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Les conséquences financières du cancer du sein

Selon le quotidien La Presse, le cancer du sein a aussi des répercussions sur la vie financière des femmes qui en sont touchées, puisqu’elles voient leurs revenus amputés de 27 % dans l’année qui suit le diagnostic.

Cette statistique plutôt décourageante provient des épidémiologistes de l’Université Laval, qui croient qu’il pourrait en être de même pour les autres formes de cancer.

Sophie Lauzier, coauteure de l’étude publiée dans le Journal of the National Cancer Institute, explique : « Avec le perfectionnement des traitements depuis les 25 dernières années, la proportion des patientes qui reçoit plusieurs types de traitements augmente. Il y a plus d’effets secondaires, plus d’absences du travail et plus de coûts liés aux nombreux déplacements. »

459 femmes atteintes du cancer du sein ont participé à cette étude. Parmi celles-ci, il semble que ce soit les travailleuses autonomes qui soient particulièrement touchées, alors que leurs revenus ont pu baisser de 40 %.

« Il s’agit seulement des pertes de salaire, précise Dre Lauzier. Nous faisons maintenant les analyses pour les dépenses reliées au traitement. Ça va certainement ajouter au fardeau financier. »

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Le mystère sur le point G enfin résolu

Une étude menée par des chercheurs de l’Université de l’Aquila permet d’en comprendre davantage sur le point G, qui a été découvert dans les années 1950 par le sexologue allemand Ernest Gräfenberg.

Selon la Dre Emmanuele Jannini et son équipe, les femmes qui sont pourvues de tissu plus épais dans la région de la paroi antérieure entre l’urètre et le vagin ont des orgasmes plus intenses que celles dont le tissu est plus mince.

Le groupe de participantes se composait de neuf femmes ayant des orgasmes vaginaux et onze qui n’en ressentaient pas.

La technique des ultrasons a ensuite été utilisée afin de déterminer l’existence du point G chez les sujets. La Dre Jannini est formelle : les femmes qui n’ont aucune apparence visible de point G ne peuvent pas avoir d’orgasme vaginal.

D’autres experts remettent toutefois en cause cette recherche de la Dre Jannini et prétendent que l’épaisseur de la partie antérieure du vagin est uniquement en lien avec la taille du clitoris.

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Femmes, consommez du soya !

Les femmes auraient tout avantage à ajouter à leur menu quotidien des produits à base de soya, si elles souhaitent avoir un coeur en santé.

Une recherche menée à l’Université d’Osaka a démontré tous les bienfaits de l’isoflavone et de la vitamine E contenues dans le soya, particulièrement chez les femmes ménopausées. En consommant du soya, ces dernières courent quatre fois moins de risque de subir une crise cardiaque ou d’apoplexie.

De tels résultats n’ont pas été observés chez les hommes.

Les scientifiques ont divisé les 40 000 sujets étudiés entre 1990 et 2002 en cinq groupes, en fonction de leur consommation quotidienne de soya.

Tous les détails de cette étude sont publiés dans la revue Circulation, de l’Association cardiaque américaine.

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Les femmes vont moins aux soins intensifs

Selon l’Association médicale canadienne, il existe une disparité entre les sexes lors de l’hospitalisation. En effet, 57 % de la clientèle des centres hospitaliers est féminine, alors que celle-ci ne représente que 40 % des patients admis aux unités des soins intensifs.

L’organisme remarque aussi que le personnel médical place moins souvent sous respiration artificielle la clientèle féminine. Le constat est le même dans le cas d’un cathéter dans l’artère pulmonaire.

Pour en arriver à de telles conclusions, 50 000 dossiers médicaux de patients ontariens ont été étudiés par des chercheurs.

Selon le docteur Robert Fowler, médecin aux soins intensifs à Toronto, ce phénomène pourrait s’expliquer par la préférence des patients et les préjugés du personnel hospitalier.

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La médecine au féminin a des effets positifs

Selon une étude effectuée par le Groupe de recherche interdisciplinaire en santé de l’Université de Montréal, à la demande de l’Association médicale du Québec, la féminisation de la médecine a amené certains changements positifs. 

On compte parmi les améliorations les relations entre médecins et patients, le fonctionnement des équipes de travail, l’organisation des services ainsi que l’accès et la qualité des soins de santé.

D’après le président de l’Association médicale du Québec, M. Jean-Bernard Trudeau, la grande facilité à dialoguer et à communiquer que possèdent les femmes contribue grandement à l’amélioration des relations et du degré de satisfaction et de compréhension des patients.

Les femmes médecins auraient une approche plus préventive vis-à-vis leurs patients et pratiqueraient plus en centres local de services communautaires (CLSC) et en unités d’hospitalisation que les hommes. De plus, elles seraient plus nombreuses qu’eux à vouloir desservir la population défavorisée.

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Le café serait bon pour la mémoire des femmes

Les vertus du café ont déjà été démontrées à plusieurs reprises dans les études sur la santé.

Cette fois-ci, une équipe de l’Institut national français de la santé et de la recherche médicale, en collaboration avec l’Université de Lisbonne, a observé une relation entre la consommation de café et une bonne mémoire chez les femmes de 65 ans et plus.

D’après l’étude effectuée sur plus de 7 000 sujets de sexe différent, le café n’a eu aucune incidence sur la mémoire des hommes, mais les performances cognitives des femmes se sont révélées meilleures chez celles consommant quotidiennement plusieurs cafés.

Selon deux chercheurs de l’étude, Mme Karen Richie et M. Alex De Mendonça, les raisons de l’effet protecteur du café sur la mémoire reste à déterminer, tout comme le fait que seulement les femmes en bénéficient.