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Les femmes sont plus touchées par les troubles du sommeil

Une étude de l’Institut de veille sanitaire (InVS) en France révèle que les troubles du sommeil affectent beaucoup plus les femmes que les hommes.
 
L’étude complète sera dévoilée plus tard cette année, mais pour le moment, on apprend que 39 % des femmes avouent avoir des troubles du sommeil, contre 29 % des hommes.
 
De plus, en vieillissant, les problèmes seraient de plus en plus fréquents. Pourtant, une récente étude affirmait que l’on dormait mieux avec l’âge.
 
12 636 personnes de plus de 16 ans ont été interrogées pour cette recherche. D’après les résultats, l’agitation serait fréquente durant trois nuits par semaine pour le tiers des participants.
 
Une personne sur cinq associe ces troubles à la fatigue et à une somnolence excessive durant la journée.
 
Rappelons que dernièrement, une étude dévoilait que les troubles du sommeil finissaient par affecter nos performances. Ils peuvent également grandement affecter la santé. Il est donc très important de s’en soucier.
 
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Les livres de maternité sont contradictoires et stressants pour la femme

C’est ce que fait remarquer la Dre Angela Davis, du département d’histoire à l’Université de Warwick, qui a réalisé 160 entrevues avec des femmes de tous les âges et de tous les horizons pour son nouveau livre, Modern Motherhood: Women and Family in England, 1945-2000.

Pour conclure que depuis 50 ans, les mères demeurent souvent perplexes et désabusées devant un livre de maternité, elle a demandé aux femmes de discuter de leurs expériences maternelles et de comparer des conseils qui ont été donnés par des experts, au cours des dernières décennies.

Les auteurs de livres de maternité populaires qui ont été observés étaient Frederick Truby King, John Bowlby, Donald Winnicott, Benjamin Spock, Penelope Leach et Gina Ford.

Ce qui a sauté aux yeux des femmes de l’étude et de la Dre Davis est que même si le message a changé au fil des ans, les conseils sonnent tous comme des ordres, et la morale du manuel donne toujours l’impression aux femmes d’échouer, d’être menacées, et qu’il y a des conséquences extrêmes si elles ne respectent pas les « consignes » préconisées.

C’est en sélectionnant notamment des femmes d’une même famille, mais de différentes générations, que la Dre Davis s’est aperçue que ces dernières ne savaient pas encore quelle était la meilleure approche d’éducation pour leurs enfants.

De plus, un cycle troublant a été noté dans ces manuels de puériculture. La spécialiste a noté que l’approche stricte édictée par Frederick Truby King (1940), selon laquelle le bébé a besoin d’une routine constante, a été délaissée au fil des ans pour revenir dernièrement.

Pour la Dre Davis, personne n’a la science infuse, et cela ne fait que tourmenter les futures mères.

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Travail: de nombreuses femmes ont renoncé ou reporté une grossesse

Le premier baromètre Ipsos-Elle sur les femmes et le travail a été dévoilé le 8 mars, au cours de la journée « Elle active ».  

Ces résultats dressent un portrait peu flatteur de la situation des femmes au travail. Ce sondage révèle en effet que les femmes parviennent mal à concilier vie professionnelle et familiale, rapporte le site Famili.fr.
 
Interviewée par le magazine Elle, Dominique Levy-Saragossi, directrice générale d’Ipsos-marketing, explique que « 20 % des femmes en couple ont déjà reporté voire renoncé à avoir un enfant pour des raisons professionnelles ». Un résultat qui a choqué la directrice.
 
Autre point du sondage à ne pas négliger : « 30 % des femmes de 18 à 34 ans indiquent que l’employeur a abordé la question de leurs projets familiaux durant l’entretien de recrutement ». Ce résultat montre donc que les patrons semblent à l’écoute concernant la maternité. Soulignons toutefois qu’ils n’ont pas le droit d’interroger les futures employées sur ce thème. 
 
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Les femmes ont besoin d’une année pour se remettre d’un accouchement

L’accouchement ne doit pas être pris à la légère. Les mamans qui viennent de donner naissance ont besoin d’une année complète pour retourner à une vie normale, rapporte le site Medicmagic.net.

