 % des femmes se disent attentives à leur état de santé, contre 64 % des hommes, révèle l’étude.
 
27 % des femmes se disent même très préoccupées par leur santé. Ces préoccupations varient selon les tranches d’âge. On remarque que les plus jeunes sont plus concernées.
 
En fait, chez les 25 à 34 ans, 80 % disent être suivies médicalement par des professionnels, alors qu’elles sont 65 % chez les plus de 65 ans.
 
On dénote également un succès des différentes campagnes de sensibilisation qui réussissent à toucher 89 % des répondants, notamment les campagnes de sensibilisation pour le cancer du sein, du vaccin du papillomavirus et de la lutte contre le tabagisme.
 
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Don d’ovocytes : avoir un bébé asiatique coûte plus cher

Habituellement, chez nos voisins du sud, les couples qui ne peuvent pas avoir d’enfants naturellement et qui ont recours à la fécondation in vitro paient environ 6000 dollars pour avoir droit à un don d’ovocytes.
 
Toutefois, pour avoir accès aux ovocytes d’une femme asiatique, il semblerait qu’il faut tripler la mise et investir de 10 000 à 20 000 dollars pour rémunérer celle qui fera un don, écrit le Los Angeles Times.
 
D’où vient cet engouement pour les ovocytes asiatiques? Bien que les gens de l’Orient soient réputés pour leur grande intelligence, mais aussi pour leurs critères de beauté et ethnicité appréciés, ces éléments ne devraient « normalement » pas entrer en compte pour fixer le prix de l’ovocyte, mais les pratiques sont bien éloignées de ces principes, indique l’American Society for Reproductive Medicine.
 
Compte tenu de l’offre et la demande et du fait que les ovocytes asiatiques sont rares aux États-Unis, car les femmes asiatiques sont plus diplômées et mieux payées que la moyenne, donc moins susceptibles de chercher à vendre leurs ovocytes, le prix du don d’ovocytes est beaucoup plus cher.
 
L’article a été écrit en réponse au nombre croissant de couples asiatiques qui viennent aux États-Unis en 2012 dans le but d’avoir un enfant de leur race, dans le cadre de l’année du Dragon, considérée comme la plus chanceuse.
 
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Les femmes obèses victimes de discrimination au travail

Une étude de l’Université de Manchester et de la Monash University à Melbourne démontre que l’apparence physique est un critère important lors de l’embauche d’une personne.
 
En fait, plus une personne qui recherche le candidat idéal est satisfaite de son apparence physique, plus ce critère est important pour elle, et plus cette personne fera de la discrimination auprès de candidats potentiels qui sont obèses, surtout pour les femmes.
 
Les femmes obèses sont moins susceptibles d’être embauchées et gagnent souvent un salaire moins important que leurs homologues de poids normal.
 
L’International Journal of Obesity rapporte qu’au départ, la Dre Kerry O’Brien et son équipe souhaitaient savoir si certains profils étaient plus favorisés que d’autres à l’embauche, et apparemment, la réponse est oui.
 
On a montré une série de CV avec une petite photo des candidates à des chercheurs. Ils devaient se prononcer sur les aptitudes, le salaire de départ et l’employabilité des personnes. Les photos étaient des images de femmes avant et après une chirurgie bariatrique.
 
Malheureusement, on constate une grande discrimination en fonction de l’obésité des candidats potentiels, surtout si la personne qui embauche est satisfaite de sa propre apparence physique.
 
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Potins

Zac Efron a adoré sa scène d’amour avec Nicole Kidman

Zac Efron, 24 ans, affirme que la scène d’amour tournée avec Nicole Kidman, 44 ans, a été une expérience qui a changé sa vie.

« C’était tout ce dont on pouvait rêver. Elle était si adorable. Je me pinçais chaque jour, spécialement après avoir fait les scènes d’amour avec Nicole Kidman. Nicole est si magnifique », a-t-il dit à Daybreak.

Efron ne s’est pas arrêté là. « Nicole était quelque chose d’autre et était toujours dans son personnage. Elle n’avait pas de méthodes étranges, comme certains acteurs, mais je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi concentré ».

La vedette de High School Musical a fréquenté sa partenaire, Vanessa Hudgens, pendant quatre ans, puis a été vue aux côtés de l’actrice Lily Collins.

L’acteur espère cependant que sa future épouse sera comme Kidman. « J’espère que ma femme aura le sens de l’ambition et le sens de la liberté, un savant mélange. Vous devez équilibrer les deux. Je ne l’ai pas exactement trouvé encore ».

Rappelons que l’Australienne Nicole Kidman est mariée depuis 2006 au chanteur country Keith Urban, avec qui elle a eu deux filles. Elle a également deux autres enfants qu’elle avait adoptés durant son mariage avec Tom Cruise.

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Des mères sous leur vrai jour

Tannée des demandes exigeantes et des messages subliminaux d’une société trop médiatisée qui prône chirurgie esthétique et Photoshop, une mère du Royaume-Uni a décidé de lancer un site internet où les femmes qui ont déjà accouché peuvent partager photos et discussions en toute liberté, sans artifices et jugements.

En effet, Theshapeofamother.com révèle au grand jour des parties du corps dont plusieurs peuvent avoir honte en raison de l’exposition à des publicités et vedettes représentant le corps de déesses deux semaines après l’accouchement.

« Je me suis rendue compte qu’un corps qui vient d’accoucher est l’un des secrets les mieux gardés de notre société », s’est offusquée Crowder, mère de deux enfants, devant des journalistes de MSNBC.

« Tout ce qu’on voit, ce sont des corps féminins parfaits et retouchés. Et si on ne ressemble pas à ça, on doit le cacher honteusement », ajoute-t-elle.

Pour tenter de bien montrer la réalité et permettre aux femmes de se sentir belles alors qu’elles ont fait ce qu’il y a de meilleur, soit le don de soi pour donner la vie, la maman anglaise invite toutes les femmes à montrer fièrement cicatrices de césarienne, vergetures, seins et ventre mous.