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Gare aux kilos en trop durant la grossesse

Prendre plus de 18 kilos pendant la grossesse augmente le risque d’avoir un bébé pesant plus de 4 kilos à la naissance, nous apprend une recherche dont les résultats sont publiés dans Obstetrics & Gynecology.

Selon les chercheurs, 1 femme enceinte sur 5 engraisse de plus de 18 kilos lors de sa grossesse, ce qui leur fait craindre le pire. En effet, les nouveaux nés ayant un poids supérieur à la moyenne sont plus à risque de fractures lors de leur naissance. Cela risque aussi d’être plus compliqué pour leur mère, qui s’expose à des déchirements ou à une césarienne.

De plus, ces enfants, une fois adultes, souffrent davantage d’obésité et de diabète de type 2.

Pour en arriver à ces conclusions, la Dre Jennifer Wu, de l’Hôpital Lenox Hill de New York, a étudié l’état de santé de 41 540 femmes enceintes, à qui l’on a fait passer un test de dépistage du diabète de grossesse.

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Encore moins de café pour les femmes enceintes

Selon une équipe de chercheurs des universités Leicester et Leeds, en Grande-Bretagne, consommer plus de deux tasses de café quotidiennement lors de la grossesse pourrait augmenter le risque de naissance de bébé de petits poids.

Ces résultats ont forcé la Food Standards Agency (FSA) à modifier ses recommandations aux femmes enceintes et à les restreindre à 200 milligrammes de caféine quotidiennement au lieu de 300.

De plus, la FSA précise que les futures mamans doivent se tenir loin des boissons gazeuses, comme le Coca Cola, du chocolat et des boissons énergisantes, tous considérés comme des stimulants qui pourraient avoir un impact sur le développement du foetus.

Tous les détails se retrouvent dans le British Medical Journal.

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Les dangers de l’huile de lin

Selon une équipe de chercheurs de l’Université de Montréal, consommer de l’huile de lin durant les six derniers mois de la grossesse multiplie par quatre le risque d’accoucher avant terme, soit avant la 37e semaine de gestation.

Alors que le taux de naissances prématurées est de 2 à 3 % en général, il passe à 12 % quand les mères consomment de l’huile de lin en bonne quantité.

« On pense que ces produits sont sans danger parce qu’ils sont naturels, mais ce sont en réalité des produits chimiques pour lesquels on connaît encore mal les bienfaits ou les risques, contrairement aux médicaments », a indiqué l’auteure de cette étude, Anick Bérard.

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L’ibuprofène et l’aspirine, des anticancers?

Une étude récemment publiée dans le Journal of the National Cancer Institute démontre que l’aspirine et l’ibuprofène ont des propriétés anticancer du sein.

Le Dr Bahi Takkouche et son équipe de l’Université Santiago de Compostela, en Espagne, ont analysé 38 autres recherches indépendantes sur le sujet, portant sur les données médicales de 2,7 millions de femmes.

Ils en ont conclu que l’aspirine faisait chuter de 13 % l’incidence du cancer du sein. Quant à l’ibuprofène, le risque baisse de 21 %.

Malgré ces données encourageantes, le Dr Takkouche n’encourage pas les femmes à consommer de manière irresponsable ces deux analgésiques. « Je ne recommande pas aux femmes de prendre ces médicaments afin de prévenir le cancer du sein à cause de leurs effets secondaires. »

Parmi ceux-ci, on note une augmentation des maladies cardiaques et les saignements digestifs.

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Les Québécoises, de plus en plus fécondes

La démographe Chantal Girard, de l’Institut statistique du Québec, nous annonce que les femmes du Québec sont plus fécondes que les autres Canadiennes. En effet, en 2006, le taux de fécondité au Québec a été de 1,62 enfant par femme, comparativement à 1,59 au Canada, ce qui représente une première depuis 50 ans.

« C’est la première fois depuis 1959 que le taux de fécondité au Québec est plus élevé que celui du Canada. Nous sommes encore loin du seuil de renouvellement des générations (qui est de 2,1), mais c’est une bonne nouvelle », a souligné Mme Girard.

Même si les statistiques de 2007 ne sont pas encore publiées, tout porte à croire que le taux de fécondité des Québécoises poursuivra cette lancée en atteignant 1,65 enfant par femme.