Une récente étude vient de démontrer que la plupart des femmes mettent beaucoup de temps pour se remettre d’un accouchement. La docteure Julie Wray de l’University of Salford a d’ailleurs souligné qu’un repos de seulement six semaines est une pure fantaisie.
 
Les résultats de l’étude mettent également en avant le fait que les femmes ne sont pas satisfaites des services des docteurs et des infirmières dans les hôpitaux après avoir donné naissance à leur enfant.
 
Les mamans ne seraient pas bien suivies après l’accouchement, et la Dre Wray indique qu’il faudrait davantage de services après les accouchements pour aider les femmes.
 
"Après la naissance de bébé, les mamans peuvent rencontrer des problèmes physiques et psychologiques. Le mal de dos et la fatigue ne sont d’ailleurs pas rares, surtout pour les mères qui recommencent à travailler tout de suite après un accouchement", a expliqué Julie Wray.
 
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Rester assis pendant des heures augmente les risques de diabète

L’American Journal of Preventive Medicine dévoile que les femmes qui demeurent assises sept heures ou plus par jour à leur bureau sont plus susceptibles de développer le diabète de type 2.
 
Étrangement, les chercheurs de l’Université de Leicester, qui ont suivi 505 personnes de plus de 59 ans, n’ont pas obtenu ces résultats sur les hommes. On mentionne que les femmes sont sans doute plus sensibles aux dégâts physiques causés par la sédentarité.
 
Malheureusement, la grande majorité des travailleurs de bureau demeurent de nombreuses heures assis devant leur ordinateur. Nous savions déjà que cela augmentait les risques de développer différentes maladies, dont le cancer du côlon, mais on constate cette fois que pour les femmes, c’est le diabète de type 2 qui les guette.
 
Si cette maladie n’est pas traitée, elle peut conduire à des crises cardiaques, une cécité ou même une amputation.
 
Le surpoids, la sédentarité et la mauvaise alimentation sont d’autres facteurs de risques importants pour le diabète de type 2.
 
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Une légère déshydratation peut affecter l’humeur

Si vous devenez soudainement colérique envers quelqu’un ou que vous avez du mal à penser clairement pour résoudre un problème, essayez de boire de l’eau, car il se pourrait fort bien que vous souffriez d’une légère déshydratation.
 
C’est ce que retient une équipe de chercheurs de l’Université du Connecticut.
 
« La perte de seulement 1,5 % du volume d’eau du corps peut changer l’humeur, surtout chez les femmes, qui sont plus vulnérables aux effets néfastes d’une légère déshydratation », mentionne le chercheur Harris Lieberman au Daily Mail.
 
La déshydratation peut toucher tout le monde, même les personnes qui travaillent devant un ordinateur toute la journée.
 
Chez les femmes, cela peut notamment causer des maux de tête, de la fatigue, de la difficulté à se concentrer et plus.
 
Chez les hommes, la vigilance et la mémoire de travail sont affectées. Ils ressentent aussi de la fatigue, de la tension et de l’anxiété.
 
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Un moyen d’améliorer la vie sexuelle des femmes

Les femmes qui ont le moins de problèmes sexuels sont celles qui utilisent les lubrifiants différemment.
 
Des psychologues canadiens ont interrogé 61 femmes dans la trentaine qui se plaignaient de dyspareunie (douleurs lors de la pénétration) durant leurs relations sexuelles. Ces douleurs étaient superficielles pour 32 femmes, profondes pour 18 et mixtes pour 11 d’entre elles.
 
Les données ont été comparées à un groupe témoin. Dans les deux groupes, les femmes utilisaient en moyenne les lubrifiants à 79 %, mais l’usage n’était pas le même.
 
« Les femmes avec dyspareunie étaient plus susceptibles que les autres d’utiliser un lubrifiant dès le début des préliminaires, alors que les femmes du groupe contrôle le faisaient plus volontiers lorsqu’apparaissaient des douleurs au cours du rapport sexuel », soulignent les auteurs.
 
Ainsi, trop de femmes croient encore que les lubrifiants ne peuvent servir qu’en cas de douleurs.
 
