Ces ouvrages abordent le féminisme et soulèvent de nombreuses problématiques sur le sujet.
Le Deuxième Sexe, Simone de Beauvoir, Gallimard, 1949
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Crédit: Les éditions Gallimard
C’est une oeuvre en deux tomes qu’on ne présente plus tant, mais elle fait office de manifeste du féminisme.C’est un ouvrage que l’on conseille souvent à ceux qui veulent s’intéresser à la pensée féministe.
Petit bémol : Si vous n’êtes pas un.e grand.e lecteur.trice au quotidien, ce livre peut être vite décourageant, car il aborde des concepts philosophiques qui peuvent paraître opaques. Surtout, ne vous découragez pas !
King Kong théorie, Virginie Despentes, Grasset, 2006
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Crédit: Le Livre de Poche
L’essai de Virginie Despentes propose plusieurs réflexions sur le monde contemporain en abordant sans détour des thèmes variés comme la pornographie, le viol et la prostitution. Son style cru que certains qualifient de « vulgaire » a été très critiqué, d’autant plus qu’elle évoque ses expériences personnelles sans pudeur. Ses propos sont sans nuances et libérés : une nécessité, selon moi, pour aborder des thématiques considérées comme dérangeantes.
Une Chambre à soi (A Room of One’s Own), Virginia Woolf, Poche 10/18, 1929 (2001 pour cette édition)
Ce classique de la littérature féministe est un essai qui est le fruit de plusieurs conférences données dans des collèges pour femmes par Virginia Woolf. Elle aborde avec humour et ironie les causes de l’absence des femmes dans le domaine de la fiction. L’auteure nous transporte dans un voyage à travers l’Histoire qui lui permet de se questionner sur les conditions idéales (matérielles et politiques) pour que la femme rentre enfin dans le monde de l’Art.
Arlington Park, Rachel Cusk, 2007, Éditions de l’Olivier (pour la traduction en français)
Le roman raconte la journée de plusieurs femmes vivant dans la banlieue londonienne. Elles ont en apparence tout pour être heureuses : une belle maison, de l’argent et des enfants. L’auteure pénètre les pensées les plus profondes de ces femmes et elle décrit avec précision et subtilité l’insatisfaction chronique de celles-ci et leurs désillusions.
La réalisatrice Isabelle Czajka a adapté l’ouvrage en film, La Vie domestique, l’action se déroule en France.
La Femme gelée, Annie Ernaux, Gallimard, 1981
La femme gelée est un récit autobiographique passionnant. La narratrice évoque sa vie de jeune fille, de femme, de mère et d’épouse comme une sorte de processus qui n’aboutit qu’à la désillusion. Elle relate notamment sa découverte du féminisme théorique et l’effondrement de ses idéaux quand elle devient épouse et mère, assujettie aux tâches domestiques et comme prise au piège par les conventions sociales de l’époque.
Sorcières, la puissance invaincue des femmes, Mona Chollet, Editions La Découverte, 2018
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Crédit: Éditions La Découverte
Peut-être que vous avez entendu parler de cet ouvrage qui a eu beaucoup du succès dans le monde francophone. Mona Chollet, journaliste, appuie ses arguments sur des exemples concrets et sur des sujets d’actualité. Si vous n’aimez pas les livres théoriques, ce livre est fait pour vous ! Elle compare les sorcières de la Renaissance et de l’époque moderne aux femmes contemporaines en évoquant, par exemple, le non-désir d’enfants et la vieillesse de la femme.
Elle a également écrit Beautés fatales dans lequel elle s’interroge sur l’industrie de la mode et de la beauté et de leurs impacts sur les femmes.
Avez-vous lu un de ces ouvrages ? N’hésitez pas à partager vos suggestions!
Le 25 novembre souligne annuellement la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.
