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Le quart des femmes obèses se croient minces

Une étude américaine publiée dans le journal Obstetrics & Gynecology démontre que le quart des femmes en surpoids se croient en bonne santé.
 
Pour l’étude, on a questionné 2 000 femmes sur leur taille, leurs habitudes alimentaires et leurs exercices physiques, en plus de prendre leurs mesures. Nombreuses sont les femmes qui ignoraient si elles avaient un poids santé ou non.
En fait, 25 % des femmes en surpoids ne se percevaient pas ainsi, alors que 16 % des femmes avec un poids normal avaient également une mauvaise perception d’elle-même. La plupart se croyaient trop grosses et étaient donc deux fois plus susceptibles de sauter des repas.
 
Selon les chercheurs, l’obésité est devenue tellement présente dans notre société que l’image du poids santé est maintenant perdue. Cela a de graves conséquences sur la prévention de l’obésité. Comme plusieurs croient avoir un poids santé, elles ne suivent aucun programme de remise en forme et mettent ainsi leur santé en péril.
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Les femmes avec un travail stressant ont plus de chances de subir un infarctus

Des chercheurs du Brigham and Women’s Hospital ont suivi 17 415 femmes pendant dix ans pour mesurer les effets du stress sur la santé de ces dernières.
 
Les femmes qui étaient les plus stressées dans leur travail avaient 40 % plus de risques de faire une crise cardiaque ou cérébrale ou d’avoir une artère bloquée. Toutefois, si elles effectuent en plus un travail peu satisfaisant, ce risque grimpe à 88 % pour un infarctus. Elles se retrouvent également avec 43 % plus de chances de subir un pontage coronarien ou d’autres chirurgies cardiaques.
 
Les chercheurs ont constaté que plus le stress est grand et plus les risques sont élevés.
 
Les résultats de ces travaux ont été présentés le week-end dernier à Chicago lors que la rencontre annuelle de l’American Heart Association.
 
On a également affirmé que l’insécurité des emplois faisait augmenter l’hypertension, le taux de mauvais cholestérol et l’excès de poids, des facteurs de risque importants pour des problèmes cardiovasculaires.
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Les femmes ne peuvent se passer de cosmétiques

C’est bien connu, les hommes doivent souvent attendre leur douce moitié pendant qu’elles se font une beauté devant le miroir.

Aujourd’hui (27 octobre), Mail Online rapporte que des chercheurs ont établi que les femmes passent jusqu’à cinq jours par année devant le miroir.

Dans cette étude, on a également découvert que les femmes britanniques utilisent assez de rouge à lèvres, chaque jour, pour dessiner une ligne de Londres à New York.

De plus, les femmes utilisent en moyenne 4 000 litres de fond de teint et effectuent plus de 16 millions de coups de brosse à mascara.

Dans le même ordre d’idée, près de 40 % des femmes affirment qu’elles ne pourraient envisager de quitter la maison sans maquillage, alors que 19 % confient qu’elle préfère couper dans leur budget de nourriture que dans celui des produits de beauté.

Le maquillage est devenu partie intégrante de la vie des femmes, alors qu’une sur quatre affirme que les cosmétiques sont un bien essentiel plutôt qu’un luxe.

C’est la chaîne télévisée QVC Beauty qui a effectué ce sondage auprès de 1 000 femmes. La directrice des achats de la chaîne, Kate James, déclare : « La beauté est un marché qui passionne profondément la femme moderne. »

James ajoute que les produits de beauté ont le pouvoir de faire en sorte que les gens se sentent bien dans leur peau.

Soulignons que les femmes dépensent en moyenne plus de 1 000 $ US par année pour des produits de beauté. Durant toute leur vie, elles en dépenseront plus de 68 000 $ US.

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Les femmes ne peuvent se passer de cosmétiques

C’est bien connu, les hommes doivent souvent attendre leur douce moitié pendant qu’elles se font une beauté devant le miroir.

Aujourd’hui (27 octobre), Mail Online rapporte que des chercheurs ont établi que les femmes passent jusqu’à cinq jours par année devant le miroir.

Dans cette étude, on a également découvert que les femmes britanniques utilisent assez de rouge à lèvres, chaque jour, pour dessiner une ligne de Londres à New York.

