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Cinq aliments parfaits pour la femme moderne

Le site spécialisé MedicMagic rapporte qu’il y a cinq aliments que les femmes ne devraient jamais négliger.
 
La femme moderne se soucie de plus en plus d’avoir un mode de vie sain, une bonne alimentation, de faire de l’exercice, de bien se reposer et de s’occuper des tâches à la maison.
 
Toutefois, elles devraient toujours consommer des légumes feuillus comme les épinards, les haricots, la laitue et le brocoli, car ils sont riches en fibres, en vitamine C et K et en acide folique. Ils sont excellents également pour la santé des yeux et fournissent un apport en calcium, magnésium, fer et potassium.
 
De plus, les céréales de tous genres, comme le blé, sont nécessaires. Choisissez toujours le pain et les pâtes de blé et préférez le riz brun. Riches également en fibres et vitamines, ils fournissent aussi de bonnes protéines.
 
Les noix sont aussi reconnues pour leurs apports nutritionnels.
 
Les baies aident à contrôler le poids et sont riches en antioxydants, en plus d’aider à conserver une bonne mémoire.
 
Finalement, le yogourt devrait faire partie de votre quotidien, particulièrement ceux faibles en gras, car ils fournissent de bonnes bactéries pour lutter contre la maladie.
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Les femmes vivraient plus longtemps parce qu’elles fument moins

Selon une étude européenne, le tabac pourrait expliquer de 40 à 60 % de la différence de mortalité entre les hommes et les femmes.
 
Tobacco Control affirme que les chercheurs ont utilisé les données recueillies par l’Organisation mondiale de la santé concernant les décès toutes causes confondues et ceux reliés au tabac, notamment à la suite d’un cancer du poumon ou des voies respiratoires.
 
La différence entre les décès chez les hommes et les femmes pourraient s’expliquer par le fait que les femmes fument moins que les hommes et ont plus souvent recours aux soins de santé.
 
40 à 60 % de la différence de mortalité entre les deux sexes peut être attribuée au tabac, alors que l’on parle de 20 % pour l’alcool.
 
Cette étude a été réalisée dans 30 pays d’Europe. Il est à noter qu’en France, au Danemark et au Portugal, on ne constate pas une aussi grande différence de mortalité entre les hommes et les femmes.
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Riez! Vous êtes en FIV!

Selon une surprenante étude venant de l’Israël, une femme aurait plus de chances de mener sa grossesse à terme si elle a été divertie tout de suite après son insémination.

L’auteure de l’étude, Shevach Friedler, a tiré cette conclusion après que son équipe ait suivi 219 femmes.

Celles qui ont été diverties par un clown médical immédiatement après le transfert d’embryon ont eu deux fois plus de chances de tomber enceintes.

Évidemment, d’autres études sont maintenant nécessaires pour soutenir cette nouvelle hypothèse, rappelle madame Friedler.

On attend donc que des recherches similaires soient réalisées pour démontrer clairement le lien entre le rire et le succès de la grossesse à la suite d’une FIV.

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Moins de bébés chez les diplômées

Plus une femme atteint un niveau d’études élevé, moins elle aurait d’enfants. C’est une corrélation à laquelle est arrivé l’Institut national d’études démographiques en France. 

La cause serait-elle qu’il est difficile de conjuguer carrière et famille? On remarque du moins que cette dernière est fondée plus tard si la femme est diplômée.

En effet, si les femmes ont leur 1er enfant en moyenne à 25 ans, ce nombre grimpe à 30 si elles font des études supérieures.

Quant au taux de fécondité, il a été de 1,8 chez les diplômées en 2008, contre 2,5 chez les autres femmes.

On a finalement remarqué que si en 2000, 34 % des enfants étaient nés d’une maman ayant fait des études supérieures, ce taux avait grimpé à 43 % en 2008.

On peut lire le détail de ces statistiques dans L’Express et le 20 minutes.

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Les larmes ne sont pas séduisantes sur une femme

Une petite étude révélée par le magazine Science mentionne que les larmes des femmes qui pleurent en raison de l’émotion contiennent un signal chimique qui diminue l’attirance sexuelle des hommes envers elles.
 
24 hommes ont participé à cette recherche en Israël. Ils devaient sentir des larmes de femmes qui avaient écouté un film triste ou des gouttes d’une solution saline qui avaient glissé sur les joues de ces mêmes femmes.
 
En voyant les photos de ces dernières, les hommes qui avaient senti les vraies larmes ont mentionné qu’elles étaient moins attirantes lorsqu’elles avaient pleuré.
 
On a même mesuré un taux de testostérone salivaire moins grand et un éveil physiologique moins élevé chez les hommes lorsque ces femmes pleuraient. Même la région de leur cerveau à l’origine de l’excitation était moins active. Des résultats qui surprennent même les scientifiques.
 
