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Les femmes enceintes n’ont pas à craindre le vaccin H1N1

Selon les données récoltées, moins de 50 % des femmes enceintes se font vacciner contre la grippe H1N1. Pourtant, il est désormais prouvé que le fœtus peut très bien faire face à ce vaccin.

La chercheuse Christina Chambers a fait enquête auprès de 1032 femmes enceintes aux États-Unis et au Canada, qu’elles aient été vaccinées ou non, et ce, entre 2009 et 2012. Les résultats démontrent que les femmes vaccinées pouvaient donner naissance prématurément, mais de 3 jours seulement en moyenne.

En outre, la grippe pendant la grossesse peut être bien plus dommageable. Entre autres, elle augmente le risque du trouble de bipolarité chez l’enfant. En 2009, le Vaccines and Medications in Pregnancy Surveillance System (VAMPSS) a lancé une recherche nationale pour valider le fait que le vaccin du H1N1 était inoffensif pour le fœtus.

Appuyant la recherche de la Dre Chambers, le VAMPSS a également fait ses devoirs. Ce sont 4191 femmes enceintes, vaccinées ou non, qui sont passées sous la loupe. On a évalué la santé des nouveau-nés selon 41 anormalités répertoriées lors d’une naissance.

Les résultats, selon Medical News Today, n’ont démontré « aucune évidence d’un risque accru d’anormalité à la naissance ».

Voilà qui devrait rassurer les futures mamans.

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Les femmes enceintes confrontées à la pollution font plus de bébés petits

(AFP) – Les femmes enceintes les plus exposées aux polluants des gaz d’échappement automobiles et des centrales à charbon ont un risque plus élevé d’avoir un enfant dont le poids à la naissance sera trop faible, selon une vaste étude internationale publiée mercredi (6 février) aux États-Unis.

Il s’agit de la recherche la plus étendue portant sur le lien entre la pollution de l’air et le développement du fœtus, précisent les auteurs, dont la Dre Tracey Woodruff, professeure de gynécologie et de science de la reproduction à l’Université de Californie à San Francisco.

Ces scientifiques ont constaté que dans les différents sites dans le monde où cette recherche a été effectuée, plus le taux de pollution était élevé, plus grand était le taux de naissances d’enfants avec un poids insuffisant.

Un faible poids à la naissance (moins de 2,5 kilos) est lié à des risques accrus de maladies et de mortalité prénatales ainsi qu’à des problèmes de santé chroniques plus tard dans la vie, relève le Dr Payam Dadvand du Centre de recherche en épidémiologie mentale (CREAL) à Barcelone en Espagne, un des principaux coauteurs.

« Ce sont en fait des niveaux de pollution de l’air auxquels nous sommes quasiment tous exposés dans le monde », relève Dre Woodruff. « Ces particules microscopiques, qui sont en taille inférieure au dixième de l’épaisseur d’un cheveu humain, se trouvent dans l’air que nous respirons tous », ajoute-t-elle.

Dre Woodruff note que les pays qui ont des réglementations plus strictes pour limiter la pollution automobile et des centrales au charbon ont des niveaux plus faibles de ces polluants.

« Aux États-Unis, nous avons montré pendant plusieurs décennies que les bienfaits pour la santé et le bien-être publics de la réduction de la pollution de l’air sont beaucoup plus grands que les coûts », insiste-t-elle.

Cette recherche est basée sur trois millions de naissances dans neuf pays et dans quatorze sites en Amérique du Nord, en Afrique du Sud, en Europe, en Asie et en Australie. La plupart des données ont été collectées entre le milieu des années 1990 et la fin de la décennie 2000.

L’étude est publiée dans la revue médicale américaine Environmental Health Perspectives.

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Femmes enceintes et bébés : 56 façons d’aider les médecins à sauver des vies

358 000 femmes meurent chaque année pendant l’accouchement ou la grossesse, et 7,6 millions d’enfants perdent la vie avant l’âge de 5 ans, révèle une importante étude qui a duré plus de trois ans. Les résultats ont été publiés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Université Aga Khan et le Partenariat pour la santé maternelle, néonatale et infantile (PMNCH).

Cette étude a examiné 50 000 documents médicaux et a été conçue pour faciliter la prise de décisions, dans les pays à faible et moyen revenu, sur la façon d’allouer des ressources limitées pour un impact maximal sur la santé des femmes et des enfants.

Grâce aux résultats, 56 interventions ont été trouvées pour aider à la santé reproductive, maternelle, néonatale et infantile. Parmi ces dernières, on retrouve :

• Gérer l’anémie maternelle avec le fer;
• Prévenir et gérer l’hémorragie post-partum;
• Des soins immédiats thermiques pour nouveau-nés;
• Une prise en charge supplémentaire pour l’alimentation des bébés prématurés et petits;
• Des antibiotiques pour le traitement de la pneumonie chez les enfants.

