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L’alcool augmente les chances de survie après une crise cardiaque

Une nouvelle étude britannique confirme les bienfaits de l’alcool pour la santé cardiaque, mais cette fois, les chercheurs affirment n’avoir constaté aucune différence selon les types d’alcool. Au départ, l’alcool lui-même serait bénéfique, à condition bien sûr de modérer sa consommation.
 
Selon l’American Journal of Cardiology, sur plus de 1000 femmes suivies pour l’étude, un plus grand nombre d’entre elles a survécu plus longtemps après une crise cardiaque si elles avaient consommé de l’alcool.
 
Après 10 ans, 44 femmes sur 100 étaient décédées chez celles qui n’avaient jamais bu d’alcool, comparativement à 25 sur 100 chez les consommatrices légères et 18 sur 100 chez les buveuses régulières.
 
Auparavant, une étude menée sur des hommes et des femmes avait démontré que les personnes qui avaient continué à boire modérément après une crise cardiaque étaient en meilleure santé que celles qui s’étaient abstenues de le faire.
 
L’alcool peut toutefois être un terrain glissant et les effets bénéfiques peuvent devenir grandement nuisibles, voire dangereux, si les gens consomment trop d’alcool. La clé est de demeurer discipliné.
 
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Le cancer colorectal lié à l’alimentation

Selon une récente étude du Simmons College à Boston, l’alimentation serait liée au cancer colorectal chez la femme. Le taux de C-peptide, une protéine qui augmente le risque de ce type de cancer, serait associée à une alimentation en particulier, lit-on sur ScienceDaily.

Par exemple, les risques de cancer colorectal, chez la femme, seraient accrus si elle consomme beaucoup de viande rouge, de poisson à chair rouge et de boissons gazeuses. À l’inverse, une faible consommation de grains entiers, de produits laitiers et de café augmenterait le taux de peptide-C.

On explique que cette étude donne une explication de plus quant à la relation entre l’alimentation et le risque de cancer colorectal, ainsi que ses mécanismes. Il semble que ce type de cancer en soit un sensible à l’insuline.

L’étude en question s’est étendue sur 22 ans. Des femmes devaient fournir un suivi, à l’aide d’un questionnaire, sur leur alimentation. Le questionnaire comprenait 130 aliments; les participantes devaient indiquer le nombre de fois qu’elles en mangeaient ou buvaient.

Les femmes qui suivaient le modèle alimentaire expliqué plus haut se sont avérées, une vingtaine d’années plus tard, avec des risques de cancer colorectal 35 % plus élevés. Aussi, ces risques étaient plus marqués chez les femmes en surpoids que chez celles qui étaient minces – les gens inactifs et avec un excès de poids semblent plus influencés par l’alimentation.

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Soignera-t-on la peur de l’accouchement?

La peur de l’accouchement peut représenter un réel problème dans la vie d’une femme. Il semble que certaines en ont si peur qu’elles évitent de tomber enceintes même si elles souhaitent avoir des enfants, ou elles interrompent leur grossesse par avortement.

Plusieurs éléments de l’accouchement entrent en ligne de compte dans cette peur irraisonnable. Une telle panique peut mener, lors de la naissance, à un plus long travail, à un recours poussé au soulagement de la douleur. Les femmes courent aussi plus de risques d’avoir une césarienne.

Une peur immodérée de l’accouchement peut aussi constituer une phobie, la tokophobie. À ce niveau, la phobie est du même ordre que celles des araignées, de l’avion, etc.

Souhaitant trouver une réponse et des solutions, des chercheurs d’Oslo mènent maintenant la plus vaste étude sur le sujet jusqu’ici, nous apprend Medical News Today. Environ 4000 mères y participent.

On espère ainsi mieux accompagner les mères qui vivent avec une telle peur, et mieux traiter celle-ci. Les chercheurs affirment que la plupart des femmes sont soignées comme si elles avaient une phobie de type habituel, mais on fait souvent fausse route. Ils soutiennent qu’il est tout à fait normal d’avoir peur de donner la vie. De nombreuses femmes qui ont peur de l’accouchement fonctionnent bien en termes de santé mentale.