Coïncidence, aujourd’hui, on fête également la Sainte-Catherine. Ça vous dit quelque chose?? Non, non, je ne parle pas de la tire Ste-Catherine, ce bonbon dur à la mélasse qui a été popularisé en Nouvelle-France par Marguerite Bourgeois. Je pense plutôt à la fête des «?vieilles filles?», qui a été nommée en l’honneur de la martyre Catherine d’Alexandrie.
Une fois par année, les femmes non mariées de 25 ans et plus devaient coiffer le bonnet de la sainte Catherine. On les nommait les Catherinette. Peut-être qu’à l’époque, c’était vu comme quelque chose de rigolo, mais, à mon avis, c’était plutôt une façon dissimulée de se moquer d’elles.
Déjà, dans les années 1960, les femmes trouvaient le concept démodé et soulignaient le côté péjoratif du terme «?vieille fille?». Les mentalités ont continué d’évoluer depuis 50 ans, et je doute fort que ce type de célébration puisse encore avoir lieu de nos jours.
Toutefois, avant de reléguer la Sainte-Catherine aux oubliettes, pourquoi ne lui offririons-nous pas une cure de jeunesse faisant de cette fête quelque chose de positif??
J’ai moi-même fêté mes 25 ans cet été et, surprise, surprise, je suis (encore) célibataire. Comme plusieurs jeunes de mon âge, mon entourage me demande souvent si je fréquente «enfin» quelqu’un ou me lance des phrases du genre : «Comment ça se fait que tu ne sois toujours pas en couple??Pourtant, tu mérites tellement de trouver un bon parti?!?» (si je me fie aux différents témoignages des collaboratrices de TPL, ça ne fera qu’empirer dans les prochaines années, surtout lorsque je serai «en âge de faire des enfants». Misère?!).
Pour tout dire, c’est une longue histoire, mais je n’ai jamais eu la «chance» d’être en couple. Et bien que ça me préoccupait beaucoup il y a cinq ou six ans, je me rends compte depuis quelque temps que, well, je m’en balance!
Non, je n’ai pas abandonné l’idée de trouver la personne parfaite pour moi. Cependant, je n’en ressens pas l’urgence. Je suis sur le marché du travail depuis quelques années seulement et je viens d’emménager dans mon premier appart. J’ai le goût de profiter de cette liberté et j’ai peine à imaginer ce que je ferais, si je devais ajouter une histoire d’amour à travers tout ça.
Les astres s’aligneront lorsque le moment viendra. Pourtant, même moi, qui pensais que j’aurais trouvé The One et eu un premier enfant d’ici mes 25-26 ans, je capote quand je tombe sur le profil d’anciennes amies du secondaire qui sont maintenant mariées et/ou mamans. Elles semblent super heureuses, mais je me rends compte que je ne suis vraiment pas rendue là.
Bon, je m’éloigne un peu de la Fête de la Sainte-Catherine… ou peut-être pas tant que ça, finalement? Pourquoi ne remettrions-nous cette fête au goût du jour, en célébrant justement le fait que les femmes ne sont plus dans l’obligation de se caser avec un «bon parti» d’ici leurs 25 ans, sous peine qu’on se moque d’elles ou qu’on en ait pitié?
Cette liberté que nous avons acquise au fil des décennies (bien que nous devions encore nous battre pour la conserver aujourd’hui) ne mérite-t-elle pas d’être soulignée et mise à l’avant-plan?? Si Emma Watson peut se permettre de repenser le célibat, qu’elle choisisse de se désigner comme étant self-partnered, alors pourquoi pas nous, simples mortelles que nous sommes?
Non, je ne me suis pas transformée en vieille fille à minuit le jour de mes 25 ans et je ne vous offrirai pas de tire Sainte-Catherine en ce 25 novembre. Mais je vote pour qu’on célèbre les Catherinettes de ce monde, qu’on se célèbre. Et puis, tant qu’à faire, invitons également nos amies en couple à faire la fête. La solidarité, c’est ça la clé, non?
