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L’apnée du sommeil augmenterait les risques de démence

Les troubles respiratoires durant le sommeil peuvent conduire à de graves problèmes, surtout pour les femmes. 

Selon le Journal of the American Medical Association, les femmes âgées qui souffrent d’apnée du sommeil obstructive sont plus susceptibles de vivre un déclin cognitif ou la démence dans les cinq années suivantes.
 
L’apnée du sommeil obstructive est un trouble grave qui se caractérise par le fait que la personne arrête de respirer à plusieurs reprises durant son sommeil, ce qui endommage le cerveau au final, surtout si ces interruptions sont répétées 15 fois ou plus.
 
Tel qu’observé durant l’étude menée auprès de 298 femmes âgées, en moyenne de 82 ans, le manque récurrent d’oxygène affecte le fonctionnement du cerveau.
 
Au départ, aucune ne souffrait de démence. 105 d’entre elles ont reçu un diagnostic d’apnée du sommeil. Cinq ans plus tard, elles ont toutes eu un test cognitif et en comparant les données, les chercheurs ont conclu que l’apnée du sommeil augmente effectivement les risques de déclin cognitif et de démence.

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Mangez bien, pour tomber enceinte

On lit dans BJOG les résultats de chercheurs du Royaume-Uni quant à l’impact de l’alimentation sur la conception. Il a clairement été démontré qu’un trouble alimentaire peut faire en sorte que la grossesse soit retardée.
 
Les femmes participant à cette étude qui avaient déjà souffert d’anorexie ou de boulimie avaient pris plus de 6 mois à tomber enceinte dans presque 40 % des cas.
 
Toutefois, après un an, il y avait autant de grossesses chez les femmes souffrant ou ayant souffert d’un trouble alimentaire que chez les autres.
 
Ces problèmes de santé devraient donc être soignés adéquatement, selon les chercheurs, bien avant un projet de conception.
 
Il serait tout indiqué d’être mieux renseigné quant aux impacts d’un trouble alimentaire sur la fécondité de la femme. D’autre part, des traitements devraient être attribués lorsque nécessaires.
 
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Le yoga pour diminuer la fibromyalgie

Une étude canadienne démontre que la pratique du yoga peut réduire les symptômes de douleur chronique et le stress psychologique chez les femmes qui souffrent de fibromyalgie.
Cette maladie se caractérise par la fatigue, des raideurs musculaires, des troubles du sommeil et de la dépression. Elle touche principalement les femmes.
 
Par le passé, il avait été constaté que les personnes qui souffraient de fibromyalgie avaient un taux de cortisol moins élevé.
 
L’étude parue dans le Journal of Pain Research révèle que les personnes avaient un meilleur taux de cortisol après une séance de 75 minutes de yoga, deux fois par semaine, sur une période totale de deux mois.
 
De plus, les participantes ont noté une réduction considérable de leur douleur.
 
Plus tôt cette année, une autre recherche mentionnait que la méditation pouvait également réduire la douleur.
 
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Les infidèles sont complexés

Une étude de l’Université de Guelph jette un tout nouvel éclairage sur l’infidélité. Il semble que les hommes en viendraient à tromper leur partenaire parce qu’ils sont complexés.

Ce serait leur peur de l’échec qui les pousserait le plus à commettre l’acte d’infidélité. Ils s’en feraient particulièrement pour leurs performances sexuelles. Ils tromperaient donc leur femme pour se rassurer.

Il n’en est pourtant pas ainsi pour les femmes. Ces dernières iraient voir ailleurs en raison d’une insatisfaction quant au sexe. On peut ainsi deviner un lien entre l’une et l’autre situation et le fait que les hommes se mettent autant de pression.

Les aventures extraconjugales sont finalement aussi courantes chez les deux sexes, et ce, malgré la croyance populaire. Les hommes seraient donc infidèles dans une proportion de 23 %, alors que les femmes le seraient à 19 %.

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Les risques du cancer du côlon se multiplient

En une trentaine d’années, les cas de cancer du côlon ont explosé. Selon des statistiques présentées dans le British Journal of Cancer, les risques de développer un tel cancer, pour un homme, ont doublé en une seule génération.

Si, en 1975, 1 homme sur 29 risquait d’en souffrir, il s’agit aujourd’hui de 1 sur 15. Une augmentation a aussi été remarquée chez la femme, quoiqu’elle soit moins radicale : on parlait de 1 cas sur 29 et on passe maintenant à 1 sur 19.

Les raisons en seraient l’épidémie d’obésité, la plus forte consommation d’alcool ainsi que la baisse de l’activité physique. De plus, nous vivons plus vieux : le cancer du côlon tend à être une maladie liée à la vieillesse.

D’un autre côté, les gens survivent de plus en plus au cancer du côlon. Les diagnostics se font de plus en plus tôt et les traitements augmentent en efficacité.

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Fondez votre petite famille avant 35 ans

Ces données, provenant d’une étude britannique, sont valables tant pour les femmes que les hommes. Famili.fr rapporte les faits découlant de la recherche menée par des scientifiques de l’Université de Glasgow.

Ce n’est plus un secret, plus la femme avance en âge et plus ses chances de procréer diminuent. La présente étude relate que dès l’âge de 35 ans, les possibilités tombent en chute libre.
 
À titre d’exemple, à 40 ans, les femmes utilisant la méthode in vitro n’ont que 23 % de réussite. En contrepartie, 8 femmes sur 10 deviennent mères de cette façon lorsqu’elles ont moins de 35 ans.
 
« Le nombre et la qualité des ovules dans l’ovaire diminuent », affirme le professeur Scott Nelson, coauteur de l’étude. « Quant à la PMA, elle perd autant d’efficacité et ne constitue donc pas une solution alternative de secours ».
 