Des articles sur cette étude ont commencé à être publiés, et plusieurs autres sont aussi attendus. Ajoutons en terminant qu’à Oslo, 20 % des césariennes sont dues à la peur de l’accouchement.

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Les femmes décident quand elles accouchent

On lit dans Social Science and Medicine que le moment de l’accouchement serait en partie décidé par les femmes. En effet, des chercheurs de la Yale School of Public Health ont remarqué certaines tangentes après avoir analysé des données de naissance sur une période de 11 ans.

Il semble que les femmes seraient moins portées à accoucher à l’Halloween, mais que cette tendance s’inverserait durant la période de la Saint-Valentin. Une explication serait l’influence de nos croyances culturelles : la première fête est reliée au glauque et à la mort, tandis que la seconde est celle de l’amour.

À l’Halloween, par exemple, les naissances spontanées avaient diminué de 5,3 %, alors que les accouchements par césarienne avaient augmenté de 16,9 %. Ce rapport s’est retrouvé inversé lors de la Saint-Valentin : 3,6 % plus de naissances spontanées, et 12,1 % plus de césariennes.

C’est la première fois qu’une corrélation est établie entre le nombre de naissances et le type de fête qui est célébrée durant une période donnée.

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De la réglisse pour réduire les symptômes de la ménopause

Apparemment, des chercheurs ont découvert que la réglisse pouvait diminuer les symptômes de la ménopause tels que les bouffées de chaleur.
 
Pour avoir un réel effet, ce ne sont pas les bonbons de réglisse qu’il faudrait consommer, mais plutôt des pilules de concentré.
 
Jusqu’à présent, le Daily Mail avance que ces pilules ont donné des résultats remarquables chez les volontaires, ayant en moyenne 51 ans, qui ont pris une pilule quotidiennement pendant un an.
 
Cela aura pris huit mois aux femmes pour ressentir les premiers bénéfices, mais après un an, la grande majorité a vu les bouffées de chaleur être réduites de 80 %. Autre avantage notable : la réglisse ne cause pas d’effets secondaires.
 
On croit que les composés chimiques de la réglisse causeraient les mêmes effets que l’œstrogène qui chute durant la ménopause.
 
Jusqu’à présent, les traitements d’hormones de remplacement peuvent réduire les symptômes de la ménopause, mais ils peuvent aussi provoquer des maux de tête, nausées, étourdissements et crampes d’estomac, sans compter qu’ils augmentent les risques de cancer du sein.
De plus, avec les suppléments de concentré de réglisse, les chercheurs ont observé que la solidité des os était préservée.
 
Avant de pouvoir prescrire un tel traitement aux femmes, les recherches doivent se poursuivre à plus grande échelle.
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La dépression augmente les risques de démence chez les femmes

C’est déjà connu que les femmes sont deux fois plus à risque de souffrir de dépression que les hommes. Autre mauvaise nouvelle pour elles, la dépression augmente les risques de démence, comme la maladie d’Alzheimer, plus tard.
 
C’est ce que révèle une étude rapportée par le Daily Mail. Les chercheurs ont constaté que les femmes dépressives avaient une tendance à souffrir de démence plus tard dans leur vie. Mais attention, la dépression peut causer certains problèmes cognitifs également, sans pour autant mener à la démence.
 
Il est donc important de rechercher de l’aide lorsqu’on souffre de dépression, afin d’être soigné le plus adéquatement possible.
 
Les femmes sont plus touchées par la dépression, sans doute en raison du fait qu’elles doivent souvent jongler avec différentes sphères de leur vie, prendre soin des enfants, des parents, travailler.
 
Elles gèrent le stress différemment, en plus du fait que leurs cycles hormonaux peuvent également avoir un impact sur leur santé. Faire de l’exercice et bien manger aide à se sentir mieux.
 
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Une FIV entraîne de sérieux risques

Il semble, selon plusieurs études, qu’une femme aurait 40 % plus de risques d’avoir des complications de grossesse si elle tombe enceinte par fécondation in vitro. Certaines seraient plus fréquentes que d’autres.

