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L’indiscipline des femmes aux prises avec l’ostéoporose

Selon une enquête canadienne, menée pour le compte de l’Association internationale des femmes médecins (MWIA), 40 % des femmes âgées de plus de 50 ans ne prennent pas leur médicament contre l’ostéoporose selon les recommandations de leur médecin.

Les raisons invoquées par les patientes sont l’oubli, dans 45 % des cas, ou encore les effets secondaires indésirables des médicaments. De plus, certaines répondantes ont mentionné qu’elles souhaitaient des traitements naturels.

Ces résultats inquiètent l’association, comme en témoigne la Dre Shelley Ross : « Les femmes savent qu’elles sont atteintes d’ostéoporose et que leur traitement est crucial afin de ralentir la perte osseuse. Malgré cela, beaucoup d’entre elles ne prennent pas leur médicament tel que prescrit. Cette situation est très alarmante, car les patientes doivent être fidèles à leur traitement afin de protéger leurs os. »

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Un médicament qui cause l’autisme?

Une étude, publiée dans la revue scientifique Neurology, nous apprend que le valproate, un médicament contre l’épilepsie, augmente le risque d’autisme chez le nouveau-né lorsque la mère en a pris lors de la grossesse.

Malgré ces résultats, jugés préliminaires par les experts, les chercheurs recommandent aux femmes enceintes de ne pas cesser de consommer leur médicament pour autant lors de la gestation.

« Tous s’entendent pour dire qu’une crise d’épilepsie est pire que de prendre le médicament. Alors, si le valproate prévient les convulsions, il faut continuer de le prendre » soutient le Dr Michael Goldstein, auteur principal de l’étude.

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Les risques du fixatif

Une étude, publiée dans Environmental Health Perspectives, prétend que l’exposition au fixatif pour cheveux lors du premier trimestre de grossesse pourrait multiplier par deux le risque de malformation, chez le foetus mâle, appelée hypospadias.

471 mères dont l’enfant souffre de cette anomalie et 490 futures mères ont été suivies par des chercheurs de l’Imperial College London, de l’University College Cork et du Centre de recherche en épidémiologie environnementale de Barcelone.

Ce sont les phthalates que l’on retrouve dans les fixatifs qui augmenteraient le risque d’hypospadias lors des trois premiers mois de la gestation. La consommation d’acide folique par la femme enceinte réduirait toutefois cette incidence de 36 %.

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Le sevrage de la cigarette, plus difficile pour les femmes

Un sondage Angus Reid, mené pour le compte de Johnson & Johnson, nous apprend que les femmes sont plus préoccupées par l’irritabilité et le gain de poids provoqués par le sevrage de la cigarette, au point où elles remettent en question l’abandon de cette habitude.

77 % des répondantes ont affirmé être inquiètes à l’idée d’engraisser lors de l’arrêt du tabagisme, comparativement à 48 % de la gent masculine.

De plus, dans 10 % des cas, les femmes interrogées ont avoué griller des cigarettes dans l’espoir de mieux contrôler leur poids, voire même maigrir.

« L’image de soi chez la femme est très souvent biaisée et tend à encourager un tel comportement », a expliqué Nadine Bonneville, nutritionniste et intervenante en cessation tabagique à la Clinique d’aide aux fumeurs de l’Hôpital Laval de Québec.

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Quand le sommeil gruge les bienfaits du sport

Une recherche, menée auprès de 6 000 Américaines, a permis de découvrir qu’un sommeil peu réparateur annule tous les bienfaits de l’exercice physique, même si la pratique d’un sport est reconnue pour diminuer le risque de cancer du sein.

Ainsi, les femmes qui dorment moins de sept heures par nuit voient le risque de recevoir un diagnostic du cancer du sein 47% plus élevé que celles qui dorment plus de huit heures par nuit.

« L’activité sportive a toujours été associée à un moindre risque de cancer de tous types, dont le cancer du sein et celui du côlon. Mais un trop court sommeil semble produire un effet inverse sur plusieurs paramètres hormonaux et métaboliques, c’est pourquoi nous avons regardé comment il (le sommeil) pouvait affecter le lien activité physique/risque du cancer », a expliqué l’auteur de cette recherche, le Dr James McClain.

D’autres études avaient prouvé que le manque de sommeil était associé aux maladies cardiovasculaires, à l’obésité et au diabète.

