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Avec une bonne protection solaire, se faire bronzer ferait vivre les femmes plus longtemps

On peut lire dans Mail Online que des chercheurs de l’Université de Lund, en Suède, ont fait des découvertes des plus surprenantes en observant 4 000 femmes.

Il semble que les femmes les plus bronzées sont moins à risque de plusieurs maux graves, en plus d’atteindre une plus haute espérance de vie. Bien sûr, on considère que ces femmes ont de bonnes habitudes quant à la protection solaire.

Ainsi, les adeptes du soleil courraient moins de risques de développer des caillots sanguins, un cancer utérin et le diabète.

Mentionnons que les cas de caillots sanguins dans la jambe sont deux fois plus élevés en hiver qu’en été, ce qui, d’après les chercheurs, corrobore leurs conclusions.

L’apport en vitamine D serait donc réellement bénéfique au maintien d’une bonne santé, de même qu’il peut aussi prévenir d’autres cancers et des maladies du cœur.

Cette étude paraît au moment même où le taux de cancer de la peau est en hausse en Suède, comme partout dans le monde, ce qui alimente bien sûr la controverse.

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Des complications de grossesse liées à un type de fécondation in vitro

Selon une étude parue dans Obstetrics & Gynecology, les risques de prééclampsie sont de 17 % si les femmes portent un ovule déjà fécondé, contre 5 % si elles utilisent la méthode traditionnelle de fécondation in vitro.

Les complications de grossesse seraient donc plus grandes si l’on implante un ovule déjà fécondé au lieu de féconder un ovule de la patiente. Les risques d’accouchement prématuré seraient aussi plus élevés.

L’apparition de la prééclampsie serait de toute évidence en lien avec la réponse du système immunitaire lors de la reconnaissance de cellules étrangères.

Rappelons que la prééclampsie se reconnaît par une hausse de la pression artérielle et un plus haut taux de protéines dans l’urine.

D’autre part, cette affection de grossesse serait plus fréquente lorsque la future mère porte un embryon ayant été congelé.

Cette étude menée par un hôpital du Rhode Island, aux États-Unis, s’est étalée de 1998 à 2005. Elle a porté sur 77 femmes ayant porté des ovules préalablement fécondés, ensuite comparées à 81 femmes ayant suivi la méthode traditionnelle de fécondation in vitro.

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Les femmes avec la forme pomme souffrent plus d’ostéoporose

Les femmes qui ont la forme pomme (plus de graisse autour de l’abdomen) sont plus sujettes à souffrir d’ostéoporose que les femmes ayant la forme poire (plus de graisse aux hanches et aux cuisses).
 
Selon le Telegraph, des chercheurs américains ont observé 50 femmes ménopausées avec un indice de masse corporelle de plus de 30. On a analysé la répartition de leur graisse et leur densité osseuse.
 
Celles avec plus de graisse à l’abdomen avaient une densité minérale osseuse qui indiquait la présence d’ostéoporose, alors que chez les femmes avec la forme poire, il n’y avait aucun lien.
 
Ce phénomène touche davantage les femmes, car avec la ménopause, la perte de masse osseuse est plus importante.
 
Il a souvent été prouvé qu’avoir plus de graisse à l’abdomen était plus nuisible pour la santé qu’avoir de la graisse aux hanches.
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De plus en plus de femmes ont peur de l’accouchement

D’après les observations de chercheurs de l’Université de Liverpool, le nombre de femmes tokophobes augmenterait de façon inquiétante, rapporte Le Parisien.

La tokophobie est la peur d’accoucher. Elle peut se traduire par des crises d’angoisse, de l’insomnie ou des vomissements, par exemple.

Or, le nombre de femmes tokophobes aurait augmenté de 40 % en 3 ans au Service de maternité de Liverpool, en Angleterre. La raison en serait la télévision.

En effet, il semble que les futures mamans seraient traumatisées par les images d’accouchements télévisés. Ceux-ci sont d’ailleurs très populaires dans les émissions de téléréalité.

