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Un bon conseil pour tomber enceinte

Une étude des Pays-Bas viendrait d’appuyer la pensée selon laquelle le café diminuerait la fertilité féminine, apprend-on sur Medic Magic. Il semble en effet que la consommation de cette boisson réduirait les chances de grossesse.

La caféine aurait un effet néfaste sur l’oviducte, lequel est responsable du transport des ovules depuis les ovaires jusqu’à l’utérus. Boire plusieurs cafés par jour pourrait donc réduire les chances d’une femme de tomber enceinte.
 
Cette recherche a porté sur 9 000 femmes. Celles qui ont pris plus de quatre tasses de café par jour ont vu leurs chances de vivre une grossesse réduites du quart.
 
Bien que cela ne soit pas la première fois qu’un lien est fait entre la caféine et la fertilité, on ne saurait encore en expliquer clairement les causes.

En effet, ce qui se produit réellement à l’oviducte, aux ovaires et à l’utérus, quand on boit trop de café, n’a pas été jusqu’ici élucidé par les scientifiques.

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Le café diminue vos chances de tomber enceinte

Les chercheurs savaient que les femmes qui buvaient beaucoup de café avaient plus de difficulté à tomber enceinte. C’est ce qu’ils avaient constaté lors d’une étude portant sur 9 000 femmes, mais on ignorait pourquoi jusqu’à présent.
 
Le British Journal of Pharmacology rapporte que les scientifiques viennent de découvrir la raison pour laquelle le café diminue les chances de conception.
 
Apparemment, la caféine altère le transport des ovules, des ovaires jusque dans l’utérus, et quatre tasses de café par jour réduisent les chances de tomber enceinte de près de 25 %.
 
La caféine inhibe donc les contractions des trompes de Fallope qui sont nécessaires au transport des ovules.
 
Cette découverte permet également de mieux comprendre le rôle des trompes de Fallope qui est si important pour la conception d’un enfant. Cela pourrait aussi ouvrir la voie à une meilleure compréhension des grossesses extra-utérines.
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Comment accoucherez-vous?

Les femmes réfléchissent toutes à la façon dont elles mettront leur enfant au monde. Plusieurs optent pour un plan de naissance et choisissent une accompagnatrice.

Si le travail des sages-femmes est désormais mieux reconnu et que de nombreuses futures mamans se tournent vers les maisons de naissance, plusieurs préfèrent accoucher chez elles.
 
En fait, durant les dernières années, les accouchements à la maison sont en perpétuelle augmentation. Par exemple, aux États-Unis, ils ont connu une hausse de 20 % de 2004 à 2008.
 
C’est ce que nous apprend une étude publiée dernièrement dans Issues in Perinatal Care. Après une baisse continuelle durant les années 90, les accouchements à la maison semblent effectuer un retour en force.

Ils demeurent toutefois l’exception. Par exemple, aux États-Unis, ils ont représenté seulement 0,67 % des naissances en 2008. Il s’agit malgré tout du plus haut taux de toute la décennie précédente.

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La césarienne est-elle une mode?

Accoucher par césarienne relève-t-il d’un phénomène social? C’est la question que semblent s’être posée des chercheurs américains.

Leur recherche, publiée dans BMC Public Health, nous révèle une augmentation des césariennes, dont l’une des causes serait la classe sociale.
 
Tout d’abord, les naissances par césarienne sont en augmentation depuis 30 ans. Il semble pour les femmes que le statut socio-économique de la mère soit en relation avec le recours à cette procédure médicale.
 
Il semble aussi qu’il y ait eu un renversement. Il y a une trentaine d’années, les femmes vivant des conditions économiques plus difficiles accouchaient plus souvent par césarienne. Si les taux se sont égalés au début des années 2000, les bébés nés d’une femme plus à l’aise financièrement semblent avantagés.

À la lumière de ces résultats, les chercheurs disent que ces constats ne sont pas inquiétants, mais il faudrait s’assurer toutefois que toutes les femmes ont accès équitablement aux soins médicaux.

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Chambre à part après bébé

Selon un sondage présenté dans le Daily Mail, les couples auraient tendance à ne plus dormir ensemble après la naissance de leur bébé. Il semble que ce soit malgré tout la solution la plus efficace quant au surmenage.

Un poupon ne dort pas durant une nuit complète avant quelques mois. Cela entraîne bien entendu un surmenage chez les parents. Peut-être que cette façon de fonctionner aiderait ces derniers à mieux récupérer leur sommeil perdu.
 
Ainsi, selon les données de ce sondage, 1 personne sur 10 a décidé de faire chambre à part après la venue d’un premier bébé. Durant la première année de vie de l’enfant, 1 personne sur 3 continuera à dormir seule, alors que 6 couples sur 10 dorment ensemble.

Finalement, on a remarqué que 25 % des femmes prennent des somnifères après la naissance de leur bébé.

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Des sévices durant l’enfance mènent à des syndromes

On peut lire dans le Journal of Aggression, Maltreatment & Trauma les résultats d’une recherche menée par l’Université de Toronto.

Il semble que des sévices durant l’enfance entraînent des syndromes comme la fibromyalgie, la fatigue chronique et de multiples sensibilités chimiques chez les femmes.
 