Pourtant, la lubrification naturelle du vagin est inconstante et plusieurs facteurs peuvent l’influencer, comme la santé ou la prise de médicaments. Les rapports prolongés peuvent aussi causer de l’inconfort.
 
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La maternité est nocive pour la carrière scientifique des femmes

Selon une étude de l’Université de Cornell, publiée dans le journal American Scientist, les femmes qui détiennent un diplôme d’études supérieures dans des domaines scientifiques et mathématiques abandonnent des carrières de recherche principalement parce qu’elles désirent avoir des enfants, et non parce qu’elles ne réussissent pas ou sont lésées lors des entrevues d’embauche.

La maternité, et les politiques qui font en sorte qu’elle est incompatible avec une carrière de recherche à long terme, porte atteinte à la vie professionnelle des femmes scientifiques.

Juste le fait de prévoir avoir un bébé un jour a pour résultat que ces femmes abandonnent une carrière de recherche accélérée deux fois plus que les hommes.

« Il est temps pour les universités de cesser de croire que la sous-représentation des femmes dans les sciences est due à des préférences d’embauche et d’évaluation, et de commencer à se rendre compte que c’est le résultat de politiques désuètes créées à une époque où des hommes ayant une femme à la maison géraient l’académie », explique la professeure Wendy Williams, fondatrice du Cornell Institute for Women in Science.

Pour l’étude, les chercheurs ont analysé les données relatives aux carrières universitaires d’hommes et de femmes avec ou sans enfants. Ils ont découvert qu’avant de devenir mères, les femmes avaient une carrière égale ou supérieure à celle des hommes. Elles étaient payées et promues de la même façon que leurs collègues masculins, et étaient même plus susceptibles d’obtenir des entrevues et d’être retenues que les hommes.

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Les femmes et les hommes ne conservent pas les mêmes détails de leurs souvenirs

Une étude québécoise dévoilée par Radio-Canada démontre que les femmes conservent moins de détails que les hommes concernant les souvenirs désagréables et émotionnellement intenses.

Les chercheurs ont d’abord présenté une série d’images à un groupe de personnes. Ces images composaient quatre catégories :

·         Désagréable et intensité peu élevée. Exemple : un bébé qui pleure;
·         Désagréable et intensité élevée. Exemple : une scène explicite de guerre;
·         Agréable et intensité peu élevée. Exemple : un chaton;
·         Agréable et intensité élevée. Exemple : un corps nu.

Ensuite, on a présenté une nouvelle série d’images avec certaines déjà vues et d’autres nouvelles. Les participants devaient identifier celles qui avaient été vues avant et celles qui étaient nouvelles.

La vitesse, le temps de réaction et l’activité cérébrale ont permis aux chercheurs de déterminer les facteurs qui affectent le plus les souvenirs.

Les photographies avec émotions intenses influençaient la capacité des femmes à se souvenir si l’image avait déjà été vue avant. Elles conservaient plus de détails des souvenirs agréables, comparativement aux hommes.

Toutefois, ces derniers se souvenaient mieux d’images émotionnellement intenses, qu’elles soient agréables ou non.

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Les femmes pourraient elles-mêmes faire leur dépistage du VPH

Une étude parue dans le Journal of the National Institute of Cancer donne le feu vert à un ensemble de dépistage maison pour le virus du papillome humain (VPH).
 
L’étude chinoise réalisée avec 13 000 femmes révèle que ces ensembles maison, à base d’acide acétique, sont tout aussi efficaces que le frottis traditionnel des médecins pour déceler le virus. Même qu’ils se seraient montrés meilleurs pour dépister les signes avant-coureurs du cancer du col de l’utérus chez les femmes.
 
Une étude allemande avec un ensemble du même genre en était arrivée aux mêmes conclusions précédemment. Aux Pays-Bas, ces ensembles de dépistage maison sont déjà en vente, et au Royaume-Uni, ils sont toujours à l’étude.
 
Aux États-Unis, il existe un ensemble créé par Qiagen de Gaithersburg, dans le Maryland, qui permet aux femmes de faire le prélèvement elles-mêmes et de l’envoyer à un laboratoire. Ceci permet aussi d’éviter d’attendre pour obtenir un rendez-vous chez le médecin et de désengorger les cliniques.