Bonne Sainte-Catherine?!
Dans une optique d’être plus inclusive, la marque de produits menstruels Always a décidé de retirer le symbole de Vénus (associé au genre féminin) de ses emballages. C’est le géant Procter & Gamble, qui possède la marque Always, qui a annoncé la décision cette semaine.
Ça faisait déjà quelque temps que la compagnie se faisait interpeller sur Twitter par des activistes pour les droits de la communauté LGBTQ+ qui disaient que le symbole de la femme pouvait heurter les personnes trans ou non binaires qui utilisent aussi les produits menstruels.
tw// periods
hi @Always i understand that you guys love girl positivity but please understand that there are trans men that get periods, and if you could please do something about the ??symbol on your pad packaging, i’d be happy. i’d hate to have any trans males feel dysphoric.
— jocelyn ? (@phiddies) October 13, 2019
Ce changement s’inscrit dans un désir d’Always et de Procter & Gamble (P&G) d’être plus inclusifs et à l’écoute des besoins de leurs consommateurs.
Cette décision de P&G a créé une vague de haine et d’incompréhension à quelques endroits, notamment au Royaume-Uni où le Daily Mail a titré son article « Les lobbys transgenres forcent Always à enlever le logo de Vénus de leurs produits » (traduction libre).
Procter & Gamble a rapidement réagi en affirmant qu’ils n’ont jamais été forcés de procéder au changement et que cette décision est plutôt venue dans une vision globale de s’améliorer continuellement en tant que marque et de s’assurer que toutes les personnes qui utilisent les produits Always se sentent confortables et incluses.
Les changements aux emballages d’Always débuteront dès janvier 2020.
(via un article de Refinery29)
Un tout nouveau, tout beau, site internet met à l’honneur des femmes de tête d’ici qui ont bravé l’adversité en affaires, dans la maladie et dans leur vie personnelle! C’est Daniel Daigneault, journaliste et photographe – Paul Arcand (98,5 FM) et Salut Bonjour – qui est à l’origine de cette initiative.
Il vous fera découvrir des humaines fortes et complexes à travers des grandes entrevues et des chroniques menées par une foule d’experts, notamment la nutritionniste Isabelle Huot et l’avocate Marie-Pier Boulet.
Pour le lancement du site Regards de femmes, cinq femmes racontent leurs histoires respectives en entrevue, dont Lulu Hugues, chanteuse et survivante de 2 cancers, Geneviève Guibault, ministre de la sécurité publique ainsi que l’ex-championne olympique et maintenant étudiante en médecine, Maxime Dufour-Lapointe. Vous retrouverez également les témoignages de Lydia Bouchard et Mélanie Pilote, deux femmes prolifiques aux multiples facettes qui ont eu l’audace de se réinventer en carrière.
Chaque semaine, une nouvelle entrevue sera mise en ligne par M. Daigneault.
Afin de célébrer la mise en ligne du site, les visiteurs courent la chance de gagner un magnifique collier de perles signé Bijoux Mélanie Stone d’une valeur de 850$.
Tant de beaux modèles de courage et de force pour les générations de femmes à venir!
L’exploit historique aura lieu plus tard ce mois-ci, confirme l’Agence spatiale américaine.
Les astronautes Christina Koch et Jessica Meir enfileront leurs combinaisons munies de toutes nouvelles piles à énergie solaire pour effectuer cette sortie extravéhiculaire, le 21 octobre prochain.
Pour Christina Koch, il s’agira du second essai pour effectuer une sortie dans l’espace avec une collaboratrice. En mars dernier, la NASA avait dû annuler une marche spatiale, ne disposant pas de deux combinaisons de tailles moyennes à bord de la station spatiale internationale (ISS). En juin dernier, lors d’un ravitaillement, une seconde combinaison a été acheminée en orbite.
