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De plus en plus de femmes font congeler leurs ovules

Trouver le bon partenaire avec lequel on voudra fonder une famille n’est pas une chose aisée. Sentant leur horloge biologique sonner l’alarme, de plus en plus de femmes décident de congeler leurs ovules en attendant de trouver le bon conjoint, déclarent des médecins britanniques au Daily Mail.
 
Autrefois, cette technique de congélation était surtout populaire pour les femmes ayant un cancer qui, avant de recevoir des traitements de chimiothérapie, faisaient congeler leurs ovules dans l’espoir de pouvoir tomber enceinte plus tard. Maintenant, la congélation est aussi populaire chez les femmes en bonne santé.
 
La majorité de celles qui choisissent cette méthode a dans la fin trentaine ou début quarantaine. Contrairement à la croyance populaire, ce ne sont pas des carriéristes, elles sont seulement malchanceuses en amour.
En faisant congeler leurs ovules, elles s’accordent du temps pour trouver le bon partenaire. Elles auront recours à ceux-ci en dernier ressort, après avoir tenté de concevoir un enfant naturellement, mais elles se donnent donc une chance de plus.
 
Les médecins rappellent par contre que la congélation des ovules ne garantit pas la maternité, surtout que déjà à la fin de la trentaine, la qualité des ovules des femmes a déjà décliné.
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Le Viagra pour femmes est un échec

La Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis conclut que le premier Viagra pour femmes du laboratoire allemand Boehringer Ingelhein est un échec.
 
Le laboratoire espère commercialiser la pilule rose aux États-Unis, mais ses espoirs semblent maintenant compromis, quoique le comité consultatif doit rendre sa décision demain (18 juin) seulement.
 
Après deux essais cliniques, la FDA mentionne que le flibanserin ne donne pas de résultats significatifs quant à l’augmentation du désir sexuel chez les femmes, et ce, même si les participantes qui en ont pris ont déclaré avoir eu des relations sexuelles légèrement plus satisfaisantes que les femmes ayant reçu un placebo.
 
Le flibanserin agit au niveau de la sérotonine, une molécule qui affecte l’humeur. La FDA a pourtant noté une augmentation des effets secondaires avec la prise de ce médicament, alors qu’on parle de plus de dépressions et d’étourdissements.
 
Ce Viagra devait s’adresser à des femmes préménopausées en manque de désir sexuel.
 
Rappelons que le Viagra pour hommes est offert depuis dix ans et a fait des milliers d’heureux à travers le monde.
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Pourquoi les femmes se voient-elles plus grosses qu’elles ne le sont?

Le cerveau des femmes donne une fausse image corporelle et la majorité d’entre elles se voit deux tiers plus larges qu’elles ne le sont en réalité.
 
Des chercheurs de l’University College de Londres ont voulu comprendre le phénomène afin de mieux expliquer les troubles alimentaires comme l’anorexie.
 
Dans une salle de miroirs, on a demandé aux participants de décrire leur main qu’ils voyaient dans la glace. La majorité ont dit que leur main était deux tiers plus large qu’elle ne l’était et un tiers plus courte que la mesure réelle, rapporte les Proceedings of the National Academy of Sciences.
 
Cette perception de la main laisse croire que cela se produit également pour d’autres parties du corps. Cette distorsion est beaucoup plus marquée chez les femmes qui sont plus sensibles à leur apparence.
 
Il reste que l’image corporelle est souvent mal perçue aussi si une femme a été plus grosse par le passé. Les kilos perdus ne disparaissent jamais de leur tête, surtout si elles ont perdu beaucoup de poids rapidement.
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Les hommes souffrent plus d’une relation difficile

Les résultats de cette nouvelle étude ont même choqué le professeur Robin Simon, à la tête de la recherche. Les hommes sont plus affectés que les femmes par les relations amoureuses difficiles, ce qui rejette toutes les idées voulant que les femmes soient plus vulnérables dans les relations.
 
Les difficultés d’une relation affectent plus la santé mentale des jeunes hommes. L’étude démontre que les femmes sont plus susceptibles de démontrer leur dépression à leurs amis, alors que les hommes gardent leurs sentiments, ce qui a des effets négatifs sur leur santé et les incite parfois à consommer de l’alcool.
 
