Étiquette : femme
On voudrait bien continuer à porter nos talons aiguilles jusqu’à la fin de la grossesse, car ce type de chaussures fait une belle silhouette.
Pourtant, ils seraient à éviter durant ces neuf mois parce qu’ils ne sont pas adaptés aux besoins de la femme enceinte. Les talons pourraient donc avoir un impact négatif sur la posture, les muscles et ils causeraient une pression sur le dos et les genoux.
D’ailleurs, on apprend sur MedicMagic que selon 1 000 femmes enceintes ayant répondu à un sondage en Angleterre, elles avaient toutes des problèmes aux pieds, et ce, qu’elles portent des sandales, des ballerines, des talons hauts, des bottes Ugg ou autre chose.
Choisir le bon soulier lorsque l’on est enceinte est donc primordial, car les douleurs aux chevilles et aux talons sont très fréquentes. Cela est dû à une hormone de grossesse, la relaxine, qui étend les muscles et les ligaments. Ce phénomène rend donc les pieds plus vulnérables.
Finalement, on recommande le port d’un talon de 1,2 pouce durant la grossesse. Le poids est ainsi repoussé légèrement vers l’avant du pied, ce qui assure plus de confort. Les talons hauts, quant à eux, si l’on ne peut s’en passer, ne devraient être portés que de courtes périodes à la fois.
Les femmes qui souhaitent tomber enceintes par fécondation in vitro (FIV) seront heureuses d’apprendre une nouvelle donnée quant au succès de cette procédure.
Des chercheurs américains viennent en effet de statuer qu’un utérus en bonne santé est plus important qu’un ovule en bon état pour qu’un bébé naisse avec un poids normal et à terme.
On a pu tirer cette nouvelle conclusion après avoir passé en revue trois ans de recherches scientifiques sur la fécondation in vitro. Ces dernières regroupaient 300 000 FIV ayant mené à plus de 70 000 naissances.
Les chercheurs ont comparé le poids à la naissance et le temps de gestation chez des bébés nés d’une procédure courante de FIV, d’une fécondation in vitro avec donneur d’ovule et d’une FIV avec mère porteuse.
Ainsi, tandis que la possibilité de réussir une grossesse est liée à la qualité de l’embryon, le poids à la naissance et le temps de gestation seraient dus à l’état de l’utérus.
De plus, l’influence sur le poids et la durée de gestation était plus apparente dans les cas de FIV courante, c’est-à-dire lorsque les patientes portaient un embryon créé avec leur propre ovule. Cette influence baissait quand l’ovule provenait d’un donneur et il baissait encore dans les cas de mère porteuse.
Il semble donc que l’utérus constitue un facteur déterminant. On a aussi pu conclure, dans le cadre de cette étude, que l’infertilité masculine n’influençait pas le poids à la naissance ni le temps de gestation.
Mise en garde quant à l’acupuncture
Plusieurs femmes recherchent des moyens naturels de soulager la douleur durant le travail lorsqu’elles accouchent.
Or, selon une récente étude parue dans BJOG, l’acupuncture ne serait pas une solution. Du moins, il semble que l’acupuncture ne réduirait que très peu la douleur reliée à l’accouchement.
Pour tirer ces conclusions, on a suivi 105 femmes qui allaient accoucher pour la première fois. Les participantes ont toutes été provoquées.
Parmi elles, 52 avaient reçu un traitement d’acupuncture avant le début des contractions. Elles n’ont remarqué aucune différence quant à leur douleur par la suite et les deux tiers ont eu recours à l’épidurale durant le travail.
En comparaison, celles qui avaient reçu un faux traitement d’acuponcture ont demandé l’épidurale à 56 %, contre 77 % pour celles qui n’avaient rien reçu du tout.
En conclusion de cette recherche, on a retenu que les différences entre les trois groupes ne se démarquaient pas. Cela corrobore ce qui a déjà été démontré dans de précédentes études sur le sujet.
Le mariage est bon pour la santé!
Les couples mariés vivraient plus longtemps que les célibataires et les bénéfices pour la santé de la vie à deux augmenteraient au fil du temps. Il semble aussi que le divorce peut avoir un impact dévastateur sur la santé.
C’est ce qu’a démontré une récente étude parue dans Student BMJ. On souligne aussi qu’il faut attendre quelques années avant de remarquer ces présumés avantages.
Ainsi, les sentiments amoureux à l’adolescence sont plus liés à un état dépressif et les jeunes adultes ne remarquent pas de différence sur leur santé en étant en couple.
Pourtant, la vie de couple a bel et bien un effet positif sur la santé. Les hommes tendent à se maintenir dans un meilleur état physique, étant influencés par les habitudes de leur épouse, tandis que les femmes sont comblées émotionnellement en vivant une relation durable.
Ces conclusions ne sont pas tirées au hasard. Elles proviennent d’une très vaste étude ayant porté sur un milliard de personnes réparties dans sept pays européens.
On a aussi pu statuer que les personnes mariées avaient une espérance de vie de 10 à 15 % plus élevée que la population en général. Il semble donc que se marier signifie bien de se dire oui pour la vie.
Une femme qui était déjà obèse ou en surpoids avant sa grossesse court de plus grands risques lors de son accouchement.
Celui-ci doit plus souvent être provoqué, car le temps de gestation d’une femme dans cet état de santé tend à être trop long. Le recours à une césarienne serait aussi plus fréquent.
Ce sont les conclusions d’une étude de l’Université de Liverpool parue dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology.
Ayant porté sur 30 000 femmes qui ont accouché au cours des 4 dernières années, elle a permis d’établir certaines comparaisons entre les femmes en surpoids et celles d’un poids considéré comme normal.
Il semble donc que 3 femmes obèses sur 10 ont dépassé leur temps de gestation, contre 2 sur 10 pour les autres.
De plus, si le quart des femmes de poids santé ont dû faire provoquer leur accouchement, c’est la réalité de plus du tiers des femmes en surpoids ou souffrant d’obésité.
Parmi celles-ci, 3 sur 10 ont vu leur accouchement se solder par une césarienne, alors que moins de 20 % des femmes en général vivent cette situation à la suite d’un accouchement provoqué.
Il semble que les pensées suicidaires soient un phénomène plus souvent vécu par les enfants de parents divorcés. C’est ce que suggère une récente étude de l’Université de Toronto parue dans Psychiatry Research.
Que les parents soient toutefois rassurés, les chercheurs de cette étude ne suggèrent d’aucune façon que leur divorce destine leur enfant au suicide.
Pour établir la présente corrélation, on a questionné 6 647 adultes, dont 695 avaient vécu le divorce de leurs parents avant l’âge de 18 ans.
Il semble que l’idée du suicide soit fortement liée à des problèmes connexes et stressants, comme la perte d’emploi de la mère ou du père, des sévices et des problèmes de dépendance d’un parent.
De plus, chez les femmes n’ayant pas vécu ce type de problèmes durant leur enfance, les pensées suicidaires sont pratiquement inexistantes.
Chez les hommes, la pensée du suicide s’est avérée être deux fois plus fréquente chez ceux issus d’une famille ayant vécu un divorce, et ce, indépendamment de tout autre facteur.
Il semble donc que ce soit différemment vécu par les hommes et les femmes.
Ces résultats restent finalement à être confirmés par des recherches subséquentes.