De plus, les femmes utilisent en moyenne 4 000 litres de fond de teint et effectuent plus de 16 millions de coups de brosse à mascara.

Dans le même ordre d’idée, près de 40 % des femmes affirment qu’elles ne pourraient envisager de quitter la maison sans maquillage, alors que 19 % confient qu’elle préfère couper dans leur budget de nourriture que dans celui des produits de beauté.

Le maquillage est devenu partie intégrante de la vie des femmes, alors qu’une sur quatre affirme que les cosmétiques sont un bien essentiel plutôt qu’un luxe.

C’est la chaîne télévisée QVC Beauty qui a effectué ce sondage auprès de 1 000 femmes. La directrice des achats de la chaîne, Kate James, déclare : « La beauté est un marché qui passionne profondément la femme moderne. »

James ajoute que les produits de beauté ont le pouvoir de faire en sorte que les gens se sentent bien dans leur peau.

Soulignons que les femmes dépensent en moyenne plus de 1 000 $ US par année pour des produits de beauté. Durant toute leur vie, elles en dépenseront plus de 68 000 $ US.

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Les femmes qui restent longtemps assises ont plus de risques d’avoir le cancer de l’endomètre

Le British Journal of Cancer publie les résultats d’une analyse regroupant 14 études sur le cancer de l’endomètre. Trois se sont attardées sur un lien possible entre la sédentarité et la maladie qui touche les femmes.
 
Les femmes actives auraient moins de chances de développer ce cancer, à condition qu’elles demeurent assises moins de quatre heures par jour. Dans ce cas, les risques sont diminués de 34 %.
 
Même celles qui pratiquent des activités physiques au moins trois fois par semaine ne peuvent effacer les méfaits de la position assise. Les chercheurs affirment par contre que 22 % des cancers auraient pu être évités si les femmes avaient été actives au moins 20 minutes par jour.
 
Par contre, on ne souhaite pas alarmer les femmes. Les experts ajoutent que les preuves ne sont pas encore assez probantes pour déterminer avec certitude un lien entre l’activité physique et un risque moindre du cancer de l’endomètre.
 
Pour le moment, nous savons que différents facteurs favorisent son apparition, dont l’hormonothérapie et un surplus d’œstrogène.
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Les femmes qui prennent la pilule contraceptive sont plus jalouses

Prise par environ 3,5 millions de femmes de 16 à 49 ans, la pilule contraceptive serait responsable du fait que les femmes s’inquiètent plus de la fidélité de leur conjoint.
 
L’étude menée par le Dr Craig Roberts de l’Université de Stirling, en Écosse, démontre que certaines hormones des médicaments influencent grandement les émotions des femmes.
 
Selon le journal Personnality and Individual Differences, les femmes qui prennent les marques de pilules contraceptives contenant un haut niveau d’œstrogène deviennent plus jalouses et possessives, au point même de mettre leur relation en péril, affirment les chercheurs.
 
Après avoir interrogé 275 femmes sur leurs sentiments et la confiance qu’elles accordent à leur partenaire dans certaines circonstances, on a constaté que le haut niveau d’œstrogène des médicaments avait un impact majeur sur les émotions des femmes, comparativement aux pilules avec plus de progestérone.
 
« Il semble que les femmes, et peut-être les fournisseurs de produits pharmaceutiques, ne sont pas pleinement conscientes de l’éventail des effets secondaires psychologiques possibles associés à la pilule et particulièrement au choix de la marque », affirme le Dr Roberts.
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Les hommes sont avantagés par leur sueur

Le journal Experimental Physiology rapporte les résultats d’une étude qui a comparé la sueur des hommes et des femmes.
 
Apparemment, la gent masculine serait avantagée par la sueur. Non seulement les hommes transpirent plus, mais ils le font aussi « mieux » que les femmes.
 
Les chercheurs ont comparé deux groupes d’hommes et deux groupes de femmes en forme et sans entraînement.
 
Les hommes en forme avaient une plus grande activité sudorale et, en général, les hommes tirent plus d’avantages que les femmes à l’entraînement. Aussi, plus l’activité est intense et plus la différence entre les deux sexes s’agrandit.
 
La sueur est nécessaire au corps humain, car elle le refroidit et l’empêche de surchauffer. Lorsque le corps est en forme, celui-ci n’a pas besoin d’augmenter sa chaleur pour suer.
 
