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La césarienne touche davantage les femmes dans la quarantaine

Si vous êtes enceinte et avez plus de 40 ans, les risques d’accoucher par césarienne sont trois plus élevés. Souvent l’intervention est effectuée d’urgence.

En effet, parmi les 170 000 Norvégiennes de différents âges qui ont participé à l’étude, celles qui avaient plus de 40 ans ont été 22,4 % à subir une césarienne d’urgence contre 8,4 % pour les mères âgées de moins de 30 ans. Pourtant, les grossesses se déroulaient bien.

L’âge n’était cependant pas l’unique facteur en cause. Il a également été démontré que certains éléments tels qu’un poids élevé à la naissance, un âge gestationnel d’au moins 42 semaines ou encore la péridurale augmentaient le nombre d’accouchements par césarienne. Or, ces facteurs avaient aussi beaucoup plus d’impact chez les femmes de plus de 40 ans.

Selon les chercheurs, les femmes enceintes de 40 ans et plus en bonne santé ont simplement besoin d’être mieux suivies pour être mieux préparées à leur accouchement, écrit le site français Parents.fr.

 

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Percée dans le monde de la fécondation

Le Daily Telegraph nous apprend qu’une nouvelle technique arrive à réparer les ovules endommagés des femmes âgées en implantant des parties d’ovules de femmes plus jeunes, ce qui permettrait une grossesse.

Des chercheurs du St.Mother Hospital à Kitakyushu, au Japon, ont réussi à implanter un noyau d’ovule en santé dans le cytoplasme d’ovules de femmes âgées. Le cytoplasme est la couche externe du noyau qui est souvent anormale chez les femmes plus vieilles.

Avec des dons d’ovules de femmes plus jeunes, il serait donc possible de tout réparer. Les chercheurs ont réussi avec 31 ovules et 7 sont arrivés au stade d’embryons précoces.

Maintenant, si les scientifiques arrivent à transférer ces embryons fécondés chez des femmes plus âgées, il pourrait y avoir un important taux de réussite.

C’est la deuxième fois que l’on fait ce genre de découverte. L’été dernier en Oregon, aux États-Unis, une équipe avait utilisé cette technique avec des singes et avait obtenu de bons résultats.

Par contre, ce n’est pas demain la veille que cette technique sera proposée, car elle fait face à de nombreuses critiques. On s’inquiète du fait que cela puisse mener à des enfants hybrides ou génétiquement modifiés.