Étiquette : femmes

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Les ovaires artificiels sèment l’espoir

Des scientifiques sont parvenus à créer les premiers ovaires artificiels qui fonctionnent. Cette découverte pourrait donc venir en aide aux femmes qui sont devenues stériles en raison de la chimiothérapie ou d’autres traitements qui ont endommagé leur système reproducteur.
 
Selon le Journal of Assisted Reproduction and Genetics, les ovaires ont été cultivés en laboratoire et créés à partir de tissus de femmes en âge de procréer.
 
Ensuite, les chercheurs y ont inséré des « œufs » pour voir si les ovaires aideraient à leur développement et, en effet, les ovaires artificiels traitent ces ovules naturellement et les aident à se développer pour ensuite les libérer dans l’utérus.
 
Les femmes qui s’apprêtent à suivre des traitements comme de la chimiothérapie et qui souhaitent avoir des enfants pourraient ainsi congeler des ovules matures qui seraient ensuite implantés dans les ovaires artificiels.
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Les antibiotiques doivent désormais être pris avant une césarienne

Après de nombreuses études sur le sujet, les médecins américains recommandent maintenant que les femmes qui doivent accoucher par césarienne prennent leurs antibiotiques avant l’opération et non plus après comme c’était le cas jusqu’ici.
 
Des études ont démontré que la prise de médicaments avant l’accouchement réduisait considérablement les risques d’infections chez la mère et que cela n’était aucunement dangereux pour l’enfant à naître.
 
Selon le Collège américain des obstétriciens et gynécologues, 10 à 40 % des femmes qui subissent une césarienne développent une infection contre seulement 3 % chez celles qui accouchent par voies naturelles.
 
La pratique des césariennes demeure une méthode contestée par plusieurs qui affirment qu’elles ne devraient être exécutées qu’en dernier recours en raison des risques supplémentaires qu’elles comportent. Outre les infections, il y a aussi un risque d’embolie avec une césarienne.
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Les femmes ont moins de chances de tomber enceintes, si elles sont stressées

Des chercheurs britanniques viennent de démontrer pour la première fois qu’il existe bel et bien un lien entre un niveau élevé de stress et la difficulté de concevoir un enfant.

Selon les travaux de la Dre Cecilia Pyper et son équipe de l’Université d’Oxford, parmi les 300 femmes qui ont participé à la recherche, on a constaté que celles qui avaient un taux élevé d’adrénaline avaient 12 % moins de chances de tomber enceintes, rapporte le journal Fertility and Sterility.

On recommande donc aux couples qui tentent d’avoir un enfant de pratiquer des techniques de relaxation, ce qui pourrait grandement les aider.

Rappelons que d’autres facteurs peuvent également réduire les chances de concevoir un enfant, comme l’âge, un surpoids, la consommation d’alcool et le tabac. Toutefois, ce sont tous des facteurs qui peuvent être modifiés, avec un peu de volonté.

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Les femmes ont moins de chances de tomber enceintes, si elles sont stressées

Des chercheurs britanniques viennent de démontrer pour la première fois qu’il existe bel et bien un lien entre un niveau élevé de stress et la difficulté de concevoir un enfant.

Selon les travaux de la Dre Cecilia Pyper et son équipe de l’Université d’Oxford, parmi les 300 femmes qui ont participé à la recherche, on a constaté que celles qui avaient un taux élevé d’adrénaline avaient 12 % moins de chances de tomber enceintes, rapporte le journal Fertility and Sterility.

On recommande donc aux couples qui tentent d’avoir un enfant de pratiquer des techniques de relaxation, ce qui pourrait grandement les aider.

Rappelons que d’autres facteurs peuvent également réduire les chances de concevoir un enfant, comme l’âge, un surpoids, la consommation d’alcool et le tabac. Toutefois, ce sont tous des facteurs qui peuvent être modifiés, avec un peu de volonté.