Malgré cette bonne nouvelle, on ne sait pas encore si le Québec vit un véritable baby-boom. « Il est encore trop tôt pour affirmer que les Québécoises font plus d’enfants. Il se pourrait que les femmes retardent l’arrivée de leurs enfants », conclut Mme Girard.

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Un surplus de vitamines nuit au foetus

Une étude, dont les résultats sont publiés dans le Journal of Obstetrics and Gynaecology Research, démontre que la surconsommation de vitamines C et E pourrait nuire au développement du foetus.

Selon le Dr Aziz Aris, de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke, ces deux vitamines produisent des substances chimiques et toxiques pour le placenta et pourraient expliquer la naissance de bébés de petit poids.

Avec ces conclusions, le Dr Aris tient toutefois à mentionner que les futures mamans ne devraient pas cesser pour autant de prendre des suppléments vitaminiques pour femmes enceintes, mais que ces dernières devraient savoir que leur corps n’éliminera pas les surplus de vitamines C et E.

À titre d’exemple, il cite les jus qui fournissent jusqu’à 160 % des besoins quotidiens en vitamines C.

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Le sommeil des femmes plus propice aux cauchemars

Cauchemars, sommeil agité, rêves parsemés d’émotions intenses, tel semble être le lot des femmes pendant leur sommeil, selon des chercheurs de l’University of the West of England.

Ces derniers croient que ce phénomène est dû au changement de température provoqué par le cycle menstruel chez la femme.

« Dans leur cycle prémenstruel, les femmes feront des rêves plus agressifs et auront tendance à s’en souvenir davantage », a expliqué la Dre Jennifer Parker, l’auteure principale de cette recherche.

Lors de son étude, Mme Parker a d’ailleurs identifié trois types de cauchemars que font fréquemment les femmes. Le premier tourne autour de la poursuite; le deuxième, la perte d’un être cher et le troisième concerne des environnements nouveaux ou étranges.

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L’acupuncture pour venir à bout des bouffées de chaleur

Selon la Dre Eleanor Walker, de l’Hôpital Henry Ford à Détroit, il vaut mieux, pour les femmes ménopausées souffrant du cancer du sein, de suivre des traitements d’acupuncture pour traiter les bouffées de chaleur et les autres symptômes qui accompagnent la ménopause.

Le groupe de sujets a été divisé en deux. Le premier faisant appel à ces traitements de médecine douce et l’autre ayant consommé l’Effexor, un antidépresseur qui peut aussi traiter les effets secondaires de la ménopause pour les femmes ayant eu un cancer du sein.

Après 12 semaines, les participantes ayant consulté un acupuncteur avouaient avoir plus d’énergie et se sentir mieux, alors que les autres avouaient avoir souffert de nausée, de migraine et d’anxiété.

« Nos résultats démontrent que l’acupuncture est plus efficace que le médicament généralement prescrit. En plus, il n’y a pas d’effets secondaires », a souligné la Dre Walker.

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500 000 femmes meurent en couches chaque année

L’organisme humanitaire a dévoilé vendredi (19 septembre) les dernières statistiques en matière de femmes qui décèdent en donnant naissance.

Malgré les progrès de la médecine moderne, 536 000 femmes sont décédées en 2005, particulièrement dans les pays en développement, nous apprend le rapport Progress for Children: A Report Card on Maternal Maternity.

Pour Peter Salama, qui oeuvre pour l’UNICEF, l’accès à des soins obstétriques, particulièrement les césariennes d’urgence, explique ce phénomène. De plus, selon M. Salama, 4 grossesses sur 10 à l’échelle mondiale ne sont pas supervisées par des médecins.

C’est au Niger que l’on enregistre le plus de mortalité lors des accouchements, alors qu’une femme sur 7 peut mourir. Vient ensuite la Sierra Leone, où le taux de décès est de 1 sur 8.

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La détection de la prééclampsie plus facile

Des chercheurs de l’Université Harvard ont trouvé une protéine dans le sang de la future mère, le methoxyoestradiol, qui pourrait faciliter la détection de la prééclampsie.

Lorsque le methoxyoestradiol est associé à de faibles taux d’oxygène dans le sang, l’indice de prééclampsie est élevé.

Ce trouble, qui se caractérise par de l’hypertension artérielle, de l’oedème et de l’albuminurie, est la deuxième cause de décès des femmes enceintes en Amérique du Nord. Pour le moment, la prééclampsie est difficile à détecter, car l’hypertension artérielle n’est pas un signe automatique de ce trouble.