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Analyse du syndrome du bébé secoué

Si l’on connaît les répercussions du syndrome du bébé secoué, tels les dommages au cerveau, le profil des coupables est toutefois peu documenté.

C’est dans ce but que des chercheurs de trois hôpitaux américains ont tenté d’évaluer les différences entre les femmes et les hommes qui commettent ces sévices. Pour ce faire, on s’est basé sur les données recueillies sur des cas survenus entre 1998 et 2008.

Pour les 34 cas étudiés (17 de chaque sexe), on avait accès aux conséquences judiciaires encourues ainsi qu’au profil de ces personnes ayant secoué un bébé.

De plus, on a pu prendre connaissance des dommages au cerveau et à la rétine, entre autres, vécus par les bébés en cause. L’âge moyen des victimes était de 9,4 mois.

Après analyse, il en est ressorti qu’il y avait une différence marquée entre les hommes et les femmes quant aux coupables. Les hommes étaient plus jeunes et ils étaient plus portés à se confesser de leur crime. De plus, leurs victimes avaient subi de plus graves dommages à leur santé.

D’autres recherches sur le sujet pourraient suivre, mais jusqu’ici, on peut déjà établir un certain profil des coupables du syndrome du bébé secoué. Les résultats détaillés de la présente étude ont été publiés dans Pediatrics.

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Les mères s’occupent deux fois plus des enfants

Encore aujourd’hui, ce sont les mères qui consacrent le plus de temps à s’occuper des enfants. C’est ce que révèle une étude européenne menée par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique).

Il semble donc qu’une mère passe en moyenne 1 h 40 chaque jour à s’occuper de ses enfants, tandis qu’un père n’y accorde que 42 minutes de son temps. La différence est donc assez marquée.
 
Ces chiffres ne changent pas pour autant si les parents occupent ou non un emploi. En effet, un père qui travaille passera en moyenne 40 minutes chaque jour avec ses enfants, contre 51 minutes pour un papa à la maison.

On a aussi pu remarquer, dans cette étude, que les hommes étaient plus souvent responsables de l’aspect ludique et didactique de l’éducation de leurs enfants, alors que les femmes avaient plus tendance à voir à la surveillance et aux soins accordés à leur progéniture.

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Accoucher sans avoir d’hémorroïdes

Les hémorroïdes surviennent chez de nombreuses femmes qui accouchent. Or, une invention pourrait aider fortement à les prévenir.

On apprend en effet sur La Parisienne que l’on pourrait se procurer dans un proche avenir le coussin stabilisateur péri-anal Hem-Avert. Se plaçant dans les régions anales et péri-anales durant l’accouchement, il réduirait les hémorroïdes pendant le travail.

Ce coussin fabriqué en polycarbonate est l’invention d’un nouveau papa, David Blurton. C’est en assistant sa femme durant l’accouchement qu’il a eu cette idée.
 
Jusqu’ici, des tests cliniques ont été faits sur le coussin Hem-Avert. Il a de ce fait été prouvé que les jeunes femmes qui l’avaient porté durant leur accouchement n’avaient pas eu d’hémorroïdes.

La FDA (Food Drug Administration) des États-Unis est le seul organisme à avoir approuvé le Hem-Avert pour l’instant.

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Les femmes ne se font plus d’illusions

Les temps changent. Les femmes d’aujourd’hui ne croient plus au prince charmant. Si elles sont encore en majorité (67 %) à croire que l’amour peut durer toute une vie, 73 % ne craindraient plus la séparation, même que 83 % des femmes, contre 75 % des hommes, sont favorables au divorce en cas de mésentente, et ce, même si le couple a des enfants.

De la même façon, le mariage n’est plus une étape obligatoire, car 7 personnes sur 10 estiment que l’on peut vivre avec un conjoint sans être marié ni même y songer.

C’est ce que révèle l’étude Couple, famille, parentalité, travail des femmes – Les modèles évoluent avec les générations publiée par l’INSEE.

