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Les femmes ressentiraient plus la douleur

Un mythe mentionne que les hommes ressentiraient plus la douleur, mais des scientifiques viennent de démontrer le contraire.
Selon ce que rapporte l’étude publiée dans le Journal of Pain, les femmes seraient plus sensibles à la douleur.
 
Après avoir observé les résultats à la douleur de 72 000 personnes dans 47 cas de problèmes communs de santé, les femmes ont déclaré ressentir la douleur dans 39 cas de plus que les hommes.
 
Les plus grands problèmes étaient dans les troubles articulaires, la digestion, la circulation et la respiration. Les femmes ont aussi déclaré les pires migraines et les plus grandes douleurs au cou.
 
Il existe donc une différence entre les sexes, et les chercheurs mentionnent que les médecins devraient en tenir compte.
 
Toutefois, certains spécialistes affirment que les résultats de cette recherche pourraient être faussés, simplement par le fait que les hommes sont programmés pour ne pas avouer la douleur qu’ils ressentent réellement.
 
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Les femmes célibataires plus à risque de développer un cancer du col de l’utérus

Le Telegraph dévoile un sondage effectué par YouGov pour le Jo’s Cervical Cancer Trust qui mentionne que les femmes âgées célibataires sont plus enclines à avoir un cancer du col de l’utérus, notamment en raison de leurs fausses croyances.
 
Encore trop de femmes croient qu’elles n’ont pas besoin d’examen pour ce type de cancer, car pour elles, il est relié aux partenaires sexuels multiples. En fait, 51 % des femmes de plus de 50 ans ont donné cette réponse. 18 % croyaient que cela était héréditaire.
 
Bien qu’il soit reconnu que le virus du papillome humain favorise l’apparition du cancer du col de l’utérus et que l’on suggère de faire vacciner les jeunes filles, six cancers du col de l’utérus sur dix sont diagnostiqués sur des femmes de plus de 40 ans.
 
Il est donc primordial de rappeler aux femmes l’importance des examens médicaux réguliers.

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Les femmes obèses devraient perdre du poids avant d’avoir un bébé

Comme le taux d’obésité est à la hausse, davantage de femmes tombent enceintes en étant déjà en surpoids. Ces kilos superflus mettent en danger leur santé et celle de leur futur bébé.

The Royal College of Obstetricians and Gynaecologists (RCOG) recommande aux femmes de maigrir avant d’être enceintes et déconseille de faire un régime pendant la grossesse.

L’organisme indique que près de 40 000 femmes sont considérées comme obèses, avec un indice de masse corporelle de 35 ou plus, et accouchent chaque année.

L’obésité augmente notamment le risque de fausse couche, de caillots de sang, de diabète gestationnel et d’hypertension artérielle. Les femmes obèses sont d’ailleurs plus susceptibles d’avoir besoin d’une césarienne d’urgence.

Les risques pour le bébé sont également importants. Les petits peuvent souffrir d’obésité et de diabète plus tard dans leur vie.

Le RCOG explique qu’en mangeant équilibré pendant la grossesse, on peut même perdre une petite quantité de poids.

Soulignons qu’il n’est pas nécessaire de manger pour deux. Les femmes enceintes n’ont pas besoin de calories supplémentaires avant le troisième trimestre. Un supplément de 200 calories par jour, l’équivalent de deux morceaux de pain grillé, est suffisant.

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Travailler à temps partiel rend les mamans heureuses

Pendant 10 ans, 1364 femmes et mères ont été suivies par des chercheurs. Ces derniers ont conclu que les mères qui travaillent, à temps plein ou partiel, font preuve d’une meilleure santé physique et d’un meilleur bien-être que celles qui restent à la maison. Le risque de souffrir d’une dépression serait moindre également.

Certaines diront que rester à la maison pour élever sa famille ne peut avoir que des bienfaits pour l’éducation et le suivi scolaire des petits. Cependant, selon cette étude, les mères qui travaillent à temps partiel réussissent tout autant que ces dernières à s’investir auprès de leurs enfants. Le point qui avantage les professionnelles est qu’elles seraient plus aptes à offrir des occasions d’apprentissage à leurs gamins.

En résumé, les chercheurs disent que si l’on tient compte uniquement du bien-être de la mère, il est mieux que celle-ci sorte de la maison pour travailler. Pour ce qui est du bien-être de la famille, puisqu’il n’y a pas de différence entre femmes au foyer et professionnelles au sujet de l’éducation, il serait mieux de valoriser un emploi à temps partiel pour équilibrer le tout et faire le bonheur de tous!

Les détails de cette étude se retrouvent dans le dernier numéro du Journal of Family Psychology.

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Les plats préparés favorisent l’apparition du diabète

Il ne suffit que de deux plats préparés par semaine pour augmenter les risques de souffrir du diabète de type 2, souligne une étude publiée dans l’European Journal of Clinical Nutrition.
 
La recherche, effectuée sur 1896 personnes âgées de 26 à 36 ans, démontre que 40 % des hommes et 20 % des femmes mangent au moins deux plats préparés par semaine.
 
Les jeunes adultes sont ainsi plus susceptibles de développer des problèmes comme le diabète et des maladies cardiaques. En effet, les jeunes professionnels sont souvent trop occupés pour cuisiner eux-mêmes.
 
Les femmes sont également plus vulnérables que les hommes. On note que la gent féminine avait des taux de sucre sanguin et d’insuline plus élevés que les hommes lorsqu’elle consommait régulièrement des plats préparés.
 