Des recherches se poursuivent pour savoir si les larmes des hommes et des enfants envoient des signaux similaires ou différents.
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Lien entre l’autisme et les grossesses rapprochées

Un enfant courrait plus de risques de vivre avec l’autisme s’il naît peu de temps après son frère ou sa sœur.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université Columbia à New York, apprenons-nous dans Pediatrics.

Parmi les 600 000 paires d’enfants de même famille de l’étude en question, ceux qui étaient nés à moins de 36 mois d’intervalle avaient un taux de risque de la maladie beaucoup plus élevé.

De plus, on a relevé un taux d’enfants autismes de 37,9 % chez ceux nés à moins de 12 mois d’intervalle.

Parmi les familles où les grossesses avaient eu lieu entre 3 à 11 mois d’intervalle, on a relevé des taux d’apparition de la maladie autour de 2 %. Si elles se passaient entre 24 et 35 mois, le taux se retrouvait autour de 1 %.

On ne saurait pour l’instant expliquer ce lien. Les chercheurs de l’étude soulignent finalement que tous les facteurs pouvant influer n’ont peut-être pas été pris en compte.

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L’enfant épileptique et la dépression de maman

Chez les femmes apprenant un diagnostic d’épilepsie chez leur enfant de 24 mois et moins, de 30 à 38 % souffriraient ensuite de dépression.

Or, on apprend dans Epilepsia que cet état de santé de la mère affecte grandement la qualité de vie de l’enfant.

Toutefois, les répercussions dépendent de l’entourage familial et des ressources d’aide dont elle dispose.

L’apparition de la dépression est commune chez les mères apprenant que leur enfant est épileptique. Une maladie chronique ou grave représente un très haut facteur de stress chez le parent.

Ce constat provient d’un récent sondage de l’Université de l’ouest de l’Ontario réalisé auprès de 339 femmes. Ces dernières avaient toutes un enfant faisant partie de la Health-related Quality of Life of Children with Epilepsy Study (HERQULES).

L’incidence de la dépression serait donc de 30 % si le diagnostic survient à 6 mois, de 32 % à 12 mois et de 30 % à 24 mois. À la base, 38 % des mères concernées sont à risque.

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L’implant contraceptif : nombreuses grossesses

Selon Le Figaro, la Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) a fait connaître cette semaine des données concernant l’implant contraceptif.

Ce moyen de contraception semble comporter de nombreux aspects négatifs. Premièrement, de 1999 à 2010, près de 600 femmes le portant sont tombées enceintes, et ce, au Royaume-Uni seulement.

Encouragé par l’Organisation mondiale de la santé à l’époque, le gouvernement britannique avait incité les femmes à adopter cette méthode.

Outre les grossesses-surprises que l’implant a engendrées, on a relevé 2 888 cas de réactions indésirables.

L’implant utilisé jusqu’ici, l’Implanon, a donc été changé pour le Nexplanon par son fabricant. L’arrivée de ce nouveau produit est attendue sous peu en Europe et ailleurs dans le monde.

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Un plus gros placenta chez les femmes stressées

Après avoir suivi 75 000 femmes enceintes, des chercheurs ont démontré que le stress augmentait la taille du placenta.

L’étude en question, dirigée par la Faculté de psychologie de Bâle, en Suisse, a été publiée dernièrement dans le magazine PloS One.

Dans le cadre de celle-ci, on a pu constater que le placenta était plus gros et plus lourd à la naissance de l’enfant chez les femmes vivant le plus grand stress.

Parmi les éléments stressants relevés, on compte ceux reliés au milieu de travail et à la vie familiale.

Il semble que ce développement accru du placenta proviendrait d’un besoin de protection du bébé. Il protégerait le fœtus des effets néfastes du stress.

D’autre part, les chercheurs ont remarqué que des facteurs comme la peur et la dépression n’ont aucune incidence sur la grosseur du placenta.

On ignore encore si la taille du placenta a une influence sur la santé du bébé.

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Une charte des médicaments durant la grossesse

Il demeure aujourd’hui incertain de prendre un médicament ou un autre durant la grossesse, car on ignore souvent les risques encourus pour le bébé.

Des membres du Children’s Hospital Boston Informatics Program (CHIP) aux États-Unis ont donc élaboré une charte sur le sujet.

Pour ce faire, ces chercheurs ont détaillé 619 médicaments reconnus pour avoir un haut facteur de risque pour le fœtus. On savait aussi quelles protéines et quels gènes ceux-ci pourraient influencer.

Le CHIP a donc pu démontrer que les médicaments influant sur les gènes associés aux malformations congénitales étaient les plus dangereux.

Bien que des recherches subséquentes soient nécessaires à la mise au point de cette charte, on peut déjà en lire les détails dans le Reproductive Toxicology.

Les chercheurs soulignent finalement que les femmes enceintes ne doivent pas omettre de prendre des médicaments qui leur sont nécessaires.