Les hommes ont donc un avantage sur les femmes et les chercheurs croient que c’est la testostérone qui influencerait ce phénomène.
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Les effets préventifs d’une tasse de café

Selon une étude parue dans le Metabolism Journal, des chercheurs ont avancé qu’une complication potentiellement mortelle à laquelle sont sujettes certaines femmes à la suite de traitements de fécondation in vitro (FIV) pourrait ne pas se présenter chez celles qui boivent du café.

Autour de 5 à 10 % des femmes qui se soumettent à la fécondation in vitro doivent ensuite faire face au syndrome d’hyperstimulation ovarienne (HSO) et on aurait maintenant identifié une cause possible à cela.

Des scientifiques de la Middlesex University et de la Barts and The London School of Medicine and Dentistry ont analysé le liquide présent autour de l’ovule et ont annoncé qu’il s’y trouvait des niveaux étonnamment élevés d’adénosine chimique.

Ils croient que la HSO se produit quand la stimulation des médicaments de la FIV crée des niveaux élevés d’adénosine, ce qui entraîne la dilatation des vaisseaux sanguins et l’infiltration du sang dans les tissus.

Toutefois, boire une tasse de café fort lors de chaque cycle de fécondation in vitro réduirait les possibilités que survienne une hyperstimulation ovarienne.

Les chercheurs ont mentionné qu’une des solutions pourrait être dans la caféine, car elle est en concurrence avec l’adénosine pour les mêmes récepteurs et bloque donc son action.

D’autres recherches sont en cours avec des patientes qui ont eu recours à la fécondation in vitro et qui ont souffert de la HSO afin de vérifier si la caféine permet vraiment d’éviter cette complication.

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Les effets préventifs d’une tasse de café

Selon une étude parue dans le Metabolism Journal, des chercheurs ont avancé qu’une complication potentiellement mortelle à laquelle sont sujettes certaines femmes à la suite de traitements de fécondation in vitro (FIV) pourrait ne pas se présenter chez celles qui boivent du café.

Autour de 5 à 10 % des femmes qui se soumettent à la fécondation in vitro doivent ensuite faire face au syndrome d’hyperstimulation ovarienne (HSO) et on aurait maintenant identifié une cause possible à cela.

Des scientifiques de la Middlesex University et de la Barts and The London School of Medicine and Dentistry ont analysé le liquide présent autour de l’ovule et ont annoncé qu’il s’y trouvait des niveaux étonnamment élevés d’adénosine chimique.

Ils croient que la HSO se produit quand la stimulation des médicaments de la FIV crée des niveaux élevés d’adénosine, ce qui entraîne la dilatation des vaisseaux sanguins et l’infiltration du sang dans les tissus.

Toutefois, boire une tasse de café fort lors de chaque cycle de fécondation in vitro réduirait les possibilités que survienne une hyperstimulation ovarienne.

Les chercheurs ont mentionné qu’une des solutions pourrait être dans la caféine, car elle est en concurrence avec l’adénosine pour les mêmes récepteurs et bloque donc son action.

D’autres recherches sont en cours avec des patientes qui ont eu recours à la fécondation in vitro et qui ont souffert de la HSO afin de vérifier si la caféine permet vraiment d’éviter cette complication.

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Les femmes pourraient enfanter jusqu’à 60 ans

Des chercheurs égyptiens auraient mis au point une technique qui pourrait révolutionner le monde de la maternité
 
Le site spécialisé 7sur7.be rapporte que le professeur Azmy Oussama a présenté les résultats de ses travaux au dernier Congrès mondial sur la fécondité et la stérilité qui s’est tenu à Munich.
 
Cette nouvelle méthode permettrait aux femmes d’avoir un enfant jusqu’à l’âge de 50 et même 60 ans.
 
Jusqu’ici, la technique n’a été testée que sur des animaux. Elle consiste à injecter des cellules souches dans les ovaires, ce qui relancerait la production d’ovules.
 
Par contre, la méthode soulève un débat en ce moment dans le milieu scientifique et médical. Les cellules souches nécessaires aux injections doivent être prélevées sur des embryons qui ont été avortés ou encore sur ceux cultivés en laboratoire. Ceci est loin de faire l’unanimité.