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L’infidélité causée par une hormone

Selon des scientifiques de l’Université du Texas, l’infidélité chez les femmes pourrait être causée par une hormone sexuelle produite par les ovaires, l’oestradiol, que l’on pourrait comparer à la testostérone chez l’homme.

La Dre Kristina Durante affirme qu’un taux élevé d’oestradiol joue un rôle dans la forme du visage, la générosité des seins, la définition de la taille et des hanches et que les femmes qui sécrètent davantage cette hormone possèdent des attributs physiques qui plaisent à la gent masculine.

Mme Durante n’hésite pas à qualifier ces femmes de « monogames opportunistes en série » et affirme qu’elles n’hésitent pas à accumuler les conquêtes si elles ne sont pas satisfaites sexuellement.

Celle-ci a mesuré le taux d’oestradiol chez 52 jeunes femmes âgées de 17 ans à 30 ans, tout en leur demandant d’évaluer leurs attraits physiques et de décrire leur vie sexuelle. Il en résulte que celles qui avaient un taux élevé de l’hormone sexuelle avaient tendance à draguer davantage et à avoir des relations extraconjugales.

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Une autre conséquence de la cigarette

Selon le Dr Bijay Vaidya et ses collègues de l’Hôpital Exeter en Angleterre, fumer lors du premier et troisième trimestre de la grossesse peut entraîner des conséquences, tant chez la future mère que chez son bébé.

En effet, les chercheurs ont observé que les taux de thyroxine et de triiodothyronine, les deux hormones sécrétées par la glande thyroïde, variaient.

Ce phénomène a pour conséquence d’augmenter le risque de fausse couche, de naissance prématurée et d’affecter le développement cognitif chez le foetus.

M. Vaidya affirme toutefois que les sécrétions de la thyroïde reviennent à la normale lorsque la femme enceinte cesse de fumer lors de la gestation.

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Soya et exercice pour les femmes ménopausées

Selon des chercheurs de l’Université de Sherbrooke, un programme d’exercice régulier, combiné à une alimentation riche en soya, diminue l’incidence de maladies cardiovasculaires chez les femmes ménopausées, beaucoup plus que l’exercice seul.

50 participantes ont été suivies pour cette recherche. La moitié d’entre elles ont consommé un placebo, tandis que le reste du groupe prenait des isoflavones de soya, qui agissent comme les estrogènes lorsqu’elles sont assimilées par les intestins. De plus, ces sujets ont suivi un programme d’exercices aérobiques et musculaires trois fois par semaine.

« Nos analyses ont amené deux conclusions. La combinaison d’exercices et d’isoflavones agit d’une part sur une hormone appelée sex-hormone binding globuline (SHBG) qui est liée aux risques de maladies cardiovasculaires. D’autre part, cette combinaison est associée à la perte de graisse abdominale », a mentionné Isabelle Dionne, vice-doyenne à la recherche et aux études supérieures à la Faculté d’éducation physique et sportive de l’université.

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Les complications liées à une césarienne

À moins d’un danger potentiel pour la future mère et son enfant, il vaut mieux ne pas pratiquer une césarienne avant la 39e semaine de grossesse, prétendent le Dr Alan T.N. Tita et son équipe, associés à l’Université de l’Alabama à Birmingham.

Selon eux, le risque de complications, comme des troubles respiratoires, des infections et de l’hypoglycémie, augmente si l’accouchement est provoqué à la 37e semaine de gestation.

13 258 femmes enceintes et ayant accouché par césarienne ont participé à cette recherche publiée dans le New England Journal of Medicine. 35,8 % d’entre elles avaient donné naissance avant la 39e semaine de grossesse.

Les poupons nés à la 37e semaine étaient deux fois plus à risque d’être placés dans des incubateurs et de souffrir de sepsie à méningocoques que les bébés nés à terme par césarienne.

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L’obésité et le cancer des ovaires

Une étude, publiée dans la revue Cancer, nous apprend que les femmes obèses qui n’ont jamais suivi d’hormonothérapie lors de la ménopause sont plus à risque de souffrir du cancer des ovaires que les femmes dont le poids est dans la normale.

Cette conclusion ne s’applique toutefois pas aux femmes obèses qui ont pris de l’estrogène lors de la ménopause.

« Voilà une autre recherche qui démontre la relation entre l’obésité et les cancers qui touchent les femmes », a souligné le Dr Jay Brooks, qui pointe également du doigt le tabagisme pour augmenter l’incidence de cancer.

