Le célibat tue, le mariage enlaidit
Connus pour aider à soulager la constipation, les pruneaux ont une autre utilité non négligeable.
Selon le British Journal of Nutrition, ils aident les femmes ménopausées à avoir une protection contre les fractures ostéoporotiques.
À la ménopause, les femmes sont plus susceptibles de souffrir d’ostéoporose, ce qui fragilise les os et les rend plus vulnérables aux fractures.
Pendant un an, les chercheurs ont suivi deux groupes de femmes. Le premier groupe, constitué de 55 participantes, a consommé 100 g de pruneaux (environ 10 pruneaux) par jour. Le deuxième, qui comportait 45 femmes, a mangé quotidiennement 100 g de pommes séchées. Toutes les femmes ont également reçu une dose quotidienne de vitamine D.
Les femmes qui avaient consommé des pruneaux avaient une densité osseuse plus importante que les autres.
Ainsi, les pruneaux sont meilleurs que les figues, les dattes, les fraises séchées, les pommes séchées ou les raisins secs pour la santé des os.
Alors qu’auparavant, des études disaient que le tabagisme était responsable de 20 à 30 % des cas de cancer de la vessie chez les femmes et 50 % chez les hommes, les données récentes démontrent que peu importe le sexe, les personnes qui fument ont les mêmes risques de développer la maladie.
Les précédentes études étaient basées sur des données datant des années 1960 et 1970, là où les femmes étaient beaucoup moins nombreuses à fumer. Aujourd’hui, elles sont tout aussi nombreuses que les hommes, ce qui explique cette augmentation.
Toutefois, les hommes demeurent quatre fois plus nombreux à souffrir du cancer de la vessie, et ce, en raison d’autres facteurs, notamment les différences physiologiques, explique le Journal of the American Medical Association.
Au Canada, on diagnostique 7 200 nouveaux cas de cancer de la vessie par année. 5 400 chez les hommes et 1 800 chez les femmes. En tout, 1 850 personnes vont en mourir.
Les femmes de 30 ans qui sont du groupe sanguin O auraient plus de problèmes de fertilité que les autres, selon Reproduction. Elles connaîtraient aussi moins de succès lors d’une fécondation in vitro et produiraient moins d’ovules.
Une étude menée par la Yale University School of Medicine abonde effectivement en ce sens. On comprend donc que même au sein des femmes en parfaite santé, la fertilité peut être influencée par le sang.
Après avoir suivi 544 femmes, on a remarqué que si la production d’ovules baissait durant la trentaine, le phénomène tendait à survenir plus tôt chez celles étant du groupe sanguin O, soit dans la vingtaine. Cette baisse était deux fois plus fréquente chez ces dernières que chez celles des groupes A et AB.
Mentionnons que l’âge moyen des participantes était de 35 ans et que toutes suivaient un traitement de fertilité.
Le surpoids et l’asthme
On lit dans le Journal of Epidemiology and Community Health que le surpoids et l’obésité durant la grossesse peuvent causer l’asthme chez le futur enfant.
Précisément, selon les résultats d’une étude, une femme qui a un surpoids ou qui est obèse lorsqu’elle tombe enceinte, expose son bébé à naître à de plus grands risques de symptômes respiratoires liés à l’asthme durant son adolescence.
On a tiré ces conclusions après avoir suivi 7 000 adolescents qui étaient nés entre 1985 et 1986. Leurs mères ont quant à elles été questionnées sur leur style de vie et leur milieu social durant leur grossesse, entre autres.
Les enfants dont la mère était obèse ou présentait un surpoids avant d’être enceinte ont de 20 à 30 % plus de risques de souffrir de l’asthme ou d’avoir certains problèmes respiratoires.
Auparavant, les chercheurs avaient mentionné que les dépressions augmentaient les risques de décès coronariens.
Cette fois, des chercheurs de l’Université Harvard démontrent que cela augmente également les risques d’accident vasculaire cérébral (AVC).
Ce sont les résultats obtenus après avoir analysé des AVC survenus entre 2000 et 2006.
Les femmes qui font une dépression ont 41 % plus de chances de faire un AVC que les autres, démontre cette étude dévoilée par le site MagPatients.
Toutefois, des études supplémentaires sont nécessaires afin de découvrir si les risques sont accrus en raison d’un effet spécifique résultant de la maladie, ou si cela est lié à la prise de médicaments de type antidépresseurs. À suivre, donc, au cours des prochaines années.
Consommer des protéines tout au long de la journée est le meilleur moyen de conserver sa masse musculaire pour une femme ménopausée, rapporte le Science Daily.
Selon une étude d’une équipe de l’Université de l’Illinois, en plus de permettre d’éloigner la sensation de faim durant un régime alimentaire, les protéines permettent également de préserver les compositions du corps.
Une alimentation riche en protéines aide à pallier les effets négatifs de la perte de poids sur les muscles, de même que les effets de la ménopause.
Ceci permettra aux femmes d’avoir plus de chances de conserver leur mobilité et leur autonomie en vieillissant.
Diminuer les graisses lors d’un régime et augmenter les muscles avec des exercices intenses est également bénéfique pour maintenir l’équilibre et les performances.
Consommer des protéines tout au long de la journée est le meilleur moyen de conserver sa masse musculaire pour une femme ménopausée, rapporte le Science Daily.
Selon une étude d’une équipe de l’Université de l’Illinois, en plus de permettre d’éloigner la sensation de faim durant un régime alimentaire, les protéines permettent également de préserver les compositions du corps.
Une alimentation riche en protéines aide à pallier les effets négatifs de la perte de poids sur les muscles, de même que les effets de la ménopause.
Ceci permettra aux femmes d’avoir plus de chances de conserver leur mobilité et leur autonomie en vieillissant.
Diminuer les graisses lors d’un régime et augmenter les muscles avec des exercices intenses est également bénéfique pour maintenir l’équilibre et les performances.
On lit sur BMJ que la situation est sérieuse quant au nombre de décès dus à des complications de grossesse ou survenant durant l’accouchement. Son nombre serait en inquiétante progression.