Les jeunes hommes seraient plus réactifs face à la qualité d’une relation amoureuse sérieuse. Non seulement la santé mentale de ces derniers est affectée par le stress d’une relation houleuse,  ils sont également ceux qui retirent le plus de bénéfices émotionnels lorsque tout va bien. Cela rejette une autre image, celle de l’homme stoïque qui n’est pas affecté par ce qui se passe au sein de sa relation.
 
Certains spécialistes disent que les hommes ont peu de gens en qui ils ont confiance en dehors de leur compagne, ce qui expliquerait peut-être pourquoi cela est plus difficile à vivre pour eux et qu’ils se renferment sur eux-mêmes.
 
L’étude démontre que les jeunes hommes sont plus touchés par la qualité de leur relation actuelle, mais les jeunes femmes sont plus affectées émotionnellement par le fait d’être en relation ou non.
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Plus de femmes meurent du cancer du poumon

Le cancer du poumon atteint de plus en plus les femmes. Les risques de décès ont été multipliés par quatre pour les femmes de 35 à 44 ans entre 1984 et 1999. Pourtant, chez les hommes, le risque de décès pour ce cancer a été réduit de moitié pour le même groupe d’âge.
 
« Ces variations résultent respectivement de la diminution du nombre moyen de cigarettes fumées chez les hommes de 15 à 44 ans au cours des 10 dernières années et de son augmentation chez les femmes », mentionnent les auteurs de l’étude publiée dans le Bulletin épidémiologique.
 
En 1980, les hommes consommaient en moyenne neuf cigarettes par jour et les femmes en fumaient 3,5 en 1991. Ce sont les sommets enregistrés.
 
Le taux de mortalité a atteint son plus haut niveau chez les hommes en 1993, mais il a considérablement reculé depuis, alors que chez les femmes, il ne cesse de croître.
 
Bien qu’il existe d’autres facteurs, le cancer du poumon est principalement lié au tabagisme.
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L’écart d’âge entre les époux réduit l’espérance de vie des femmes

Le mariage semble être plus bénéfique aux hommes. Récemment, on mentionnait que les hommes plus vieux que leur épouse voyaient leur espérance de vie être allongée de 11 %. Pourtant, la tendance est tout autre chez les femmes.
 
Une équipe de l’Institut Max Planck pour la recherche démographique en Allemagne publie les résultats d’une étude dans le journal Demography.
 
Selon eux, une femme qui a sept à neuf ans de plus que son époux diminue son espérance de vie de 20 % et le résultat est le même si la femme est plus jeune que son mari.
 
Ceci est tout le contraire de ce que croyaient les spécialistes. Ils pensaient qu’avec un partenaire plus jeune, les personnes vivaient plus longtemps, mais ce n’est pas le cas et les causes ne sont pas claires.
 
Pour les couples où la femme est plus âgée, on croit qu’une des raisons qui pourrait expliquer une espérance de vie plus courte chez la femme serait que ce genre d’union va à l’encontre des normes sociales, donc il y aurait plus de pression de la part de l’entourage sur un tel mariage.
 
L’idéal pour une femme est de choisir un partenaire du même âge. Quoi qu’il en soit, se marier est en général plus bénéfique que de ne pas le faire. Une étude antérieure a révélé que les personnes mariées vivaient plus longtemps que celles qui ne l’étaient pas, et ce, tous sexes confondus.
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Les belles femmes seraient néfastes pour la santé masculine

Les belles femmes pourraient mettre en danger la santé des hommes. Voilà une étude inusitée que viennent de faire des chercheurs espagnols de l’Université de Valence.
 
Selon les auteurs de l’étude, les hommes qui passent cinq minutes avec une femme attirante hors de leur portée voient leur niveau de cortisol augmenter dans leur sang.
 
On explique que dans certains cas, le taux de cette hormone liée au stress est si élevé que c’est comme si l’homme avait fait un saut en parachute ou une crise cardiaque, alors qu’il était seulement en compagnie d’une belle femme.
 
À faible dose, le cortisol n’a pas d’effets négatifs. Au contraire, il augmente la vigilance et la sensation de bien-être. À forte dose, il aggrave toutefois les maladies comme le diabète, l’hypertension et même l’impuissance.
 