Les idées présentées sur cette liste ne sont pas nouvelles en soi. Ce qui l’est, c’est qu’elles sont enfin réunies sur le même papier et qu’elles ont l’accord des médecins. Ces derniers disent que ce processus représente un moment historique dans l’avancement de la santé des femmes et des enfants.

Le PMNCH a annoncé que la liste des 56 interventions essentielles sera distribuée sans plus tarder à son énorme réseau social (440 partenaires), afin que tous puissent l’utiliser rapidement.

L’Afrique subsaharienne et l’Asie du Sud sont les deux endroits où il y a le plus haut taux de mortalité maternelle et infantile. La moitié des nouveau-nés meurent dans les 24 heures après la naissance, et 75 % au cours de la première semaine de vie.

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Les futures mères qui dorment peu ont un accouchement plus difficile?

Selon une étude publiée dans le journal Sleep, les futures mamans dormant moins de cinq heures par nuit ont plus de chances d’avoir un accouchement difficile.

Elles sont 10 fois plus à risque d’être aux prises avec la prééclampsie, une maladie qui cause la haute pression sanguine, ce qui peut mener à un endommagement des organes et même à la mort du bébé qui n’est pas encore né. Cela peut aussi être fatal pour la mère qui, une fois diagnostiquée, a une césarienne ou se fait donner des médicaments afin de provoquer l’accouchement.

Les femmes enceintes dormant cinq heures par nuit ou moins lors des 14 premières semaines de leur grossesse sont ainsi 14 fois plus à risque, car la pression sanguine chute de 10 à 20 % lors du sommeil.

Les scientifiques de l’Université de Washington croient que le manque de sommeil fait augmenter la pression sanguine, mais qu’il affecte de surcroît les fonctions du cœur durant la grossesse.

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Plus de césariennes lorsque l’accouchement est provoqué

Une étude américaine démontre que de provoquer l’accouchement lors d’une première grossesse augmente les chances de devoir pratiquer une césarienne.
 
Selon ce que rapporte la revue Obstetrics & Gynecology, 20 % des césariennes effectuées pour des grossesses à terme sont dues au déclenchement artificiel du travail.
 
Les chercheurs ont suivi 7 804 femmes enceintes de 37 à 42 semaines. 3 404 d’entre elles ont eu un accouchement provoqué et 1 991 de ces dernières ont dû subir une césarienne.
 
Pour le tiers de ces femmes, le déclenchement du travail n’a pas été fait pour des questions médicales, mais simplement à la demande de la future mère pour des questions pratiques et de confort. Une méthode malheureusement trop souvent acceptée aux États-Unis.
 
On note 26 % de césariennes pour les accouchements provoqués contre 14 % pour les autres femmes.
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Les bébés exposés à la réglisse seront plus malades

Le Daily Mail rapporte une nouvelle étude sur les effets de la réglisse. Les bébés qui y sont exposés dans l’utérus de leur mère auront plus de chances de développer certaines maladies, une fois adultes.

Des experts ont testé le taux de cortisol d’enfants âgés de huit ans. Le cortisol est une hormone qui aide l’organisme à faire face au stress, mais malheureusement, elle est surtout associée au diabète, à l’hypertension artérielle et à l’obésité.

Selon l’étude londonienne du Great Ormond Street Hospital et de l’Université de Helsinki, les enfants dont les mères ont mangé de la réglisse durant leur grossesse avaient un taux de cortisol un tiers plus élevé que ceux dont la mère n’a jamais consommé cette friandise.

Ce taux se retrouvait chez les enfants dont les mères avaient mangé un demi-gramme et plus de réglisse par semaine.

On croit que les ingrédients contenus dans la réglisse, dont la glycyrrhizine, affectent le mécanisme qui régule les niveaux hormonaux. Il est donc fortement recommandé aux femmes enceintes de s’abstenir de consommer de la réglisse.

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Les plantes médicinales déconseillées aux femmes enceintes

Ce n’est pas parce que c’est naturel qu’il n’y a pas de dangers. Tout le monde devrait consulter un médecin avant de prendre des médicaments dits naturels, surtout si une personne prend déjà des médicaments d’ordonnance. Les femmes enceintes devraient être encore plus vigilantes.
 
On déconseille aux futures mères de consommer des plantes médicinales. Selon la revue américaine des gynécologues-obstétriciens, Obstetrics and Gynecology, on ne connaît pas encore les conséquences de la phytothérapie sur l’organisme de la femme enceinte.
 
