Catégories
Uncategorized

Le yoga pour atténuer les effets de la ménopause

En plus d’améliorer la concentration, le yoga diminuerait de beaucoup les bouffées de chaleur des femmes ménopausées, selon des chercheurs indiens.

Afin d’obtenir ces résultats, les scientifiques ont observé 120 femmes âgées de 40 à 55 ans qui pratiquaient cette discipline 5 fois par semaine.

Après huit semaines de yoga, les bouffées de chaleur et les troubles de sommeil avaient grandement diminué chez les participantes. De plus, ces femmes ont noté une amélioration de leur concentration et de leur mémoire.

« Notre étude démontre clairement les effets bénéfiques du yoga sur les capacités cognitives. Nous sommes persuadés que cela est attribuable à la respiration synchronisée sur les mouvements et à la relaxation que procure cet exercice », a souligné le Dr R. Chattha, l’auteur derrière ces résultats.

Catégories
Uncategorized

Stress et schizophrénie vont de pair

En analysant les dossiers médicaux de 88 000 enfants nés à Jérusalem de 1964 à 1976, une équipe de chercheurs de l’Université de New York a découvert que le stress ressenti par le foetus lors de la grossesse augmente son risque de souffrir de schizophrénie.

Les filles dont la mère en était à son deuxième mois de grossesse lors de la guerre des Six Jours entre Israéliens et Arabes présentaient un risque 4,3 fois plus grand d’être touchées par la schizophrénie que les autres participantes à cette étude.

Chez les garçons, cette fréquence est un peu moins élevée : le risque est 1,2 fois supérieur à celui des garçons dont les mères n’ont pas subi un tel stress.

Les scientifiques expliquent ce phénomène par les hormones du stress, qui traversent le placenta et finissent par affecter le foetus.

D’autres chercheurs en sont arrivés à des conclusions similaires en observant des poupons nés de mères ayant connu la crise du verglas en 1998.

Catégories
Uncategorized

De la morphine dans le lait maternel

Une recherche publiée dans le Clinical Pharmacology & Therapeutics, menée auprès de 72 femmes ayant donné naissance récemment, démontre que le lait maternel contient de la morphine lorsque l’on prescrit de la codéine aux mères après l’accouchement afin d’atténuer la douleur à la suite d’une césarienne ou d’une épisiotomie.

Environ une femme sur vingt présente une anomalie au gène qui contrôle la façon dont le corps métabolise la codéine. La proportion de morphine transmise par le lait maternel au bébé est plus importante chez ces femmes que chez les autres, ce qui n’est pas sans risque pour l’enfant.

Selon le coauteur de cette étude, Dr Koren, les médecins et gynécologues devraient plutôt prescrire aux nouvelles mamans de l’ibuprofène.

Catégories
Uncategorized

Un échantillon de salive pour détecter le cancer du sein

Le Dr Steven Narod et son équipe travaillent en ce moment à développer un test qui permettrait de détecter le cancer du sein à partir d’un simple échantillon de 10 milligrammes de salive.

2 000 sujets ont déjà accepté de se soumettre aux essais cliniques de ce test afin d’en vérifier l’efficacité.

Si les résultats sont concluants, cette première canadienne pourrait grandement faciliter la détection du gène défectueux responsable du cancer du sein, puisque les participantes pourraient éviter l’attente d’un rendez-vous auprès d’un médecin et simplement envoyer par la poste leur échantillon.

Catégories
Uncategorized

Une recherche sur les conséquences de l’avortement très attendue

L’American Psychological Association (APA) vient de mettre un terme à un vieux débat entre les groupes pro-vie et pro-choix en présentant une recherche dans le cadre de son congrès annuel, qui se tient à Boston.

Les chercheurs concluent que l’avortement n’augmente pas l’incidence de troubles mentaux chez les femmes qui l’ont subi.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe menée par la psychologue Brenda Major a analysé plusieurs recherches sur le sujet. Il en ressort qu’aucune d’entre elles n’est valide d’un point de vue méthodologique.

Bien que certains symptômes, comme la tristesse, la dépression et l’anxiété, soient observés à la suite d’une interruption de grossesse, le risque de souffrir de ces troubles mentaux n’est pas automatique.

« Les femmes qui vivent un avortement ne risquent pas plus de souffrir de troubles psychologiques que les femmes qui font une fausse couche durant leur premier trimestre », a conclu le rapport.

