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Perdre du poids réduirait les risques de développer un cancer

Selon une étude publiée dans le Cancer Research, perdre seulement une petite partie de votre poids pourrait réduire de façon significative l’inflammation dans votre corps et ainsi abaisser vos risques de développer différents types de cancer, dont celui du sein.

« Je crois que le principal problème du corps est le poids. Plus une personne a de gras, plus les cellules produiront de l’inflammation. Plus il y aura d’inflammation et plus cette inflammation ira dans le système sanguin », explique la directrice du Prevention Center du Fred Hutchinson Cancer Research Centre de Seattle, Anne McTiernan.

L’étude réalisée sur des femmes en surpoids ne consommant pas d’alcool ou de tabac a révélé que celles ayant perdu du poids durant l’expérience avaient des niveaux d’inflammation nettement inférieurs à celles n’en ayant pas perdu.

Par exemple, les niveaux de protéine C réactive, qui a été liée au cancer du côlon et du poumon, ont diminué de 41,7 % pour le groupe de femmes ayant fait de l’exercice.

Rappelons que l’obésité accroîtrait de plus de 70 % les risques d’avoir un cancer du rein, selon le Cancer Research UK.

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Les yeux des femmes diffèrent de ceux des hommes

Une étude publiée dans le Surgical and Radiologic Anatomy dévoile que les femmes ont la pupille plus grande que celle des hommes.
 
Est-ce dire qu’elles voient plus grand que les hommes? En fait, cela dépendrait des personnes, mais une chose est certaine, leur pupille a un plus grand diamètre.
 
Il existe peu d’études sur l’œil emmétrope, soit sans problème. Pourtant, cela représente la grande majorité de la population (43,2 %).
 
L’œil dit « normal » est peu étudié, comparativement aux myopes, hypermétropes, à stigmates ou même présentant des maladies comme les cataractes.
 
Pourtant, les données de l’œil sans défaut sont utiles pour comparer avec les yeux ayant des troubles divers.
 
Maintenant que les chercheurs ont découvert que les femmes ont des pupilles plus grandes que celles des hommes, cela peut aider à revoir les principes de la vision. Selon certains, des personnes pourraient voir plus grand que d’autres.
 
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Rester active durant les traitements contre le cancer du sein

Une étude d’une équipe de l’Université de Miami affirme que les femmes avec un cancer du sein non métastatique qui demeurent actives physiquement durant leurs traitements diminuent leur fatigue et les risques de dépression.
 
« Les patientes physiquement actives ont plus confiance en leur propre capacité à poursuivre les activités familiales, professionnelles ou sociales, qui apportent une satisfaction dans la vie. Cela peut conduire à une fatigue diminuée, une meilleure qualité de vie et un risque de dépression réduit », explique Jamie M. Stagl, étudiant au doctorat en psychologie clinique et coauteur de l’étude.
 
Ces résultats ont été présentés lors de la rencontre annuelle de la Society of Behavioral Medicine.
 
240 femmes, recrutées 4 à 10 semaines après la chirurgie, ont été suivies pendant 10 semaines. Certaines devaient aussi participer à un groupe de thérapie de gestion du stress.
 
Ce type de programme semble également bénéfique si l’on compare les résultats avec les femmes qui n’y ont pas eu accès.
 
Idéalement, il faut donc bouger et gérer son stress pour améliorer les chances de guérison et diminuer la fatigue et les risques de dépression.
 
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Les femmes prendraient moins de risques en présence d’un bébé

Contrairement aux hommes, qui ne réduisent pas les risques qu’ils prennent en présence d’un bébé, les femmes ont tendance à être significativement plus prudentes en présence d’un poupon ou d’un jeune enfant.

Les chercheurs de l’Université de Warwick et de l’Université de Basel croient que ce pourrait être un exemple de forces évolutives au travail.

« Notre attitude face au risque forme une grande part de notre personnalité et détermine nos gestes dans toutes sortes de domaines », selon le docteur au Département de psychologie de l’Université de Warwick, Thomas Hills.