Les Espagnols ont conclu que les belles femmes pouvaient être nocives pour certains hommes après avoir étudié le comportement de 84 étudiants.
 
Chacun devait résoudre une grille de sudoku. Ils étaient en présence d’un homme et d’une femme inconnus dans la même pièce qu’eux. Lorsque la femme sortait, le niveau de stress diminuait, mais lorsque les étudiants étaient seuls avec la femme, le niveau de stress augmentait considérablement.
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Marcher améliore la qualité de vie des femmes en surpoids

Marcher d’un bon pas serait un bon moyen d’améliorer la qualité de vie des femmes ayant un surplus de poids, selon une nouvelle étude de l’Université Laval à Québec.
 
Une cinquantaine de femmes se sont soumises à l’exercice. Elles étaient ménopausées ou préménopausées. Aucune ne prenait des hormones. Pendant quatre mois, elles ont dû marcher d’un bon pas pendant 45 minutes trois fois par semaine.
 
Bien entendu, elles ont toutes observé une légère perte de poids (en moyenne 4 %), mais leurs capacités cardiovasculaires ont été améliorées de 19 %. Toutefois, elles ont surtout noté qu’elles se sentaient mieux physiquement et mentalement. Elles ressentaient une plus grande vitalité, beaucoup moins de douleurs et étaient plus en mesure de gérer leurs émotions. Leur bien-être général était grandement amélioré.
 
Par contre, pour la présente étude, on ne note aucune diminution du stress ou une meilleure qualité de sommeil. Les habitudes alimentaires sont également demeurées les mêmes.
 
Rappelons que la ménopause amène souvent son lot d’inconvénients. Une activité physique modérée pratiquée régulièrement peut améliorer la qualité de vie des femmes.
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Les femmes prennent plus de poids à leur première grossesse

La prise de poids durant la grossesse est une question qui intéresse toutes les futures mamans. Un récent rapport fait maintenant la lumière à ce sujet.
 
5 554 femmes ont participé à une recherche et on a constaté qu’une femme qui attend son premier enfant est plus susceptible de prendre plus de poids que celles qui ont déjà eu une grossesse.
 
De plus, on note que les femmes plus jeunes, moins instruites ou encore autochtones auraient tendance à prendre plus de poids que ce qui est recommandé durant leur grossesse.
 
Pour une femme avec un indice de masse corporelle (IMC) inférieur à 20 avant de tomber enceinte, il est recommandé qu’elle prenne de 27,5 livres à 40 livres durant sa grossesse, sinon elle aura un bébé de petit poids.
 
Pour les femmes avec un IMC de 20 à 27 avant la grossesse, on recommande une prise de poids de 25 à 35 livres, mais pour les femmes avec un IMC de plus de 27,1, le gain ne devrait pas dépasser plus de 25 livres.
 
Or, 55 % des femmes en surpoids prennent trop de poids durant leur grossesse, alors que ce taux est de 41 % chez celles de poids normal et de 26 % chez celles étant trop minces.
 
De plus, cinq à neuf mois après la naissance de leur enfant, les femmes ayant pris le plus de poids sont souvent celles qui en conservent le plus également, en moyenne une dizaine de livres.
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Les femmes ont de plus fortes réactions au stress

Les hommes et les femmes ne réagissent pas de la même façon face au stress. La gent féminine aurait une attitude beaucoup plus défensive, ce qui l’exposerait à de plus grands risques cardiovasculaires, selon la Dre Bianca D’Antono et ses collègues de l’Université de Montréal.
 
Le Journal of Psychophysiology rapporte que 118 femmes et 81 hommes ont participé à une étude. Ces personnes de 20 à 64 ans ont été mises dans quatre situations de stress d’intensités différentes.
 
Les résultats démontrent que les femmes adoptent plus rapidement une attitude défensive face à la crainte du jugement social, en plus d’avoir une pression sanguine plus élevée. Les hommes de plus de 50 ans vivaient ce même genre de phénomène, mais étaient moins en mode défensif.
 
Les médecins rappellent que le stress est essentiel à la survie de l’être humain, car sans lui, nous n’aurions pas de réflexes de protection, donc nous nous exposerions à de grands risques.
 
Par contre, trop de stress est à l’origine de bien des maux et maladies, dont certains types de cancers. Le stress favorise souvent le développement de ces derniers.