Catégories
Uncategorized

Les femmes aiment la grasse matinée

Réalisée par OpinionWay pour le compte de la chaîne B&B Hôtels, l’étude a interrogé 1 002 personnes pour connaître leurs habitudes au lit.

Ainsi, 73 % des femmes disent profiter chaque week-end d’une grasse matinée, contre 67 % des hommes.

Selon ces mêmes résultats, il n’y aurait que 11 % des femmes qui se lèvent avant 9 heures le week-end.

De plus, 67 % des répondantes ont indiqué qu’elles accordent de l’importance à leurs grasses matinées du week-end, contre seulement 54 % chez les hommes.

Catégories
Uncategorized

Vers un programme national de dépistage du cancer du sein

Alors que le scandale d’erreurs de diagnostic du cancer du sein chez les femmes de Terre-Neuve bat son plein, l’Association canadienne des pathologistes croit qu’il est nécessaire d’instaurer un programme national de contrôle de la qualité des tests pour diagnostiquer ce type de cancer.

Selon le président de l’Association, M. Louis Gadoury, nulle femme canadienne n’est à l’abri d’une erreur de diagnostic : « Présentement, personne n’est capable de certifier que les prélèvements des tissus tumoraux effectués pour diagnostiquer le cancer du sein faits au Québec et dans plusieurs autres provinces canadiennes sont conformes. Aucune firme externe ne teste la validité des résultats, personne ne vérifie si les équipements sont bien calibrés et rien n’atteste que les techniciens en laboratoire sont qualifiés. »

Voilà pourquoi un plan d’action a été proposé à Ottawa afin de mieux encadrer les tests de dépistage du cancer du sein.

Catégories
Uncategorized

Quand la dépression entraîne des maladies cardiaques

Une recherche menée auprès de 5 000 personnes de plus de 40 ans démontre un lien entre la dépression et les maladies cardiaques, particulièrement chez les femmes. Parmi les participants, 16,8 % des femmes et 10,9 % des hommes ont avoué avoir souffert de dépression au cours d’une période de 12 ans.

L’incidence des maladies du coeur augmente de 70 % chez les femmes qui ont été dépressives, tandis que chez les hommes, la hausse se limite à 1 %, selon l’auteure principale de l’étude, Heather Gilmour.

La dépression semble donc être un facteur de risque pour développer une maladie cardiaque, tout comme le tabagisme, la consommation d’alcool ou de drogue, une mauvaise alimentation ou encore la sédentarité.

Cette étude démontre pour la première fois une relation possible entre la dépression et les maladies cardiovasculaires.

Catégories
Uncategorized

La réaction au stress diffère selon le sexe

Les travaux menés sur des rats par des scientifiques montréalais du Centre de recherche Fernand-Seguin démontrent que la réaction neurologique face au stress varie selon le sexe.

Si c’est l’hémisphère droit des rongeurs mâles qui est activé dans des situations tendues, c’est l’hémisphère gauche qui réagit davantage chez les femelles.

Des recherches antérieures avaient prouvé qu’une sollicitation de l’hémisphère gauche entraînait des symptômes dépressifs, troubles que les femmes développent deux fois plus souvent que les hommes en situation stressante.

L’un des auteurs de l’étude, le Dr Ron Sullivan, apporte toutefois quelques nuances à ces découvertes : « Aucun des deux sexes n’emploie exclusivement un hémisphère ou l’autre dans une situation stressante. Cependant, l’hémisphère dominant semble être différent selon le sexe, ce qui nous permet de croire que les hommes et les femmes présentent une réactivité différente face au stress qui, elle, pourrait être reliée à la plus grande vulnérabilité observée chez les femmes. »

Catégories
Uncategorized

Les hommes, adeptes de la livraison de repas

Selon le site Internet Alloresto.fr, les représentants de la gent masculine semblent plutôt désemparés en l’absence de leurs épouses, alors que sept hommes sur 10 se font livrer à la maison des repas tout préparés.

Ces derniers affectionnent tout particulièrement la pizza, la cuisine tex-mex et surprise, les sushis.

C’est pendant la période estivale, entre le 15 juillet et le 15 août, que les commandes de repas par les hommes connaissent une hausse fulgurante de 42 %. Ce phénomène serait attribuable à l’absence des épouses de la maison.