En fait, les hommes seraient plus compétitifs et rechercheraient plus le risque, alors que la femme chercherait, par instinct maternel, à protéger ses enfants.

Une seconde étude a aussi démontré que les hommes prenaient encore plus de risques lorsqu’ils étaient en équipe avec d’autres hommes.

Cela vient confirmer que les hommes, une fois en couple ou avec une famille, sont moins portés à être en compétition entre eux.

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La majorité des femmes en hémodialyse rencontreraient des problèmes sexuels

C’est ce qu’a démontré une étude des chercheurs du groupe de travail Collaborative Depression and Sexual Dysfunction in Hemodialysis publiée le 12 avril dans le Clinical Journal of the Amercian Society of Nephrology.

« Les patients sous dialyse peuvent éprouver des symptômes, comme la douleur, la dépression, les troubles du sommeil et la fatigue, qui affectent leur qualité de vie. En montrant que la grande majorité des femmes souffrant d’insuffisance rénale sous dialyse peuvent aussi rencontrer des problèmes sexuels, cette étude encourage à mieux comprendre comment la dysfonction sexuelle affecte la qualité de vie des patients dialysés et leur bien-être psychologique », peut-on y lire.

Il s’agit de l’une des rares fois où les chercheurs se sont penchés sur la santé sexuelle des patientes en hémodialyse, alors que l’on assiste à une grande prise de conscience de la dysfonction érectile chez les patients suivant le même type de traitement.

Il n’existe cependant aucune intervention à ce jour pour remédier à ces problèmes.

Notons que les femmes ayant un partenaire sont moins susceptibles de parler de leurs problèmes sexuels que celles sans partenaire. Les dysfonctions sexuelles sont souvent signalées par les femmes plus âgées, moins instruites et plus fragiles émotionnellement, à cause de la dépression.

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Femmes enceintes : le vaccin contre la grippe recommandé

Cette année, les femmes enceintes sont présentes sur la liste des personnes ayant droit à la vaccination contre la grippe saisonnière, rapporte le site Famili.fr.

Les futures mamans peuvent donc se faire vacciner pour protéger leur santé et celle de leur bébé, quel que soit le stade de la gestation. Cette vaccination saisonnière ne comporte aucun risque pour le foetus.

La vaccination pendant la grossesse comporte certains avantages pour le bébé. En effet, la mère transmet des anticorps protecteurs à son petit. Ce dernier est donc protégé contre le virus après l’accouchement.

La France rejoint maintenant un grand nombre de pays industrialisés qui conseillent la vaccination antigrippale aux femmes enceintes.

Il existe encore trop de craintes, non fondées, concernant la vaccination des femmes enceintes. Les futures mamans devraient discuter avec leur médecin afin d’avoir l’heure juste et se faire rassurer. Cette vaccination a de réels effets bénéfiques pour la mère et son enfant à venir.

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La vitamine D pourrait freiner le cancer du sein chez les femmes noires

C’est ce que démontrent de nouvelles études du Roswell Park Cancer Institute parues dans le journal Breast Cancer Research.

« Nos résultats montrent que ces variations génétiques, qui contribuent au travail de la vitamine D, sont fortement associées au cancer du sein ER-négatif et peuvent contribuer aux plus agressives caractéristiques du cancer du sein chez les femmes afro-américaines », explique l’un des auteurs de la recherche, Song Yao.

Les scientifiques ont découvert que les Afro-Américaines avec le plus haut niveau de vitamine D avaient des variations génétiques spéciales. Ce sont ces variations qui réduiraient de 50 % leurs risques d’avoir le cancer du sein par rapport aux femmes ne les ayant pas.

De plus, les femmes de race noire ont des risques démesurément plus élevés de souffrir d’un cancer du sein ER-négatif que les femmes blanches. Ce type de cancer est particulièrement difficile à traiter puisqu’il a la particularité d’être insensible aux hormones.

Rappelons que dans le passé, des chercheurs avaient découvert que la vitamine D jouait un rôle déterminant dans le contrôle de la croissance des cellules des seins et pouvait même empêcher le cancer du sein de se propager.