En fait, les femmes qui ont vécu des sévices lorsqu’elles étaient petites seraient 65 % plus souvent atteintes de fibromyalgie. Ce taux provient d’un sondage effectué auprès de 7 342 Canadiennes en 2005. Parmi elles, 10 % avaient subi des sévices durant leur enfance.
 
Cette recherche a aussi exploré l’influence conjointe de facteurs psychosociaux, tels que les problèmes vécus durant l’enfance, de la santé mentale et du comportement à l’âge adulte.

Selon Joanne Sulman, du Département de travail social de Mount Sinai, l’aspect le plus intéressant de la recherche demeure ce lien entre les sévices et l’apparition des syndromes mentionnés.

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Les femmes prennent du poids dans une relation amoureuse

Une étude affirme que bien que les relations amoureuses soient bonnes pour la santé mentale et le bonheur, elles le seraient moins pour la ligne.
 
En effet, selon Shape, les femmes qui ont des fréquentations ont tendance à prendre 7 kg en cinq ans. Dans les mariages heureux, elles prendraient 8 kg sur dix ans. Les jeunes mariées, quant à elles, prendraient un kilo en quelques mois seulement.
 
Le changement d’alimentation explique en grande partie ce phénomène. De plus, comme les femmes ne dépensent pas autant d’énergie que les hommes, elles prennent donc du poids plus rapidement dans une relation.
 
Il existe toutefois quelques astuces qui pourraient aider à conserver la ligne, notamment en mangeant lentement.
 
Manger des hors-d’œuvre faibles en calories pour remplir son estomac est un bon moyen de manger moins au repas principal. Se fixer des limites est primordial et dites-vous que vous n’êtes pas obligé de commander un dessert si votre partenaire le fait.
 
Les rendez-vous amoureux ne sont pas obligatoirement toujours autour d’un bon repas. Faites des activités et prenez des goûters légers également. Si votre partenaire n’aime pas les régimes, tournez-vous vers des amis qui pourront vous aider à oublier les collations sucrées, du moins en leur compagnie.
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L’horloge biologique des femmes est plus rapide

On le soupçonne depuis un moment, mais des chercheurs américains viennent de le prouver : l’horloge biologique des femmes est plus rapidement que celle des hommes.
 
Après voir étudié 52 hommes et 105 femmes pendant deux à six semaines, on constate que les femmes auraient 2,5 fois plus de chances d’avoir un rythme circadien de moins de 24 heures.
 
En effet, chez la femme, ce cycle qui détermine la durée de la journée est plus court de six minutes, donc il se termine avant même que les 24 heures ne soient passées.
 
« Ce résultat pourrait expliquer pourquoi les femmes se réveillent en moyenne plus tôt », explique Claude Gronfier, chercheur à l’Inserm.
 
Selon la revue PNAS, les femmes et les hommes vivent donc en « décalage horaire ».
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Un mode de vie sain réduit les risques de cancer du sein de moitié

Les experts affirment que la moitié des cas de cancer du sein pourraient être évités si les femmes adoptaient un mode de vie sain.
 
Ainsi, en réduisant leur consommation d’alcool, en se nourrissant bien et en faisant 30 minutes d’exercices par jour, elles auraient moins de risques de développer la maladie.
Cela ne protège pas à 100 % contre le cancer du sein, mais ce mode de vie réduit tout de même les chances d’être malade.
 
Il a été démontré que la consommation d’alcool favorise l’apparition du cancer du sein. Ainsi, on devrait limiter la consommation à un verre de boisson quotidiennement maximum.
 
Le World Cancer Research Fund recommande également de perdre du poids, sans toutefois tomber dans l’insuffisance pondérale. Ainsi, il est préférable d’éviter le gras, le sel et le sucre, de diminuer sa consommation de viandes rouges et transformées et d’opter plutôt pour les fruits, légumes et légumineuses notamment.
 
Ces nouvelles données, rapportées par le Telegraph, démontrent qu’il y a encore un long chemin à faire afin de promouvoir la prévention du cancer du sein par de saines habitudes auprès des femmes.
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Obésité et grossesse : risques d’infection

Comme nous l’apprenons sur Sciences Daily, une étude présentée par les Pediatric Academic Societies fait état d’autres risques encourus par une femme obèse quand elle est enceinte.

Nous connaissions déjà les risques pour la santé même de la femme, mais nous voyons maintenant qu’elle serait moins encline à combattre des infections. On a notamment parlé de chorioamniotite, ce qui comprend des infections du liquide amniotique et des membranes autour du fœtus.
 
L’étude en question comprenait un peu plus de 30 femmes. La moitié d’entre elles étaient obèses, c’est-à-dire qu’elles accusaient un indice de masse corporelle (IMC) de plus de 30. Les autres avaient un IMC situé entre 20 et 25.
 
Au regard des résultats, il semble que les femmes souffrant d’obésité produisaient moins de cellules pouvant combattre les infections. Ainsi, les risques encourus durant la grossesse sont plus grands pour ces dernières.

On s’attend à ce que les recherches se poursuivent à ce sujet.