95 000 Américaines âgées de 50 à 71 ans ont participé à cette étude menée par une équipe de chercheurs du U.S. National Cancer Institute. Celles dont l’indice de masse corporelle était de 30 et plus avaient 26 % plus de risque de développer un cancer des ovaires que les participantes ayant un poids santé.

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Les effets des stéroïdes sur le foetus

Une découverte, publiée dans la revue médicale The Lancet, risque de modifier la pratique gynécologique.

En effet, la Dre Kellie E. Murphy, de l’Hôpital Mount Sinai à Toronto, prétend que les femmes enceintes et à risque de naissance prématurée accouchent d’un bébé dont le poids est en dessous de la moyenne et dont la circonférence de la tête est plus petite si elles ont reçu des corticoïdes pendant la gestation.

Ce type de stéroïdes est pourtant consommé parce que l’on croit qu’il peut diminuer l’incidence de naissance avant terme, de syndrome de détresse respiratoire aiguë et d’hémorragies cérébrales chez le nouveau-né.

1 858 femmes enceintes de 25 à 32 semaines de gestation ont participé à cette étude. Celles qui ont consommé du corticoïde ont accouché de 14 à 21 jours après l’ingestion de ce stéroïde.

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La fumée secondaire, cause de l’infertilité?

Selon l’équipe du Dr Luke J. Peppone, de l’Université Rochester à New York, la fumée secondaire pourrait entraîner des difficultés à tomber enceinte chez les femmes qui ont toujours eu des fumeurs dans leur entourage.

Plus de 4 800 participantes ont été suivies pour cette étude. Les chercheurs ont découvert que 68 % de celles dont un des parents était fumeur essayaient depuis plus d’un an d’être enceintes. De plus, elles sont 39 % plus à risque de faire une fausse couche.

Des études antérieures avaient déjà prouvé que les femmes qui fumaient lors de la grossesse exposaient davantage leur bébé à des complications que les non-fumeuses. « Ces résultats démontrent les dangers de la fumée secondaire, même pour les femmes qui ont l’intention d’avoir des enfants », a souligné le Dr Peppone.

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Le bonheur conjugal et le cancer du sein

Une étude, publiée dans la revue scientifique Cancer, nous apprend que les femmes dont l’union bat de l’aile ont un niveau plus élevé de stress, font moins d’activité physique, sont traitées plus longtemps et ont des symptômes plus sévères du cancer du sein que les patientes heureuses en amour.

« Le bonheur conjugal ne devrait pas être le premier élément dont les femmes se soucient quand on leur annonce le diagnostic, mais il est évident qu’un mariage heureux les aide à mieux traverser cette épreuve, tant physiquement qu’émotionnellement », a mentionné la Dre Hae-Chung Yang, chercheuse à l’Université de l’Ohio.

La Dre Yang soutient que le stress causé par le diagnostic est moindre chez les femmes heureuses.

100 femmes cancéreuses ont participé à cette recherche. Parmi elles, 72 avouaient connaître un mariage heureux.

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Feu vert à un nouveau condom pour femmes

Un groupe d’experts de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis vient tout juste d’approuver à l’unanimité le condom pour femmes FC2, un modèle moins dispendieux que celui de Female Health’s, approuvé en 1993 par la FDA.

Ce condom donne espoir aux professionnels de la santé, qui espèrent que le produit sera distribué dans les pays africains afin de contrôler la propagation du VIH et qu’il sera plus populaire auprès des consommatrices, qui lui reprochaient son prix élevé qui oscille de 2,80 $ à 4 $ l’unité.

« Ce nouveau condom offre le choix aux femmes de mieux se protéger », a souligné le Dr Michael Thomas.

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L’indiscipline des femmes aux prises avec l’ostéoporose

Selon une enquête canadienne, menée pour le compte de l’Association internationale des femmes médecins (MWIA), 40 % des femmes âgées de plus de 50 ans ne prennent pas leur médicament contre l’ostéoporose selon les recommandations de leur médecin.

Les raisons invoquées par les patientes sont l’oubli, dans 45 % des cas, ou encore les effets secondaires indésirables des médicaments. De plus, certaines répondantes ont mentionné qu’elles souhaitaient des traitements naturels.

Ces résultats inquiètent l’association, comme en témoigne la Dre Shelley Ross : « Les femmes savent qu’elles sont atteintes d’ostéoporose et que leur traitement est crucial afin de ralentir la perte osseuse. Malgré cela, beaucoup d’entre elles ne prennent pas leur médicament tel que prescrit. Cette situation est très alarmante, car les patientes doivent être fidèles à leur traitement afin de protéger leurs os. »