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Les femmes sont effectivement meilleures pour exécuter plusieurs tâches

Depuis très longtemps, on rigole avec le fait que les hommes seraient incapables d’effectuer plus d’une chose à la fois. Jusqu’ici toutefois, aucune étude ne s’était réellement penchée sur cette croyance populaire.
 
Le Telegraph mentionne que des psychologues viennent de prouver que les femmes étaient effectivement plus douées dans les multitâches.
 
Les femmes sont capables de réfléchir à un problème tout en continuant d’effectuer d’autres tâches. Selon les résultats de l’étude, elles sont plus en mesure de prendre du recul et de réfléchir tout en faisant autre chose.
 
On a demandé à 50 hommes et 50 femmes d’accomplir trois tâches en huit minutes. Ils devaient trouver une solution à un problème mathématique, trouver un restaurant sur une carte et élaborer une stratégie pour trouver des clés perdues dans un champ imaginaire. De plus, les participants ont reçu un appel téléphonique auquel ils étaient libres de répondre. S’ils répondaient, ils avaient un test de connaissances générales supplémentaire tout en continuant les trois autres tâches.
 
On constate qu’effectivement, les femmes ont été plus aptes à exécuter les quatre tâches en même temps, comparativement aux hommes qui ont surtout échoué dans la stratégie pour trouver les clés perdues.
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Les femmes sont effectivement meilleures pour exécuter plusieurs tâches

Depuis très longtemps, on rigole avec le fait que les hommes seraient incapables d’effectuer plus d’une chose à la fois. Jusqu’ici toutefois, aucune étude ne s’était réellement penchée sur cette croyance populaire.
 
Le Telegraph mentionne que des psychologues viennent de prouver que les femmes étaient effectivement plus douées dans les multitâches.
 
Les femmes sont capables de réfléchir à un problème tout en continuant d’effectuer d’autres tâches. Selon les résultats de l’étude, elles sont plus en mesure de prendre du recul et de réfléchir tout en faisant autre chose.
 
On a demandé à 50 hommes et 50 femmes d’accomplir trois tâches en huit minutes. Ils devaient trouver une solution à un problème mathématique, trouver un restaurant sur une carte et élaborer une stratégie pour trouver des clés perdues dans un champ imaginaire. De plus, les participants ont reçu un appel téléphonique auquel ils étaient libres de répondre. S’ils répondaient, ils avaient un test de connaissances générales supplémentaire tout en continuant les trois autres tâches.
 
On constate qu’effectivement, les femmes ont été plus aptes à exécuter les quatre tâches en même temps, comparativement aux hommes qui ont surtout échoué dans la stratégie pour trouver les clés perdues.
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Les femmes cougar ne sont pas un mythe

Ce n’est pas un mythe, les femmes dans la trentaine et la quarantaine ont plus de fantasmes et d’énergie sexuels et se tournent souvent vers des hommes plus jeunes, mentionne le Journal Peronality and Individual Differences.

Selon une étude, ces femmes que l’on surnomme « cougar » existent bel et bien. Seulement dans le show-business, Eva Longoria est mariée à Tony Parker, un joueur de basketball de sept ans son cadet. Même chose pour la Pussycat Doll Nicole Scherzinger qui fréquente le pilote de Formule 1 Lewis Hamilton qui a aussi sept de moins qu’elle.

Les psychologues de l’Université du Texas à Austin expliquent que le phénomène serait dû au fait qu’à partir de la trentaine, les femmes ressentent le tic-tac de leur horloge biologique, ce qui influence leur comportement d’accouplement.

De plus, après avoir interrogé 900 femmes sur leurs attitudes envers le sexe, on note que celles-ci seraient meilleures entre 27 et 45 ans, mais que c’est surtout à la fin de la trentaine que les femmes ont le plus de plaisir.