Il existe deux formes de cette maladie, primaire et secondaire, soit d’avoir vécu un traumatisme sexuel ou d’avoir eu un premier accouchement difficile.

La tokophobie peut, par ailleurs, toucher le père, se traduisant par une trop forte inquiétude quant à la venue au monde de l’enfant. Cela est plus rare, car selon une étude suédoise, seulement 11 % des futurs papas en seraient touchés.

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Les films d’horreur sont bénéfiques pour les femmes

Malgré que de nombreuses femmes n’aiment pas regarder des films d’horreur, ceux-ci seraient très bénéfiques pour leur santé mentale et leur cerveau.
 
Ces histoires effrayantes ont un impact positif sur la santé sans causer de choc traumatique, car les films ne sont pas réels, selon Geniusbeauty.
 
En regardant un film d’horreur, le cerveau produit plus d’énergie qui est dirigée vers l’activité des neurotransmetteurs comme le glutamate, la dopamine et la sérotonine.
 
Cette activité accrue permet aux femmes de se tenir « prêtes au combat » temporairement. Les signaux de menaces sont envoyés à la partie du cerveau qui est liée au système lymphatique du corps. Cela stimule les glandes surrénales et produit de l’adrénaline, responsable de la production d’opiacés qui soulagent la douleur.
 
Trente minutes après avoir visionné un film d’horreur, c’est le retour au calme et les défenses de l’organisme sont maintenant plus fortes.
 
La seule contre-indication est pour les personnes présentant une anomalie cardiaque. Ces dernières ne devraient pas regarder ce genre de films.
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L’activité du cerveau féminin est plus grande

Alors que le cerveau des femmes est presque toujours sollicité parce qu’elles pensent à des millions de choses en même temps, le cerveau des hommes parvient à se reposer. Les messieurs sont plus enclins à faire le vide et ne penser à rien, mentionne une étude canadienne dirigée par la chercheuse Adrianna Mendrek du Département de psychiatrie de l’Université de Montréal.
 
C’est en effectuant des recherches sur la schizophrénie que Mme Mendrek a constaté que le cerveau des hommes parvient plus facilement à se reposer. « En réalité, tous les cerveaux sont en perpétuelle activité. C’est une question de niveaux, mais on peut dire en effet que le cerveau des hommes se repose plus et mieux que celui des femmes », mentionne la chercheuse au Figaro.
 
42 hommes et femmes de 25 à 45 ans se sont soumis à des exercices mentaux pour parvenir à de telles observations. « Au repos, les femmes étaient dans l’auto-évaluation de ce qu’elles venaient de faire et se projetaient dans ce qu’elles devraient réaliser ensuite, alors que les hommes parvenaient à se détendre complètement. Nous ne sommes pas encore en mesure de dire quelle part a la pression sociale et quelle autre part ont les hormones biologiques dans cette différence », ajoute Adrianna Mendrek.
 
La chercheuse rappelle que dans notre société actuelle, les femmes sont continuellement préoccupées par des tâches multiples et doivent gérer plus de choses que les hommes, en général.
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Le jus d’orange augmente les risques de goutte chez la femme

Les femmes qui boivent deux verres de jus d’orange quotidiennement ont deux fois et demie plus de risques de souffrir de la goutte, rapportent les chercheurs de l’Université de Boston.
 
Selon le Daily Mail, même un seul verre de jus augmente les risques de 40 %. Il en serait de même pour deux canettes de boisson gazeuse.
 
Les experts affirment que le sucre du fruit ou le fructose contenu dans ces boissons est à l’origine de l’augmentation de l’acide urique dans le sang. Celui-ci finit par s’infiltrer dans les articulations, les faisant enfler et devenir douloureuses.
 
L’étude s’est déroulée pendant 22 ans sur près de 80 000 femmes.
 