On oublie souvent de souligner la contribution masculine dans la procréation tardive. Mesdemoiselles, peu importe que vous ayez 15 ans de moins que votre partenaire, sachez qu’un homme de 40 ans mettra en moyenne 2 ans pour réussir à vous offrir un test de grossesse positif.
 
Les générations futures devront revoir leurs priorités, puisque la conception est à son paroxysme de 20 à 35 ans.
 
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Les hommes mariés se font soigner plus rapidement

Il a déjà été démontré que le mariage avait des bienfaits pour la santé, surtout chez les hommes.
 
Une nouvelle étude canadienne publiée dans le Canadian Medical Association Journal démontre une fois de plus que les hommes retirent des avantages à être mariés.
 
En effet, pour une crise cardiaque, les hommes mariés ou en union se font soigner plus rapidement que leurs congénères célibataires, divorcés ou veufs. Sans doute parce que leur conjointe les incite à consulter rapidement.
 
Parmi les 4 403 personnes étudiées qui avaient eu une crise cardiaque, 46,3 % s’étaient rendues à l’hôpital dans les deux heures suivant les premières douleurs thoraciques et 73,6 % s’y étaient rendues dans les six heures.
 
L’âge moyen des patients était 67,3 ans et 33,7 % étaient des femmes. Cependant, chez les femmes mariées, on ne note pas de différence quant à la rapidité à se faire soigner comparativement aux femmes seules.
 
Chez les hommes mariés, 75,3 % s’étaient rendus à l’hôpital dans les six heures, contre 67,9 % des célibataires, 68,5 % des divorcés et 70,8 % des veufs.
 
Les hommes mariés ou en couple ont donc moins de risques de mourir d’un trouble cardiaque que les autres.
 
Rappelons que les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès.
 
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L’hypersensibilité olfactive, problématique pour certaines femmes enceintes

Medicmagic rapporte les faits de l’étude conduite par le Monell Chemical Senses Center à Philadelphie. C’est en 2002, selon Howstuffworks, que l’étude a été menée. Cette condition particulière, où la femme enceinte ressent un malaise à cause d’odeurs qui lui sont habituellement agréables, serait simplement due à l’adaptation hormonale du début de grossesse.

En effet, l’hypersensibilité olfactive peut même se développer pendant la période d’ovulation du cycle menstruel. Ce sont les oestrogènes qui sont les grands responsables de ce changement. Ainsi, pendant le premier trimestre de grossesse, comme ils sont présents en grande quantité, la sensibilité olfactive peut aggraver les nausées matinales.
 
La seule façon de réduire les effets consiste à éviter les aliments ou autres odeurs désagréables, en ouvrant les fenêtres le plus souvent possible pour faire circuler l’air. Les chercheurs affirment qu’il s’agit d’un phénomène de protection, qui permettrait à la femme enceinte de détecter les produits chimiques ou néfastes pour le fœtus.

À la base, le café, les produits laitiers et les mets épicés sont les odeurs à éviter. D’autre part, la future maman aura tout intérêt à se procurer des bougies ou autres produits dégageant des odeurs qu’elle apprécie, comme la menthe ou les agrumes. Les effets s’estompent habituellement au deuxième trimestre de la grossesse.

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L’hypersensibilité olfactive, problématique pour certaines femmes enceintes

Medicmagic rapporte les faits de l’étude conduite par le Monell Chemical Senses Center à Philadelphie. C’est en 2002, selon Howstuffworks, que l’étude a été menée. Cette condition particulière, où la femme enceinte ressent un malaise à cause d’odeurs qui lui sont habituellement agréables, serait simplement due à l’adaptation hormonale du début de grossesse.

En effet, l’hypersensibilité olfactive peut même se développer pendant la période d’ovulation du cycle menstruel. Ce sont les oestrogènes qui sont les grands responsables de ce changement. Ainsi, pendant le premier trimestre de grossesse, comme ils sont présents en grande quantité, la sensibilité olfactive peut aggraver les nausées matinales.
 
La seule façon de réduire les effets consiste à éviter les aliments ou autres odeurs désagréables, en ouvrant les fenêtres le plus souvent possible pour faire circuler l’air. Les chercheurs affirment qu’il s’agit d’un phénomène de protection, qui permettrait à la femme enceinte de détecter les produits chimiques ou néfastes pour le fœtus.

À la base, le café, les produits laitiers et les mets épicés sont les odeurs à éviter. D’autre part, la future maman aura tout intérêt à se procurer des bougies ou autres produits dégageant des odeurs qu’elle apprécie, comme la menthe ou les agrumes. Les effets s’estompent habituellement au deuxième trimestre de la grossesse.

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L’âge joue un rôle dans les traitements de fertilité

Si elle suit un traitement de fertilité avant ses 38 ans, une femme aurait plus de chances de mener sa grossesse à terme.

En fait, en passant d’avant 37 ans à entre 38 et 40 ans, les taux d’avortement spontané, de fausse couche et de perte du fœtus durant le 1er trimestre basculent abruptement. Ils passent respectivement de 8,5 %, 6,8 % et 16,9 % à 13,8 %, 16,6 % et 33,8 %.

Mentionnons que ces chiffres correspondent à un traitement de fertilité particulier, celui-ci consistant en l’extraction d’au moins 11 ovules des ovaires des femmes lors d’une stimulation de cycle ovarien.

Basés sur des données recueillies de 1992 à 2009, ces résultats obtenus par le Centre de médecine reproductive UZ Bruxelles proviennent de 23 354 cycles de stimulation.

Les chercheurs ont présenté leurs découvertes dernièrement lors du congrès annuel de l’European Society of Human Reproduction and Embyology, rapporte Medical News Today.