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Être actif à l’adolescence est le plus important

Les femmes qui sont physiquement actives tout au cours de leur vie ont moins de chances de développer des déficiences cognitives, surtout si elles étaient actives durant leur adolescence, mentionnent des chercheurs canadiens dans leur étude publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society.
 
Les chercheurs ont comparé le niveau d’activité physique de 9 344 femmes à l’adolescence, à 30 ans, à 50 ans et en fin de vie. 15,5 % des femmes étaient inactives lorsqu’elles étaient adolescentes, alors qu’elles étaient 29,7 % à ne pas bouger à 30 ans, 28,1 % à 50 ans et 21,1 % en fin de vie.
 
Finalement, les experts ont démontré que le risque de déficience cognitive chez les femmes inactives se situait entre 50 et 100 %.
 
Ils ont également observé que les performances cognitives étaient meilleures si les femmes bougeaient durant leur adolescence.
 
La Dre Laura Middleton du Sunnybrook Health Sciences Centre au Canada explique : « Notre étude montre que les femmes qui pratiquent une activité physique régulière, quel que soit l’âge, ont moins de chances de développer un jour des troubles cognitifs que les femmes inactives, mais la pratique d’une activité physique à l’adolescence est encore plus importante pour la prévention de la déficience cognitive ».
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Les femmes sont meilleures que les hommes pour reconnaître des visages

Une étude britannique faite sur 120 personnes démontre que les femmes obtiennent 5 % plus de succès à reconnaître des visages que les hommes.
 
Chaque participant devait mémoriser des visages présentés pendant 20 secondes. Ensuite, il devait les identifier correctement, mais les visages avaient été intercalés à des dizaines d’autres et en plus, on avait supprimé les oreilles, les cheveux et les imperfections évidentes.
 
Les femmes ont obtenu de meilleurs résultats. Du côté des hommes, on note que les homosexuels et les gauchers ont mieux fait que leurs compatriotes. On explique le tout par le fait que les femmes et les homosexuels sont plus intéressés par l’expression du visage et portent donc plus attention.
 
Les chercheurs ajoutent également que les femmes auraient une meilleure programmation génétique pour reconnaître les visages, car elles ont besoin de reconnaître les besoins de leurs enfants.
 
De plus, il existe une condition médicale, appelée la prosopagnosie, qui se caractérise par le fait que la personne atteinte est incapable de reconnaître les visages, même ceux de ses proches et ceux à qui elle vient juste de parler notamment.
 
On estime que 1,5 million de Britanniques sont atteints d’une forme de prosopagnosie et certains ignorent qu’ils sont malades. Ils se fient à d’autres indices comme les lunettes, les vêtements, la voix et les manières.
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De plus en plus de femmes font congeler leurs ovules

Trouver le bon partenaire avec lequel on voudra fonder une famille n’est pas une chose aisée. Sentant leur horloge biologique sonner l’alarme, de plus en plus de femmes décident de congeler leurs ovules en attendant de trouver le bon conjoint, déclarent des médecins britanniques au Daily Mail.
 
Autrefois, cette technique de congélation était surtout populaire pour les femmes ayant un cancer qui, avant de recevoir des traitements de chimiothérapie, faisaient congeler leurs ovules dans l’espoir de pouvoir tomber enceinte plus tard. Maintenant, la congélation est aussi populaire chez les femmes en bonne santé.
 
La majorité de celles qui choisissent cette méthode a dans la fin trentaine ou début quarantaine. Contrairement à la croyance populaire, ce ne sont pas des carriéristes, elles sont seulement malchanceuses en amour.
En faisant congeler leurs ovules, elles s’accordent du temps pour trouver le bon partenaire. Elles auront recours à ceux-ci en dernier ressort, après avoir tenté de concevoir un enfant naturellement, mais elles se donnent donc une chance de plus.
 
Les médecins rappellent par contre que la congélation des ovules ne garantit pas la maternité, surtout que déjà à la fin de la trentaine, la qualité des ovules des femmes a déjà décliné.