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Les hommes préfèrent quel type de femmes?

 

Le journal scientifique en ligne Perception déclare que les jeunes hommes trouvent que les femmes de taille 0, comme certaines célébrités, sont beaucoup moins attrayantes.

 

Une étude a été réalisée auprès des étudiants de l’Université de St-Andrews. On a demandé à 84 jeunes filles de répondre à un questionnaire sur leur état de santé, on a pris leur tension artérielle et on les a photographiées.

 

Les photos ont ensuite été montrées à de jeunes hommes âgés de 18 et 26 ans. Ils devaient dire quelles étaient les filles les plus attrayantes et qui paraissaient les plus saines. Majoritairement, ce sont les filles d’un poids moyen, dit « normal » qui ont remporté la palme.

 

Selon l’étude, cela envoie un message fort aux jeunes femmes qui croient que la taille zéro est plus attrayante pour les hommes. Ici, on démontre clairement le contraire. Les garçons préfèrent les femmes de taille « normale ».

 

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Dévoilement des créations d’Hilary Duff

People a dévoilé les premières images des créations d’Hilary Duff pour Femme, sa collection de vêtements créés pour la griffe DKNY Jeans.

Duff est en vedette dans cette nouvelle campagne publicitaire pour l’automne 2009. Elle apparaît notamment avec les mannequins Sophie Srej et Gracie Carvalho.

Les images ont été prises dans les rues de Manhattan par le photographe Scott Schuman. New York est d’ailleurs l’inspiration principale de cette nouvelle collection.

Rappelons que l’actrice et chanteuse rejoindra également l’émission Gossip Girl cet automne.

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Le manque de sommeil plus dangereux pour les femmes

Le journal SLEEP a publié une étude révélant que le manque de sommeil chez les femmes leur est plus dommageable que pour l’homme.

L’étude faite par des chercheurs de l’Université de Warwick et de l’University College de Londres, en Grande-Bretagne, a révélé que les marqueurs servant à identifier les risques d’un accident cardio-vasculaire, l’interleukine 6, sont plus bas chez la femme dormant 8 heures par nuit qu’une autre ne dormant que 7 heures.

Un autre marqueur, la protéine C réactive, est également utilisé et son niveau révèle les mêmes conclusions, notamment chez les femmes dormant moins de 5 heures par nuit, qui sont encore plus à risque.

La même étude a démontré que chez l’homme, les différences des niveaux enregistrés de ces marqueurs n’avaient pas un écart très grand, suggérant ainsi que le manque de sommeil chez les hommes est beaucoup moins nocif que chez les femmes.

Michelle Miller, professeure associée à l’école de médecine de Warwick et auteure principale de l’étude, ne peut qu’encourager les femmes à dormir au moins huit heures par jour à la suite de ces résultats.

Pas moins de 4 600 hommes et femmes âgés de 35 à 55 ans ont participé à cette étude.

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Les bienfaits de la chirurgie bariatrique

Contrairement aux hommes, les femmes qui ont eu une chirurgie bariatrique voient leur risque de cancer diminuer, nous apprend une recherche publiée dans The Lancet Oncology.

Le Dr Lars Sjöström et son équipe du centre hospitalier universitaire Sahlgrenska, en Suède, ont analysé les dossiers médicaux de 2 010 patients obèses qui avaient subi ce type d’opération et les ont comparés à ceux de 2 037 sujets n’ayant pas eu de chirurgie bariatrique.

Après 11 ans de travaux, les chercheurs ont conclu que les sujets féminins du premier groupe avaient 42 % moins de chances de souffrir éventuellement d’un cancer comparativement aux femmes du deuxième groupe.

Aucun résultat similaire n’a été observé chez les patients masculins.

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Vers un traitement des nausées matinales

Une étude menée auprès de 82 000 bébés nés en Israël a démontré que le métoclopramide, un médicament fréquemment utilisé dans ce pays pour traiter les nausées matinales chez les futures mères, était sans danger pour le foetus.

Cette recherche a été effectuée par des chercheurs de l’Université Ben-Gourion du Néguev entre 1998 et 2007 et comparait les nouveau-nés dont la mère avait consommé du métoclopramide pendant trois semaines de gestation à ceux dont la mère avait refusé d’en prendre.

Les chercheurs n’ont trouvé aucune conséquence grave, comme des malformations congénitales, entre les poupons et ont conclu que le médicament était sans danger.

Jusqu’ici, aucun médicament pour venir à bout des nausées chez les femmes enceintes n’a été approuvé par la Food and Drud Administration des États-Unis.

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L’exercice pour contrer le cancer du sein

Après l’âge de 30 ans, l’exercice physique serait bénéfique pour contrer le cancer du sein, selon une étude présentée durant la réunion annuelle de l’American College of Sports Medicine tenue à Seattle.