Christina Koch et Jessica Meir sont toutes deux issues de la cohorte 2013 de la NASA. Cette année-là, pour la première fois, l’Agence spatiale américaine nommait autant de femmes que d’hommes au titre d’astronaute.
Christina Koch est une ingénieure électrique de formation. Elle a maintenant séjourné plus de 200 jours dans l’espace, sur une mission qui devrait en compter autour de 300.
Jessica Meir est une biologiste marine qui est arrivée la semaine dernière à bord de l’ISS.
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Cette nouvelle étape de l’histoire de l’exploration spatiale se déroule alors que sur Terre, les futurs astronautes s’entrainent aux prochaines missions. Parmi les étapes à venir, notons entre autres la reconquête de la Lune.
Depuis la toute première marche dans l’espace survenu en 1965, seulement 14 femmes ont eu ce privilège, contre 213 hommes.
Photo : NASA-TV
Les femmes britanniques moyennes perdraient 1095 heures de sommeil par année comparativement aux hommes.
C’est ce que révèle une étude menée par le fabricant de matelas Bensons for Beds auprès de 2000 couples afin de scruter leurs habitudes de sommeil.
L’étude souligne que ce manque de sommeil provient de diverses sources de distraction qui perturbent les nuits des femmes.
Parmi les problèmes identifiés qui causent le plus souvent de l’insomnie, il y a le ronflement du conjoint, les douleurs menstruelles ou les enfants.
Un tiers des femmes interrogées affirment se réveiller chaque nuit. Cette proportion est de 1 sur 10 chez les hommes.
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Le manque de sommeil est nocif pour la santé.
Selon le Département de la santé du Royaume-Uni, un manque de sommeil régulier met à risque de conditions médicales sérieuses, incluant l’obésité, les problèmes cardiaques, et le diabète. De plus, cela réduit l’espérance de vie.
Photo : Cover Images
Radio-Canada est en deuil d’une grande journaliste et animatrice aujourd’hui, alors que France Nadeau a poussé son dernier souffle mardi matin, à l’âge de 85 ans. Les causes de son décès n’ont pas été révélées.
La grande dame avait notamment accompagné les téléspectateurs pendant plus de 17 ans avec Femme d’aujourd’hui, émission phare de la chaîne québécoise diffusée de 1965 à 1982. La journaliste et animatrice a couvert une multitude de sujets plus importants les uns que les autres, et toujours d’actualité, à travers des reportages, des enquêtes et des entrevues, entre autres.
France Nadeau s’est mariée à l’animateur et journaliste Pierre Nadeau en 1957 avant d’avoir deux enfants, Sylvain et Pascale, aujourd’hui chef d’antenne à Radio-Canada. Ils se sont ensuite séparés en 1983.
Les émissions L’observateur, Au fil de la semaine, Au jour le jour et Reflets d’un pays figuraient également parmi ses grands projets.
Nous souhaitons transmettre nos sincères condoléances à toute la famille et aux proches de France Nadeau.
(chronique)
J’ai subi de la violence avant et après ma séparation. J’ai été diagnostiquée avec un syndrome de choc post-traumatique. Ça fait qu’à chaque fois que je dois voir mon ex, disons pour un échange d’enfants, ou lui écrire, disons pour une histoire de journée pédagogique, ça me prend tout mon courage. J’en shake avant et après. Chaque fois, plein de souvenirs douloureux remontent. C’est ça, un syndrome de choc post-traumatique: c’est comme après avoir vécu la guerre, sauf que mon Irak, c’est mon ex, et quand je le vois, c’est comme si des bombes tombaient sur ma maison. Tout mon corps pense que je vais mourir. Mon instinct de survie se met à high et me hurle d’aller me cacher dans un bunker. Ça me prend la journée au complet et parfois plus longtemps pour redescendre.