Quatre-vingt-dix pour cent des cas de diabète sont liés à une mauvaise alimentation et à un mauvais mode de vie. Le diabète le type 2 est reconnu pour augmenter les risques de crises cardiaques, de cécité et d’amputation.
 
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Fumer affecte la poitrine

Le chirurgien plasticien Anthony Youn affirme que les femmes qui fument et qui ont un déridage de la poitrine risquent fort bien de se retrouver avec un affaissement de leurs mamelons. Il se produit la même chose avec une réduction mammaire, ou encore elles auront des mamelons violets.
 
La cause est sans doute liée à l’exposition au monoxyde de carbone de la nicotine, qui nuit à la circulation sanguine vers les différentes parties du corps. Cela interfère donc avec la guérison après la chirurgie.
 
Même après une liposuccion, si vous fumez, vous risquez d’avoir une cicatrice plus prononcée, et la guérison s’étendra sur plusieurs mois.
 
On sait également que les toxines de la cigarette tuent les cellules du corps en empêchant le flux sanguin vers elles, ce qui entraîne des mamelons violets. Dans certains cas, les médecins sont obligés d’avoir recours à des sangsues pour aspirer le mauvais sang afin de redonner une couleur normale.
 
Les experts ne le répèteront jamais assez, il est toujours préférable de ne pas fumer pour le bien de votre santé générale.
 
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Fumer affecte la poitrine

Le chirurgien plasticien Anthony Youn affirme que les femmes qui fument et qui ont un déridage de la poitrine risquent fort bien de se retrouver avec un affaissement de leurs mamelons. Il se produit la même chose avec une réduction mammaire, ou encore elles auront des mamelons violets.
 
La cause est sans doute liée à l’exposition au monoxyde de carbone de la nicotine, qui nuit à la circulation sanguine vers les différentes parties du corps. Cela interfère donc avec la guérison après la chirurgie.
 
Même après une liposuccion, si vous fumez, vous risquez d’avoir une cicatrice plus prononcée, et la guérison s’étendra sur plusieurs mois.
 
On sait également que les toxines de la cigarette tuent les cellules du corps en empêchant le flux sanguin vers elles, ce qui entraîne des mamelons violets. Dans certains cas, les médecins sont obligés d’avoir recours à des sangsues pour aspirer le mauvais sang afin de redonner une couleur normale.
 
Les experts ne le répèteront jamais assez, il est toujours préférable de ne pas fumer pour le bien de votre santé générale.
 
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Les problèmes de sommeil liés à la fibromyalgie

Les problèmes de sommeil seraient liés à un risque accru de fibromyalgie. De plus, les risques augmentent avec la sévérité du problème.
 
La fibromyalgie touche en particulier les femmes, qui représentent 90 % des cas.
 
12 350 femmes de plus de vingt ans ont été suivies pendant 10 ans. Au départ, aucune n’avait de douleurs musculo-squelettiques ou de troubles de mouvement qui caractérisent la pathologie.
 
Au terme de l’étude, 2,6 % des femmes ont développé la maladie. Chez les 20 à 44 ans, elles étaient 2,98 % à souffrir de fibromyalgie. Chez les plus de 45 ans, 5,41 % étaient touchées, et elles représentaient celles qui s’étaient plaintes le plus de troubles de sommeil.
 
Bien que l’insomnie et la fatigue soient des symptômes dont souffrent les patients atteints de fibromyalgie, la revue Artritis & Rheumatism rapporte que les chercheurs ont également observé que ces symptômes accentuaient les risques de développer la maladie.

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Les antécédents familiaux de cancer du sein et l’alcool ne font pas bon ménage

Il y a quelques jours, on apprenait que même une consommation modérée d’alcool favorisait le développement du cancer du sein.
 
Cette fois, le Daily Mail rapporte que les risques sont encore plus importants chez les femmes ayant des antécédents familiaux.
 
Les femmes dont certains membres de leur famille ont eu un cancer du sein sont deux fois plus susceptibles de développer une tumeur bénigne si elles consomment de l’alcool.
 
En réduisant leur consommation, elles réduisent du même coup les risques d’être malades.
 
L’équipe de la Harvard Medical School a suivi 7000 jeunes filles âgées de 9 à 15 ans, de 1996 à 2007. Dix-sept pour cent d’entre elles avaient une mère, une tante ou une grand-mère ayant un cancer du sein, et un peu plus avaient une mère ayant eu une tumeur bénigne.
 
Parmi les femmes qui buvaient le plus, soit environ un verre par jour à 22 ans, 3,1 % avaient développé une tumeur bénigne, alors qu’elles n’étaient que 1,3 % chez celles qui ne consommaient pas d’alcool.
 
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C’est prouvé : les hommes n’écoutent pas les femmes

C’est maintenant prouvé scientifiquement par une équipe de l’Université de Sheffield au Royaume-Uni, les hommes n’écoutent pas les femmes.
 
En réalité, ce n’est pas par mauvaise volonté et ce n’est pas la faute des hommes; ils en sont tout simplement incapables.
 
En observant l’activité cérébrale de 12 hommes pendant qu’ils écoutaient des voix masculines ou féminines, les chercheurs ont découvert que le cerveau des hommes avait réellement du mal à décoder les voix féminines.
 
En fait, les voix des femmes étant plus aiguës et musicales, le cerveau masculin a du mal à les saisir correctement. Du coup, cela demande plus d’activité cérébrale, ce qui explique pourquoi les hommes éprouvent alors de la fatigue lorsqu’ils écoutent, ou plutôt tentent d’écouter les femmes.
 
Alors, lorsque vous aurez l’impression que votre chéri ne vous écoute pas, sachez qu’il essaie, mais qu’il n’y arrivera peut-être pas!