La goutte est une forme d’arthrite qui touche beaucoup plus les hommes habituellement. Ils sont quatre fois plus susceptibles que les femmes d’être affectés par ce mal. Au cours des vingt dernières années, le nombre de cas de goutte chez les femmes a toutefois doublé.
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Demeurer couchée en fin de grossesse a aussi des effets négatifs

Judith Maloni, professeure à l’École de maternité Frances Payne Bolton, mentionne dans un article du Biological Research for Nursing qu’il peut être nocif pour une femme enceinte d’être clouée au lit en fin de grossesse.

Nous le savons, certaines femmes enceintes doivent demeurer étendues quelques jours ou mois si elles ont des risques de naissance prématurée, de haute pression sanguine ou de perte de sang notamment.

Toutefois, cette méthode est remise en question par la professeure Maloni après l’analyse de 70 articles déjà écrits sur le sujet.

Il en ressort premièrement que les médecins ne sont pas encore ouverts à l’idée que les femmes auraient tout à gagner à rentrer s’étendre dans le confort de leur foyer plutôt qu’à l’hôpital.

D’autre part, demeurer dans la même position pourrait mener à une atrophie des muscles ou une perte osseuse.

De plus, la professeure Maloni affirme que rester couchée 24 heures sur 24 pourrait rendre la femme dépressive. Elle pourrait aussi vivre un choc post-traumatique si chaque contraction peut représenter pour elle une naissance prématurée.

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Les traumatismes liés à l’accouchement plus fréquents qu’on ne le croit

Des chercheurs du Département des soins et d’obstétrique de l’Université de Sydney Ouest, en Australie, ont mené une étude sur le sujet.

Leurs résultats sont parus récemment dans le Journal of Advanced Nursing. La clé, selon eux, serait l’ouverture au dialogue. 

En effet, ils recommandent que l’on encourage les nouvelles mères à parler de leur expérience afin de leur permettre d’accéder facilement à la thérapie. Ils proposent aussi qu’elles reçoivent plus de soutien si elles choisissent d’allaiter.

Bien que l’on entende peu parler de ce type de traumatisme, il est pourtant bien réel. Le manque d’empathie à la douleur des femmes en couche serait l’une des causes. Ainsi, une nouvelle mère pourrait subir les suites d’un accouchement traumatisant sans qu’elles aient pu être prévues.

Parmi les symptômes, on note les retours en arrière, le sentiment de peur et de panique, les cauchemars et les problèmes de sommeil.

Un traumatisme non réglé peut avoir des répercussions sur toute la famille. La mère peut se détacher de ses sentiments pour éviter d’en vivre les symptômes liés. Elle peut aussi devenir surprotectrice, voulant protéger sa famille et elle-même.

Cela peut aussi influer négativement sur sa façon d’interagir avec les autres et avoir des répercussions physiques et émotionnelles.

Finalement, une femme ayant traversé un stress post-partum est plus à risque de revivre une expérience traumatisante lors de ses prochains accouchements.

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Les hommes et les femmes n’ont pas les mêmes goûts en voyage

C’est bien beau vouloir voyager en couple, voire en famille, encore faut-il que l’homme et la femme puissent se mettre d’accord sur une destination. Cela semble être ardu, comme le révèle un sondage en ligne mené par le site Skyscanner auprès de 400 répondants.

Si certaines destinations font pratiquement l’unanimité, d’autres sont aux antipodes des goûts recensés chez les deux sexes.

Selon l’étude, un pays comme la Thaïlande plaît beaucoup aux hommes, qui le placent en première position, alors qu’il n’arrive qu’en 5e place chez les femmes. Même chose pour l’Inde et sa 5e place chez les hommes, alors qu’elle n’apparaît même pas au top 10 chez les femmes.

À l’inverse, les femmes placent la Nouvelle-Zélande en 4e position, alors que le pays tarde à se placer dans le top 10 chez les hommes, ceux-ci ne lui réservant que la 8e place.

Ces écarts mènent de plus en plus les couples à voyager séparément, selon Skyscanner.

Heureusement, quelques destinations font l’unanimité, comme les États-Unis qui se placent en priorité chez les femmes et en 2e position chez les hommes. Même chose pour l’Australie, l’Italie et le Japon qui occupent à peu près le même rang chez l’un ou l’autre des deux sexes.