Dans cette étude, Lisa Sprod et ses collègues de l’Université du Colorado du Nordont ont demandé à 4 296 femmes de parler de leurs activités physiques durant 4 étapes de leur vie, soit de 10 à 15 ans, de 15 à 30 ans, de 30 à 50 ans et au-delà de 50 ans.

Les chances de développer le cancer du sein par rapport à leur activité physique lorsqu’âgées de 10 à 30 ans n’ont révélé aucune corrélation, mais les femmes qui ont continué à faire de l’exercice passé l’âge de 30 ans ont réduit de façon considérable leur risque de développer la maladie.

« Nous avons établi la normale à 60 minutes par semaine. Celles qui faisaient moins de 60 minutes d’exercice par semaine étaient classées dans le groupe sous la moyenne et celles qui en faisaient au-delà de 60 minutes étaient classées dans le groupe au-dessus de la moyenne. »

Les chercheurs ont ensuite remarqué que les femmes de 30 à 50 ans qui étaient dans le groupe au-dessus de la moyenne avaient développé moins de cancer du sein que l’autre groupe. La même chose a été remarquée pour les femmes âgées de plus de 50 ans.

« Ce que cela laisse croire, c’est que plus vous faites d’exercice passé l’âge de 30 ans, plus vous réduisez vos chances de développer un cancer du sein », a conclu Mme Sprod.

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Des diagnostics erronés du cancer du sein

Le président de l’Association des pathologistes du Québec, le Dr Louis A. Gaboury, a mentionné à Radio-Canada que bien des Québécoises risquent de recevoir un faux diagnostic du cancer du sein en raison des tests menés en laboratoire.

Le scientifique a testé l’efficacité des tests de marqueurs du cancer du sein, utilisés dans les 25 plus importants laboratoires du Québec, qui permettent de déterminer si le cancer de la patiente est hormonodépendant. Dans un tel cas, la patiente peut être traitée à l’hormonothérapie ou l’Herceptin.

M. Gadoury prétend que 15 à 20 % des tests sur les marqueurs pour l’hormonothérapie étaient erronés et que ceux pour les marqueurs pour le Herceptin avaient un taux d’erreur de 30 %.

Ce phénomène entraîne alors un faux diagnostic de traitement dont les coûts ne sont pas sans conséquence. « S’il y a 10 % de variation, ce qui veut dire que ce test est fait de façon routinière, qu’il y a des milliers de patientes qui ont des cancers du sein au Québec, ça veut dire qu’il y a plusieurs centaines de patientes au Québec qui ont, peut-être, un résultat qui n’est pas correct », a-t-il déploré.

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La mémoire qui flanche et la ménopause

Selon le Dr Arun S. Karlamangla, professeur de médecine à l’Université de la Californie à Los Angeles, la ménopause pourrait faire diminuer l’acquisition de nouvelles connaissances et la mémoire.

Ces changements, jugés mineurs par le chercheur, ne sont toutefois que temporaires, le temps que cessent complètement les règles. « La bonne nouvelle, c’est que les femmes qui ont terminé la transition de la ménopause retrouvent leurs performances cognitives et mnémoniques », a souligné M. Karlamangla.

2 362 femmes âgées de 45 à 57 ans ont participé pendant quatre ans à cette recherche où l’on évaluait leur mémoire à court terme en fonction des quatre stades liés à la ménopause.

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Les femmes, mieux protégées contre la listériose

Les travaux menés par la Dre Maya Saleh, de l’Université McGill, l’amènent à conclure que l’hormone féminine agirait comme barrière protectrice contre la listériose chez les femmes, particulièrement chez celles qui sont enceintes.

« Les femmes en général sont plus résistantes aux infections que les hommes. Nous avons identifié un mécanisme impliqué dans cette protection », a fait savoir la chercheuse à Proceedings of the National Academy of Sciences.  

En travaillant avec des souris génétiquement modifiées pour les rendre plus sensibles à la bactérie, Mme Saleh a découvert que l’œstrogène bloque cette mutation et protège ainsi les femmes contre la listériose.

Malgré ces résultats, la population féminine n’est pas moins touchée par les cas d’infection. À titre d’exemple, les 2/3 des 41 victimes ontariennes lors de la crise de la listériose liée à l’usine Maple Leafs étaient des femmes.

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Les bienfaits de l’oestrogène

Selon une équipe de chercheurs de l’Institut de Recherche du Centre Universitaire de Santé McGill et de l’Université McGill, le système immunitaire des femmes serait plus puissant à cause de l’oestrogène.

En effet, l’hormone féminine bloque la sécrétion d’une enzyme, la Caspase-12, qui contre le processus inflammatoire et crée une immunité contre les bactéries pathogènes.

Pour en arriver à ces conclusions, la Dre Maya Saleh a travaillé avec des souris dont le gène associé à la Caspase-12 était inactivé. Après avoir implanté le fameux gène chez certaines d’entre elles, seuls les mâles sont devenus plus sensibles aux infections.

Les résultats complets de cette recherche se retrouvent dans Proceedings Of the National Academy Of Sciences.