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Un meilleur diagnostic du cancer du sein

La découverte de nouveaux marqueurs moléculaires par une équipe de chercheurs de l’Université de Sherbrooke va grandement faciliter le diagnostic du cancer du sein.

« Jusqu’à présent, les pathologistes établissent le diagnostic d’un cancer du sein en évaluant les tissus prélevés par observation. Grâce aux 41 nouveaux marqueurs moléculaires associés spécifiquement au tissu mammaire, on pourrait déterminer de façon plus précise si un prélèvement par biopsie est composé de cellules cancéreuses ou normales », s’est félicité l’un des auteurs de l’étude, le Dr Sherif Abou Elela.

Pour le Dr Elela, cette découverte favorisera un diagnostic plus rapide de la maladie et un traitement à un stade moins avancé du cancer du sein. De plus, le simple test moléculaire automatisé a l’avantage d’être beaucoup plus précis.

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Les jeunes mères, plus touchées par la dépression

Selon des chercheurs britanniques, les adolescentes qui deviennent mères avant la vingtaine sont plus à risque de souffrir de dépression que les mamans un peu plus âgées. De plus, il semble qu’il en soit de même pour leurs bébés, qui sont davantage touchés par les troubles dépressifs une fois adultes.

Les chercheurs ont divisé les participantes en 3 groupes, selon l’âge auquel les femmes avaient donné naissance à leur premier enfant : 31 adolescentes âgées de 16 à 19 ans, 56 âgées de 20 à 22 ans et 89 autres âgées de 23 à 38 ans.

Chez les plus jeunes participantes, on a observé des antécédents dépressifs dans 41,9 % des cas, tandis que 18 % du groupe plus âgé avait souffert de dépression.

Quant aux bébés, ils étaient aux prises avec des désordres psycho-affectifs dans 19,4 % des cas quand leur mère était adolescente.

Pour l’auteur de cette étude, Cerith Waters de l’Université Cardiff, il ne fait pas de doute que les adolescentes sont plus vulnérables que les autres femmes et il importe de bien les encadrer pendant et après leur grossesse.

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Le timbre qui hausse la libido

Des essais cliniques démontrent que le timbre cutané de testostérone procure un regain « modeste, mais significatif » au désir sexuel des femmes ménopausées qui l’ont utilisé pendant plus d’un an.

Auparavant, les participantes affirmaient avoir en moyenne 2 relations sexuelles satisfaisantes par mois. L’usage du timbre cutané a fait passer cette moyenne à 4,6 expériences satisfaisantes par mois.

Il y a toutefois un désavantage à prendre cette hormone masculine : elle augmente la pilosité. « Pour la majorité des femmes, cet effet secondaire était mineur et pas très important pour elles », a souligné l’auteure de cette étude, la Dre Susan Davis de l’Université Monash à Melbourne, en Australie.

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L’acupuncture ne provoque pas les contractions

Une étude menée auprès de 364 femmes enceintes, dont la date prévue d’accouchement était passée, a permis de constater que 2 jours de traitements d’acupuncture n’aidaient en rien à provoquer, de manière plus naturelle, l’accouchement.

La Dre Caroline A. Smith et son équipe, de l’Université d’Adelaide en Australie, ont soumis les participantes à deux séances de traitement. Les points d’acupuncture étaient stimulés par des aiguilles dans un premier groupe et pour le second, les aiguilles étaient placées en surface seulement.

Parmi toutes ces futures mamans, un accouchement a été provoqué par une injection d’ocytocine.

Tous les détails se retrouvent dans la revue Obstetrics & Gynecology.

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Plus de germes différents chez les femmes que chez les hommes

Une recherche, publiée dans Proceedings of the National Academy of Sciences, démontre que les mains des femmes contiennent beaucoup plus de germes différents que celles des hommes.

Les chercheurs de l’Université du Colorado ont analysé les paumes de main de 51 étudiants, tout juste après qu’ils aient complété un examen.

4 700 différentes espèces de bactéries nichaient sur leurs mains et seulement 5 d’entre elles ont été retrouvées chez tous les participants à l’étude.

Selon les chercheurs, le degré d’acidité de la peau, plus faible chez la femme, serait responsable de la grande variété de germes présents chez les femmes. Cette variante pourrait aussi s’expliquer par les hormones, l’épaisseur de la peau, les savons, les crèmes hydratantes et la quantité de sueur.

Étonnamment, la fréquence des lavages de mains n’améliore pas la situation, puisque la variété de bactéries demeure inchangée.