Par exemple, comme l’indique The Telegraph, une femme ayant subi une FIV serait plus encline à faire de la prééclampsie. Cette complication de grossesse consiste en une haute pression sanguine, causant des problèmes de santé, voire la mort.

La croissance de l’embryon en laboratoire pourrait faire en sorte que le développement du placenta ne se ferait pas normalement, ce qui engendrerait des complications par la suite.

Une autre possibilité serait que les femmes qui optent pour une FIV sont plus âgées et ont d’autres problèmes de santé sous-jacents. Il semble que si l’on a de la difficulté à tomber enceinte, on serait aussi susceptible d’avoir plus de difficulté à maintenir sa grossesse.

La prééclampsie est finalement une complication de grossesse assez courante. Elle tend à survenir lors d’une première grossesse; elle cause la mort de femmes et surtout de bébés, chaque année.

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Pourquoi neuf mois de grossesse?

On lit dans Nature Genetics une découverte scientifique qui changera assurément notre façon de voir la grossesse humaine : elle serait due à un virus.

Des chercheurs de la Yale University auraient en effet expliqué de quelle façon une bactérie aurait atteint nos ancêtres, il y a une centaine de millions d’années, ce qui a fait en sorte que les femmes sont en mesure de porter un bébé durant neuf mois.

Le virus en question aurait en fait été digéré par l’organisme humain, et il en est venu à faire partie de notre ADN. Il se serait incrusté en raison d’une infection. Ce virus aurait fonctionné d’une manière semblable à celle des parasites intestinaux.

Certains aspects de la grossesse pourraient ainsi être expliqués, en abordant cette thèse du virus. Entre autres, les bouleversements hormonaux en proviendraient, comme les chevilles enflées.

Cependant, cette découverte ne peut pas tout expliquer de la grossesse, en ce qui a trait au développement du placenta, par exemple.

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La bière contre l’ostéoporose

Les femmes plus âgées pourraient être protégées de l’ostéoporose en buvant une chopine de bière par jour.
 
Selon une étude dévoilée par le Daily Mail, la bière serait la source idéale de silicium diététique qui est crucial pour la formation des os.
 
Le silicium est mieux absorbé par la bière que tout autre aliment, en raison du malt utilisé dans le brassage.
 
Les chercheurs ont mesuré les effets de la bière sur la densité osseuse et ont constaté que l’éthanol, aussi présent dans l’alcool, aide à prévenir la perte osseuse. Plus important encore, le silicium favorise une croissance de nouveaux tissus osseux.
 
L’ostéoporose guette principalement les femmes en ménopause. Ainsi, celles qui sont préménopausées auraient avantage à boire une demi-chopine de bière par jour.
 
Les femmes déjà en ménopause devraient boire une chopine quotidiennement afin de préserver leur densité osseuse et, par conséquent, réduire les risques de fractures.
 
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Les femmes actives sont ménopausées plus tôt

Une étude japonaise dévoilée dans la revue Menopause mentionne que les femmes qui font beaucoup d’exercices et qui suivent un régime bon pour le cœur sont généralement ménopausées plus tôt.
 
Après avoir suivi 3100 femmes pendant dix ans, les chercheurs ont constaté que celles qui faisaient de huit à dix heures d’exercices par semaine étaient 17 % plus susceptibles d’avoir leur ménopause plus tôt que leurs congénères sédentaires.
 
De plus, celles qui consommaient des graisses polyinsaturées, que l’on retrouve dans les poissons et les huiles végétales, étaient 15 % plus à risque de vivre la même chose.
 
Durant la ménopause, les ovaires des femmes cessent de produire des ovules, et l’exposition à l’œstrogène est nettement réduite. L’œstrogène a tendance à favoriser l’apparition du cancer du sein, donc une ménopause précoce est liée à un risque moindre de cancer du sein pour la femme.
 
Cependant, une ménopause à un jeune âge est également liée à un risque accru de maladies cardiaques et d’ostéoporose. Les spécialistes affirment tout de même que les avantages l’emportent sur les inconvénients.
 
Généralement, la ménopause débute entre 41 et 55 ans.