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Hausse des décès par épidurale

Si les morts reliées aux anesthésies générales ont chuté dans les dernières décennies, il semble que plus de femmes décèdent des suites de l’épidurale.

C’est que ce que suggère une récente étude parue dans Obstetrics & Gynecology.

On a remarqué que de 1979 à 2002, les décès par tout type d’anesthésie lors d’une naissance ont chuté de 59 %.

Pourtant, ceux reliés aux anesthésies locales sont en augmentation. En effet, si l’on en a relevé 2,5 par million lors d’une césarienne de 1991 à 1996, ce chiffre est passé à 3,8 de 1997 à 2002.

La Dre Joy L. Hawkins, de l’École de médecine à l’Université du Colorado à Aurora, a dirigé la présente étude. Elle considère que ces données doivent être prises au sérieux.

Selon elle, une future maman peut maîtriser plusieurs éléments durant sa grossesse et peut ainsi mettre toutes les chances de son côté.

Ainsi, la pression sanguine et le contrôle du diabète sont primordiaux et peuvent cibler les femmes pouvant être vulnérables.

Toutefois, la Dre Hawkins rappelle que la mort lors de l’accouchement constitue un événement rare.

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Les femmes crieraient trop en accouchant

Une fois sur quatre, les cris d’une femme qui accouche peuvent dépasser cent quinze décibels.

Or, un bruit de 115 décibels est au-dessus de la limite permise d’exposition professionnelle ont fait remarqué des sages-femmes d’un hôpital de Skövde, en Suède.

On peut lire dans le Dagens Sjuksköterska, un quotidien de ce pays destiné aux infirmières, que certaines de ces professionnelles suédoises se plaignent des cris des futures mamans.

La requête n’a pas été prise trop au sérieux jusqu’ici. Cette plainte quant aux conditions de travail de personnes aidant à donner la vie est des plus surprenantes.

Il semble pourtant qu’elle est fréquente et répétée. Pourtant, il serait difficile de demander à une femme de retenir ses cris pendant son accouchement.

Certains recommandent donc aux sages-femmes de se mettre des bouchons dans les oreilles afin de régler en partie ce problème.

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Un embryon à la fois pour la FIV

Une vaste étude portant sur près de 1 400 femmes a été menée par l’Université d’Aberdeen au Royaume-Uni.

Toutes les participantes avaient pris part à l’une des huit expériences de cette recherche. Les résultats détaillés peuvent être lus dans BMJ.

Un seul embryon a été implanté à la moitié des femmes à l’étude, tandis que l’autre groupe a subi une double procédure.

Les chances de mener une grossesse à terme, soit à 37 semaines, étaient plus grandes pour les femmes ayant reçu un seul embryon. En fait, elles seraient de 87 %.

De plus, une implantation simple réduirait le risque d’accoucher d’un bébé de faible poids.

Les chercheurs de l’étude concluent donc que les femmes qui désirent avoir un enfant et qui se tournent vers la FIV devraient être encouragées à ne recevoir qu’un embryon à la fois.

En plus des avantages mentionnés, les problèmes de santé liés aux naissances multiples pourraient aussi être écartés.

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Vétérantes enceintes : plus de maladies mentales

On peut lire dans le Journal of Women’s Health les résultats de chercheurs universitaires américains quant à l’apparition de problèmes de santé mentale chez l’ancienne soldate enceinte.

Les vétérantes de l’Iraq et de l’Afghanistan sont plus souvent atteintes de maladie mentale durant leur grossesse. Cela comprend des problèmes d’anxiété, la dépression et le post-partum.

La docteure Kristin Mattocks et ses collègues ont analysé le cas de 43 000 femmes ayant participé aux guerres de l’Iraq et de l’Afghanistan et qui ont terminé leur service militaire entre 2001 et 2008.

L’équipe souligne l’importance des symptômes précurseurs de la maladie mentale afin de prévenir les risques d’aggravation une fois qu’une femme se retrouve enceinte.

Les changements hormonaux et physiologiques accompagnant la grossesse peuvent entraîner ou aggraver des problèmes de santé mentale déjà existants.

Le stress vécu durant le service militaire d’une femme pourrait donc avoir de graves répercussions lorsqu’elle sera enceinte.

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Les femmes et la médicalisation de l’accouchement

Dans le cadre des 34es Journées nationales du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), un sondage a été réalisé auprès de 708 femmes.

En général, les femmes préfèrent accoucher à l’hôpital en raison de l’encadrement médical qu’il offre. Toutefois, elles sont de plus en plus nombreuses à remettre en question la médicalisation de l’accouchement.

Il semble aussi que les femmes ayant un tempérament rationnel sont portées à considérer la mise au monde comme un phénomène naturel (47 %). À l’opposé, celles qui sont de nature plus anxieuse la voient plus souvent comme un événement exceptionnel (50 %).

De plus, concernant ces profils remarqués, les initiateurs dudit sondage ont remarqué trois types d’attitude durant les trois premiers mois de grossesse. Il s’agit de l’« hyperconfiance » (en son instinct ou en la médecine), du rejet des contraintes (surtout lors d’une deuxième grossesse) et de l’autocensure.

Finalement, il semble que la sexualité de la femme enceinte fasse encore partie des tabous, car 62 % des participantes de ce sondage n’ont pas abordé cette question.

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L’exercice physique est plus bénéfique pour les femmes

Selon le Journal of the American Medical Association, l’exercice physique est plus bénéfique pour les femmes que pour les hommes, en ce qui concerne leur poids du moins.
 