Selon cette étude, 80 % des jeunes de 20 à 24 ans vivent en union libre, contre 5 % chez les 65 ans et plus.

En cas d’infidélité de la part de leur conjoint, 59 % des femmes n’hésiteraient pas à mettre un terme à leur union. C’est d’ailleurs la principale cause de séparation.

De plus, la moitié des répondants croit qu’aujourd’hui, une femme peut aisément avoir un enfant et l’élever seule.

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La fertilité d’une femme diminue plus rapidement qu’on le croyait

Des chercheurs britanniques de l’Université d’Édinbourg ont découvert que si les femmes veulent avoir le plus de chances possible de fonder une famille, elles devraient s’y mettre avant d’avoir 30 ans.

Selon leurs recherches rapportées par Top Santé, ils ont étudié la réserve ovarienne des femmes, soit le nombre d’ovules qu’elles ont dès leur naissance jusqu’à la ménopause. Ils ont constaté que la réserve s’épuise beaucoup plus rapidement qu’on le croyait jusqu’ici.

À 30 ans, les femmes n’auraient plus que 12 % de leurs ovules et à 40 ans, seulement 3 %.

Pourtant, beaucoup de femmes croient qu’elles deviennent plus fertiles lorsqu’elles ont finalement un cycle régulier. En fait, il ne faudrait vraiment pas se fier à cette croyance.

Malheureusement, les experts précisent que les femmes ne naissent pas avec les mêmes chances de concevoir un enfant. Alors que certaines peuvent s’estimer heureuses de naître avec une réserve de 2 millions d’ovules, d’autres n’en auront que 35 000.

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Les analgésiques peuvent être mauvais pour le nouveau-né

Babycenter.com rapporte que selon un nouveau rapport du gouvernement américain, les futures mamans qui consomment des analgésiques opioïdes comme la codéine, l’hydrocodone ou l’oxycodone peuvent augmenter le risque de malformations congénitales du fœtus.

La consommation de ces types d’analgésiques juste avant la grossesse ou durant ses premiers stades a été liée à un risque faible de malformations cardiaques congénitales, dans une récente étude.

Le risque était également plus élevé pour d’autres types de malformations congénitales.

Le Dr Thomas R. Frieden a déclaré : « Les femmes qui sont enceintes ou qui songent à tomber enceintes devraient savoir qu’il y a des risques associés à l’utilisation d’analgésiques. Elles ne devraient consommer que des médicaments qui sont essentiels, après consultation auprès de leur médecin. » 

Soulignons qu’environ 40 000 enfants naissent avec des malformations cardiaques congénitales aux États-Unis chaque année. Plusieurs d’entre eux décèdent au courant de l’année, alors que les enfants qui survivent peuvent être sujets à de longues hospitalisations, de multiples opérations et de longs traitements pour des problèmes médicaux.  

Les auteurs de cette étude tiennent tout de même à préciser que les risques encourus avec la consommation d’analgésiques avant ou durant la grossesse sont peu élevés.

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Les antipsychotiques dangereux pour le foetus

On apprend sur Bloomberg qu’un avis vient d’être émis quant à la prise d’antipsychotiques durant la grossesse. Ils auraient des effets néfastes sur la santé du bébé à venir lorsqu’ils sont ingérés durant le troisième trimestre. On a relevé plus de 20 médicaments du même type pouvant entraîner des séquelles une fois l’enfant né.

Les symptômes les plus courants sont des mouvements anormaux des muscles ainsi que l’absence de certains réflexes, tels que la difficulté à respirer ou à manger.
 
Aux États-Unis, la FDA (Food and Drug Administration) a fait savoir que depuis 2008, 69 cas de nouveau-nés présentant des mouvements anormaux des muscles et dont la mère avait pris des antipsychotiques durant la grossesse ont été rapportés.
 
Toutefois, les patientes qui doivent prendre des antipsychotiques ne doivent en aucun cas arrêter leur traitement sans avoir eu l’avis de leur médecin. L’arrêt abrupt de ce type de médicaments peut entraîner de graves conséquences.

