Les troubles respiratoires durant le sommeil peuvent conduire à de graves problèmes, surtout pour les femmes.
Mangez bien, pour tomber enceinte
Les infidèles sont complexés
Une étude de l’Université de Guelph jette un tout nouvel éclairage sur l’infidélité. Il semble que les hommes en viendraient à tromper leur partenaire parce qu’ils sont complexés.
Ce serait leur peur de l’échec qui les pousserait le plus à commettre l’acte d’infidélité. Ils s’en feraient particulièrement pour leurs performances sexuelles. Ils tromperaient donc leur femme pour se rassurer.
Il n’en est pourtant pas ainsi pour les femmes. Ces dernières iraient voir ailleurs en raison d’une insatisfaction quant au sexe. On peut ainsi deviner un lien entre l’une et l’autre situation et le fait que les hommes se mettent autant de pression.
Les aventures extraconjugales sont finalement aussi courantes chez les deux sexes, et ce, malgré la croyance populaire. Les hommes seraient donc infidèles dans une proportion de 23 %, alors que les femmes le seraient à 19 %.
En une trentaine d’années, les cas de cancer du côlon ont explosé. Selon des statistiques présentées dans le British Journal of Cancer, les risques de développer un tel cancer, pour un homme, ont doublé en une seule génération.
Si, en 1975, 1 homme sur 29 risquait d’en souffrir, il s’agit aujourd’hui de 1 sur 15. Une augmentation a aussi été remarquée chez la femme, quoiqu’elle soit moins radicale : on parlait de 1 cas sur 29 et on passe maintenant à 1 sur 19.
Les raisons en seraient l’épidémie d’obésité, la plus forte consommation d’alcool ainsi que la baisse de l’activité physique. De plus, nous vivons plus vieux : le cancer du côlon tend à être une maladie liée à la vieillesse.
D’un autre côté, les gens survivent de plus en plus au cancer du côlon. Les diagnostics se font de plus en plus tôt et les traitements augmentent en efficacité.
Ces données, provenant d’une étude britannique, sont valables tant pour les femmes que les hommes. Famili.fr rapporte les faits découlant de la recherche menée par des scientifiques de l’Université de Glasgow.
Medicmagic rapporte les faits de l’étude conduite par le Monell Chemical Senses Center à Philadelphie. C’est en 2002, selon Howstuffworks, que l’étude a été menée. Cette condition particulière, où la femme enceinte ressent un malaise à cause d’odeurs qui lui sont habituellement agréables, serait simplement due à l’adaptation hormonale du début de grossesse.
À la base, le café, les produits laitiers et les mets épicés sont les odeurs à éviter. D’autre part, la future maman aura tout intérêt à se procurer des bougies ou autres produits dégageant des odeurs qu’elle apprécie, comme la menthe ou les agrumes. Les effets s’estompent habituellement au deuxième trimestre de la grossesse.
Medicmagic rapporte les faits de l’étude conduite par le Monell Chemical Senses Center à Philadelphie. C’est en 2002, selon Howstuffworks, que l’étude a été menée. Cette condition particulière, où la femme enceinte ressent un malaise à cause d’odeurs qui lui sont habituellement agréables, serait simplement due à l’adaptation hormonale du début de grossesse.
À la base, le café, les produits laitiers et les mets épicés sont les odeurs à éviter. D’autre part, la future maman aura tout intérêt à se procurer des bougies ou autres produits dégageant des odeurs qu’elle apprécie, comme la menthe ou les agrumes. Les effets s’estompent habituellement au deuxième trimestre de la grossesse.
Si elle suit un traitement de fertilité avant ses 38 ans, une femme aurait plus de chances de mener sa grossesse à terme.
En fait, en passant d’avant 37 ans à entre 38 et 40 ans, les taux d’avortement spontané, de fausse couche et de perte du fœtus durant le 1er trimestre basculent abruptement. Ils passent respectivement de 8,5 %, 6,8 % et 16,9 % à 13,8 %, 16,6 % et 33,8 %.
Mentionnons que ces chiffres correspondent à un traitement de fertilité particulier, celui-ci consistant en l’extraction d’au moins 11 ovules des ovaires des femmes lors d’une stimulation de cycle ovarien.
Basés sur des données recueillies de 1992 à 2009, ces résultats obtenus par le Centre de médecine reproductive UZ Bruxelles proviennent de 23 354 cycles de stimulation.
Les chercheurs ont présenté leurs découvertes dernièrement lors du congrès annuel de l’European Society of Human Reproduction and Embyology, rapporte Medical News Today.