Pour l’étude, on a suivi 3 500 personnes séparées en trois groupes, selon la fréquence d’activité physique (beaucoup, moyennement et peu). La recherche s’est déroulée sur 20 ans. Au début, tous les participants avaient dans la vingtaine.
 
Les femmes qui faisaient le plus d’activités physiques ont eu 50 % moins d’augmentation de leur indice de masse corporelle (IMC) et 25 % moins de surplus au tour de taille que les femmes qui faisaient peu d’exercice.
 
Chez les hommes, ces bénéfices sont toutefois réduits de moitié. En moyenne, en 20 ans, les hommes actifs ont pris 2,6 kg de moins que ceux qui étaient sédentaires, alors que pour les femmes, c’est 6,1 kg de moins.
 
Les activités intenses comme la course à pied permettent de limiter la durée de l’exercice. Ainsi, les chercheurs croient que 30 minutes quotidiennes de course suffisent à limiter la prise de poids pendant 20 ans.
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Preuves scientifiques quant aux liens de l’alimentation et du sexe du bébé

On peut lire dans le Daily Mail qu’une récente étude aurait jeté officiellement les bases pour qu’une grossesse résulte en un bébé de sexe féminin.

En effet, selon des chercheurs des Pays-Bas, un couple qui souhaiterait avoir une fille devrait suivre certains principes quant à la fréquence de ses relations sexuelles et l’alimentation de la future mère.

Ainsi, une femme devrait consommer beaucoup d’aliments contenant du calcium (yogourt, fromage, épinards, tofu, etc.) et du magnésium (noix de cajou, figues, céréales à grains entiers, etc.).

D’autres aliments devraient être évités, tels que ceux contenant beaucoup de sel et de potassium.

Les chercheurs de l’étude en question recommandent aussi aux couples souhaitant une fille d’avoir des relations sexuelles sur une base régulière, mais pas nécessairement avant ou après l’ovulation.

Pour tirer ces conclusions, ils ont suivi 172 femmes âgées de 23 à 42 ans. Toutes les participantes avaient déjà eu un garçon et souhaitaient avoir une fille.

On leur a demandé de suivre une diète et d’avoir des habitudes sexuelles comme il a été décrit plus haut. Or, plusieurs des participantes n’ont pas suivi toutes les règles à la lettre.

Malgré tout, parmi les 21 femmes qui avaient suivi le régime proposé de façon stricte, 16 ont accouché d’une petite fille.

Il semble que les deux méthodes combinées augmentent les chances de concevoir un bébé de sexe féminin.

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Une jolie femme a plus de chances d’avoir une fille

Une récente étude a fait un lien entre la beauté d’une femme et le sexe de son enfant.

Le Dr Kanazawa, de L’École d’économie de Londres, a mené cette étude des plus discutable s’il en est une. Selon lui, une femme au physique attrayant a plus de chances d’avoir des filles.

Des collègues et lui-même ont tout d’abord évalué la beauté de 17 000 enfants âgés de 7 ans. Plus tard, quand les sujets avaient atteint l’âge de 45 ans, on leur a demandé le sexe de leurs enfants.

Il semble donc que les femmes à qui l’on avait attribué un physique ingrat lorsqu’elles étaient plus jeunes ont plus souvent eu des garçons.

Les personnes qui étaient considérées comme jolies lorsqu’elles étaient enfants ont quant à elles eu autant de filles que de garçons.

Après cette suite de déductions, le Dr Kanazawa a conclu que ce lien était causé par la sélection naturelle, car la beauté sert plus aux femmes qu’aux hommes.

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Les femmes préfèrent encore accoucher à l’hôpital

Selon une récente enquête française, les femmes enceintes choisissent encore majoritairement l’hôpital pour donner naissance à leur enfant.

En fait, 64 % des répondantes ont choisi l’hôpital comme étant le lieu idéal pour accoucher.

Le corps médical demeure une sécurité, car pour 77 % d’entre elles, il serait même indispensable.

Le quart d’entre elles ont préféré les cliniques, qui sont connues en France et ailleurs. De plus, seulement 2 % des femmes enceintes interrogées ont répondu qu’elles préféraient vivre leur accouchement à la maison.

Par ailleurs, nous devons mentionner que près des trois quarts des femmes ayant participé à la présente enquête (73 %) ne savaient pas ce qu’était une maison de naissance.

Mieux connue de l’autre côté de l’Atlantique, il s’agit d’un lieu de naissance comprenant une maternité et où l’accouchement se déroule sous la supervision d’une sage-femme.

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Les femmes et l’obsession de la minceur : de nouvelles données

Le magazine en ligne Glamour a commandé un sondage dont les résultats sont plutôt inquiétants. Il semble que 54 % des répondantes aient une obsession quant à leur silhouette et leur poids.

Parallèlement, l’apparence semble être au cœur des préoccupations féminines, selon ce sondage.

En effet, 79 % des femmes y ayant répondu semblent trouver une satisfaction dans un changement de style fréquent, ayant acheté au moins un article de mode en ligne le mois précédant le sondage.

Pour ce qui est de l’obsession de la minceur chez les femmes, si la moitié d’entre elles semble la vivre, la majorité des répondantes en a assez des régimes farfelus habituellement proposés dans les magazines.

Ces femmes souhaiteraient qu’on leur suggère plus souvent des façons de changer leurs habitudes de vie et leur alimentation et qu’on les conseille d’une manière adaptée à leur vie de tous les jours.