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Les femmes manquent d’information sur le déclenchament de l’accouchement

C’est ce que révèle une enquête faite par le Collectif interassociatif autour de la naissance (CIANE) auprès de 4400 femmes.

De plus, il y aurait également des lacunes au niveau du recueil du consentement des femmes.
 
En fait, une femme sur trois dont l’accouchement a été déclenché a affirmé ne pas avoir eu assez d’informations sur ce processus. De plus, 36 % d’entre elles n’auraient pas été interrogées par leur médecin pour savoir si elles étaient d’accord ou non avec cette pratique. Quelques-unes n’auraient même pas été averties que l’on allait déclencher leur accouchement avant que cela ne se fasse.
 
Le fait est que le déclenchement de l’accouchement n’est pas nécessairement recommandé. Les accouchements provoqués sont reliés à une hausse des césariennes, des épisiotomies, de l’utilisation des forceps, ventouses et autres.
 
Les femmes ayant reçu de l’ocytocine, la substance injectée pour occasionner l’accouchement, sont 2 fois plus nombreuses que les autres à avoir mal vécu leur accouchement.
 
Rappelons que 34 % des cas de déclenchement par les médecins le sont pour des dépassements de terme, 62 % pour d’autres raisons médicales et 2 % pour des raisons d’organisation.
 
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Les femmes se font de fausses illusions au sujet de la fertilité

Dans la revue Fertility and Sterility, le 5 avril, des chercheurs de la Yale School of Medicine déplorent qu’il y ait trop de femmes qui prennent pour acquis que grâce aux technologies d’assistance médicale à la procréation (AMP), il sera facile de tomber enceintes, même si elles retardent la maternité.

Selon les données de la Société pour les techniques de procréation assistée (Society for Assisted Reproductive Technologies), le nombre de fécondations in vitro (FIV) effectuées pour les femmes âgées de 41 ans et plus a grimpé de 41 % entre 2003 et 2009. Cependant, le taux de grossesses réussies n’a pas augmenté, demeurant fixe à 9 % en 2009.
 
« Elles doivent être éduquées de façon plus agressive, car ces femmes se font une réelle fausse idée sur la fertilité. Elles se disent en forme et en santé et croient qu’elles pourront être comme toutes ces vedettes qui tombent enceintes rapidement dans la quarantaine. Si jamais la grossesse fonctionne, il faut qu’elles sachent les risques qu’elles courent d’avoir une fausse couche, un bébé avec des malformations congénitales ou un accouchement compliqué », mentionne le Dr Pasquale Patrizio, professeur au Département d’obstétrique et de gynécologie à la Yale School of Medicine et directeur du Centre de fertilité de Yale.
 
En revanche, le spécialiste rappelle que les médecins ont également un rôle et un devoir à accomplir envers leurs patientes. Ils doivent les informer davantage et plus tôt sur les conséquences de retarder la maternité et leur proposer toutes les options possibles.
 
Selon les experts, la meilleure alternative pour ces femmes demeure la congélation de l’ovocyte ou encore le don d’ovules.
 
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Les femmes qui mangent moins de viandes rouges sont plus dépressives et anxieuses

Le Psychotherapy Psychosomatics dévoile une étude qui démontre que les femmes qui consomment moins que la portion suggérée de viande rouge (70 g par jour) sont deux fois plus susceptibles de souffrir de dépression et d’anxiété.
 
Bien que la viande rouge présente des risques pour la santé lorsqu’on en consomme trop, elle est aussi importante, et il ne faut pas la couper complètement.
 
Durant l’étude, les femmes qui consommaient peu de viande rouge étaient deux fois plus susceptibles d’être dépressives et anxieuses.
 
Ces résultats étaient toujours présents en tenant compte des autres facteurs de risques pour ces troubles de santé mentale, comme le statut socio-économique, le niveau d’activité physique, le tabagisme, le poids et l’âge.
 
Toutefois, pour les autres protéines, provenant notamment du poulet, il n’y avait aucun lien avec la santé mentale.