Les antipsychotiques sont en grande partie utilisés pour maîtriser les symptômes de la schizophrénie et des troubles bipolaires.

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Attention aux accouchements provoqués

Selon une étude publiée dans le Journal of Reproductive Medicine, il est risqué de provoquer la naissance du bébé.

En plus de ne comporter aucun avantage pour celui-ci, la mère se retrouverait plus exposée à vivre une césarienne, à perdre plus de sang et à demeurer à l’hôpital plus longtemps.

Bien que le nombre de naissances provoquées soit en constante augmentation, les femmes devraient être mieux informées quant aux risques auxquels elles s’exposent.

En effet, 34 % des accouchements provoqués se terminent en césarienne, contre 20 % des naissances naturelles.

L’étude en question incluait 485 femmes qui ont accouché de leur premier enfant au Centre médical de l’Université de Rochester en 2007.

On ne se pose que trop peu de questions quant au recours à la césarienne. Pourtant, il s’agit d’une intervention médicale majeure qui peut entraîner de graves complications.

De plus, alors que les femmes souhaitent bien organiser leur vie, on oublie trop souvent qu’il y a de très bonnes raisons pour qu’un bébé soit porté jusqu’à terme.

Les obstétriciens devraient donc mieux conseillers les femmes au lieu de considérer l’enclenchement du travail comme une mesure de routine comprise dans la plupart des grossesses.

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Prééclampsie : un gène serait en cause

Une nouvelle voie de recherche s’offre aux femmes qui souffrent de la prééclampsie durant la grossesse.

Des chercheurs de l’Université de l’État de la Caroline du Nord ont remarqué une surabondance d’un gène dans le placenta de femmes ayant souffert de ce type d’hypertension lorsqu’elles étaient enceintes. Les résultats complets sont parus dans Placenta.

En collaboration avec des collègues de l’Université Duke dans l’État de New York, les chercheurs ont étudié la structure génétique de placentas provenant de femmes ayant été atteintes de prééclampsie, puis les ont comparés avec d’autres provenant de grossesses normales.

L’association avec le gène cité était bien réelle, car on a prouvé l’irrégularité de l’enzyme SIAE, laquelle participe à la modification de l’acide sialique. Entre d’autres mots, c’est comme si le corps s’attaquait lui-même.

L’enzyme SIAE a aussi été reliée à des maladies auto-immunes comme l’arthrite rhumatoïde et le diabète de type 1.

Rappelons finalement que plus de 10 % des femmes enceintes souffrent de prééclampsie. Parmi elles, 15 % accoucheront prématurément. Cette nouvelle découverte offre donc de l’espoir à beaucoup de femmes et à leur futur enfant.

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S’administrer son épidurale soi-même?

On propose depuis peu une nouvelle façon d’accoucher : la femme déciderait elle-même de sa dose d’épidurale ainsi que du moment de l’injection.

Selon Radio-Canada, des médecins suggéreraient fortement cette nouvelle méthode, car elle faciliterait l’accouchement. La femme aurait la maîtrise sur l’administration de son épidurale à l’aide d’un bouton.

Cette façon de faire diminuerait les interventions médicales. En effet, après avoir observé 270 accouchements, on a remarqué que la dose d’épidurale utilisée était moindre chez les femmes ayant décidé elles-mêmes le moment de l’injection.

Mentionnons que parmi les participantes, le tiers avaient le pouvoir sur leur injection de l’anesthésique à l’aide d’un bouton.

On aurait aussi remarqué que dans le cadre de cette méthode, les forceps et les ventouses avaient été moins souvent utilisés, ce qui rend les naissances moins traumatisantes pour les bébés.

Bien que plusieurs médecins affirment qu’il n’existerait aucune différence entre les deux façons d’accoucher, des chercheurs sont des partisans de cette nouvelle méthode et l’ont confirmé lors du récent congrès de la Société de médecine fœtale maternelle à San Francisco.