10 % des femmes utilisent des plantes médicinales durant leur grossesse pour contrer les nausées et les vomissements. Alors que le gingembre est connu pour ses effets antivomitifs, on ignore les effets qu’il peut provoquer sur le développement du bébé.
 
De même que les futures mères devraient éviter de prendre de l’éphédra, car elle augmente la pression artérielle et les risques de troubles au niveau du rythme cardiaque.
 
Les femmes enceintes devraient toujours demander l’avis de leur médecin avant de prendre quoi que ce soit, rappellent les spécialistes.
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Les femmes enceintes peuvent être soignées pour une grippe saisonnière

Le Tamiflu, le Relenza et la Flumadine qui sont utilisés pour soigner la grippe saisonnière ne sont pas nocifs pour les femmes enceintes et leur bébé.
 
C’est du moins la conclusion à laquelle arrive des chercheurs de l’University of Texas Southwestern Medical Center, rapporte Top Santé.
 
Après avoir analysé les dossiers médicaux de 82 000 femmes enceintes, dont 239 avaient la grippe et étaient soignées avec l’un des trois médicaments, on ne note aucune différence significative entre ces femmes et celles qui ne sont pas malades. Les médicaments n’auraient donc aucune influence pour la mère et le bébé.
 
Les femmes enceintes qui prennent des médicaments contre la grippe saisonnière ne sont pas plus susceptibles de vivre une naissance prématurée ou encore d’avoir du diabète gestationnel, de vivre une rupture prématurée de la membrane ou d’avoir de la fièvre que les autres femmes non grippées qui ne prennent pas de médicaments.
 
Même chose du côté des bébés à la naissance, on ne constate aucune différence de poids, de convulsions ou de graves problèmes de santé entre ceux-ci et les bébés dont les mères n’ont pas eu de traitement.
 
Toutefois, pour l’étude, on mentionne que seulement 13 % des femmes ont été traitées durant leur premier trimestre de grossesse. Nous le savons, les trois premiers mois sont décisifs pour le développement du fœtus.
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Le 3D déconseillé aux enfants

Tous l’ont dit, 2010 sera l’année du 3D, grandement popularisé depuis l’année dernière par le film Avatar. Les productions seront de plus en plus nombreuses à emboîter le pas et les téléviseurs personnels offrant le 3D commencent aussi à faire leur apparition.
 
Toutefois, en lançant son téléviseur 3D, la compagnie Samsung Electronics Canada a également émis un avertissement. On avoue que les effets du visionnement avec des lunettes 3D ne sont pas encore connus à long terme et qu’on ne fait que commencer à les étudier.
 
Robert Gumiela, le directeur marketing de Samsung, rappelle qu’avec les lunettes 3D, chaque œil est caché 60 fois par seconde, voilà pourquoi on mentionne à toutes les personnes qui commencent à être étourdies de cesser le visionnement.
 
Le 3D peut être déconseillé pour les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgées. On demande aux parents de toujours s’assurer que leurs enfants ne sont pas étourdis, qu’ils n’ont pas de mouvements involontaires comme des spasmes ou encore qu’ils ne ressentent pas des crampes ou des nausées. 
 
Il n’est pas encore prouvé que le 3D a des effets indésirables sur les femmes enceintes et les personnes âgées, mais par mesure préventive, les avocats de Samsung ont suggéré de mettre un avertissement avec leur produit.
 
Rappelons également que les personnes ayant une mauvaise santé physique, un manque de sommeil ou qui ont consommé de l’alcool devraient s’abstenir de choisir le 3D.
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Bilan du virus H1N1 pour les femmes enceintes

Le journal JAMA publie une étude américaine qui fait le bilan de la grippe A (H1N1) sur les futures mères.
 
Après avoir analysé 788 cas de grippe A (H1N1) chez les femmes enceintes, entre avril et août 2009, on conclut que les risques de décès ou d’hospitalisations en soins intensifs étaient considérablement réduits si elles recevaient un traitement antiviral précoce.
 
Les femmes qui ont eu un antiviral dans les quatre jours et plus après l’apparition des premiers symptômes avaient 56,9 % plus de chances de se retrouver à l’hôpital aux soins intensifs, alors que celles qui ont reçu le traitement dans les deux jours suivant l’apparition des symptômes de la grippe n’avaient que 9,4 % des chances de se retrouver dans cette situation.
 
Au début de la pandémie du virus H1N1, on affirmait que les femmes enceintes avaient quatre fois plus de risques d’être hospitalisées en raison de la grippe A (H1N1) que le reste de la population.