Quand je sais que je vais être exposée à mon trigger, je me prépare le mieux possible. Je m’entoure. Je médite. Je monte mes barrières émotionnelles. J’utilise toutes les stratégies que je connais. Je prends soin de mon sommeil la veille, parce que si j’ai fait de l’insomnie en plus, je suis encore plus fragile. J’annule mes rendez-vous, parce que je sais qu’après, tout ce que je vais vouloir faire, c’est prendre une douche et me rouler en boule dans mon lit.
Mais là, c’est la fête des Pères qui s’en vient. Avec partout les annonces de cadeaux idéaux pour papa, les textes d’ode à la paternité que j’aurais tant voulu pouvoir écrire sur le père de mes enfants, les bricolages de l’école et de la garderie qui lui sont destinés, etc. Il fut un temps où j’imaginais que si je me séparais, je lui offrirais toujours un petit cadeau à cette occasion, et qu’il ferait de même à la fête des Mères. C’était ma séparation rêvée. Mais là, les annonces et les articles me plongent chaque fois dans une sensation de panique que je n’ai pas vue venir, à laquelle je n’ai pas pu me préparer, comme si ça m’attaquait de partout. Bang! Fête des Pères ici et Paf! Fête des Pères là. Mon cerveau fait l’équation fête des Pères = mon ex = danger. Danger!!! Toutes les lumières rouges allument. C’est vraiment épuisant.
J’aurais voulu écrire des éloges aux papas formidables que je connais: il y en a plein, des papas sortis d’une cuvée de diamant brut qui me redonnent espoir en la paternité et la masculinité. La prochaine génération est entre de bonnes mains. Mais là, j’ai surtout envie d’envoyer plein d’empathie à toutes les mères pour qui cette période est un dur rappel que pour différentes raisons et malgré les incitatifs publicitaires, elles n’ont pas pantoute envie d’écrire une carte ni d’acheter la nouvelle gogosse « parfaite pour papa » du Canadian Tire. Si vous en connaissez une, c’est peut-être le temps de lui envoyer du love.
Moi j’ai surtout envie de me trouver une grotte pour aller y dormir jusqu’à ce que la fête des Pères soit passée.
Une première femme sur la Lune en 2024
La prochaine mission lunaire Artemis, prévue en 2024, comptera une femme dans son équipage.
C’est le patron de la NASA, Jim Bridenstine qui en a fait la promesse, hier (14 mai), lors d’une conférence tenue à Washington.
« J’ai une fille de 11 ans et je souhaite qu’elle ait la chance de se voir elle-même dans divers défis proposés aux astronautes », a révélé le dirigeant de l’agence spatiale américaine.
« Ce programme (Artemis) permettra à de jeunes filles, comme ma fille, de voir qu’elles sont capables de faire des choses qu’elles ne pensaient pas pouvoir faire. »
Au fil des ans, plus de 500 personnes ont séjourné dans l’espace. De ce nombre, seulement 55 femmes ont quitté l’orbite terrestre.
Ce n’est d’ailleurs pas une coïncidence si la prochaine mission lunaire s’appelle Artemis. Il s’agit de la déesse grecque de la Lune et la soeur jumelle d’Apollo.
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Si la mission Artemis est un succès, elle marquera le retour des humains sur le satellite de la Terre, une première depuis Apollo 17 en 1972.
Photo : NASA
C’est la Journée internationale des droits des femmes et les vedettes du Québec n’ont pas manqué l’occasion de le souligner sur leurs réseaux sociaux!
Que ce soit pour souligner la présence de femmes fortes et importantes dans leur vie, pour célébrer le girl power, pour revendiquer des droits ou pour participer à des initiatives importantes (chapeau spécialement à Mariana Mazza et Jessie Nadeau sur ce point!), les personnalités publiques d’ici étaient nombreuses à avoir leur mot à dire. You go girls!
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Voir cette publication sur InstagramVoir cette publication sur InstagramLa femme et la fille les plus importantes et précieuses de ma vie. Bonne journée mesdames. #8mars
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