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Les délais avant de tomber enceinte

Selon la gynécologue Elysabeth Aubeny, il n’y a pas de recette magique pour la fertilité. Le corps de certaines femmes mettra plus longtemps à se remettre des contraceptifs que d’autres, chaque homme et chaque femme ont un taux de fécondité variable, et il y a même un effet combiné très fort : deux partenaires qui seraient plus fertiles avec d’autres ne le sont pas ensemble…

Si vous preniez la pilule, l’ovulation devrait revenir tout de suite lors de votre prochain cycle. Les médecins recommandent habituellement aux femmes d’attendre un mois avant les essais pour permettre au corps de rétablir son rythme naturel.

Si vous aviez plutôt un stérilet, il est possible de tomber enceinte tout de suite. Les contraceptifs injectables, comme le Depo-Provera, mettent quant à eux plus de temps avant d’être complètement éliminés de l’organisme, alors il y a habituellement un délai de 6 à 9 mois.

Quand faut-il consulter? Il est tout à fait normal que la conception prenne plusieurs mois avant de se produire, et il n’y a habituellement pas de raison de s’inquiéter avant un an d’essai infructueux. Une exception, toutefois : les femmes qui ont passé la mi-trentaine ne devraient pas attendre aussi longtemps, parce que la fertilité baisse rapidement à cet âge.

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Les hommes seraient plus malheureux que les femmes de ne pas avoir d’enfant

Des chercheurs ont mené une étude auprès de 27 hommes et de 81 femmes qui n’avaient pas d’enfants. Parmi ceux-ci, 63 % des femmes et 59 % des hommes auraient voulu en avoir.

De plus, 50 % des hommes avaient ressenti de l’isolement parce qu’ils n’avaient pas d’enfants, comparativement à seulement 27 % des femmes.

38 % des hommes avaient eu des épisodes dépressifs, comparativement à 18 % des femmes, et 56 % étaient jaloux des gens qui avaient des enfants, contre 47 % des femmes.

Le seul point où les femmes dépassaient les hommes était la culpabilité de ne pas avoir d’enfants (16 % des femmes, mais aucun homme).

« Il existe très peu de données sur le désir de paternité chez les hommes. Cette étude montre que non seulement le désir d’enfant est similaire entre les deux sexes, mais que les hommes ont même un niveau plus élevé de sentiments négatifs par rapport à leur absence d’enfants », a indiqué l’auteur de l’étude, Robin Hadley, selon PsychCentral.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors du récent congrès de la British Sociological Association.

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Russell Brand est attiré par toutes les femmes

Le comédien Russell Brand est connu pour son humour, mais également pour sa réputation « d’homme à femmes ».

Récemment, il blaguait à propos du mariage, déclarant qu’il se marierait à nouveau sous la seule condition qu’il puisse épouser 15 femmes à la fois. « Pourquoi se contenter d’une seule? » avait-il déclaré au magazine Heat.

« La beauté des yeux », selon Brand, c’est « qu’ils peuvent parcourir l’horizon dans toutes les directions ». L’acteur de 37 ans, rappelons-le, a dernièrement été associé notamment à Demi Moore, mais en réalité, il maintient son statut de célibataire.

D’ailleurs, il ne comprend pas pourquoi il a autant de succès avec la gent féminine. « L’homme qui se voit comme un être sexy est dérangé mentalement », a-t-il affirmé en riant, alors qu’on lui demandait ce qui faisait de lui un homme ayant autant de charme.

Dans un élan de franchise, cependant, Russell Brand a repris son sérieux. « Je crois que ceux qui veulent vraiment rencontrer des femmes intéressantes ont tout intérêt à être très gentils, attentionnés et sincères. »

Reprenant son « rôle » d’humoriste par la suite, il a fait référence à Harry Styles, dont il admire le succès auprès des femmes, en indiquant que si le jeune chanteur de One Direction continuait à intéresser les femmes plus matures, jouant ainsi dans ses plates-bandes, il y aurait une « guerre de sexe intergénérationnelle ».

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Les causes de la fausse couche

Même si elle est la plupart du temps dramatique, la fausse couche n’est malheureusement pas rare.

Le Dr Stéphane Brouan, gynécologue-obstétricien, explique que dans 75 % des cas survenant avant 15 semaines de grossesse, les fausses couches sont dues à une anomalie des chromosomes. L’embryon a un chromosome de plus ou de moins, ce qui fait qu’il n’est pas viable.

Les malformations de l’utérus peuvent également causer une fausse couche, en empêchant l’embryon de bien s’accrocher à ses parois. Cela peut être dû à des fibromes, à des cicatrices, etc.

La troisième cause de fausse couche est immunologique : rarement, les anticorps de la mère peuvent considérer l’embryon comme un intrus et le rejeter.

Après 15 semaines, les causes sont différentes. Le cœur du bébé peut s’arrêter de battre, ou encore une infection peut provoquer l’expulsion du bébé avant terme. Il peut également y avoir un problème avec le col de l’utérus, qui ne parvient pas à retenir le bébé passé un certain stade et un certain poids.

Il n’y a pas de raison de s’inquiéter après une ou même deux fausses couches. Toutefois, si vous en avez vécu trois, vous devriez consulter pour examiner les causes.

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Tout sur les tests d’ovulation

De quoi s’agit-il? Ce sont des tests semblables aux tests de grossesse, qui fonctionnent en détectant la présence d’une hormone dans l’urine.

Comment fonctionnent-ils? De 24 à 36 heures avant l’ovulation, le corps a un soudain pic d’hormone lutéinisante. En effectuant des tests tous les jours lorsque vous savez que votre ovulation approche, vous pourrez déterminer avec précision le moment propice pour avoir une relation.

Que faut-il savoir? Pour bien identifier la période de test, il faut connaître et comprendre son cycle auparavant, idéalement en l’observant et en prenant des notes pendant quelques cycles. Cela vous donnera une « fenêtre » de quelques jours durant laquelle votre ovulation est la plus probable.

Comment procéder? Vous devez faire le test avec la première urine du matin, qui est plus concentrée. S’il est positif, votre ovulation se produira le lendemain.

Est-ce que le test est fiable? À 99,5 %, disent les fabricants. Il existe cependant quelques exceptions, par exemple chez les femmes qui ont certaines conditions spécifiques comme des kystes ovariens et dans les mois qui suivent une fausse couche.

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Pourquoi c’est important de parler de sa fausse couche

Les femmes qui parlent de leur fausse couche se sentent souvent quand même mieux que celles qui le cachent ou gardent tout en dedans.

Voici quelques raisons, compilées par le site Babble.

Pour honorer la mémoire des bébés : Ceci s’applique plus aux femmes qui ont perdu un fœtus lors du 2e ou du 3e trimestre, mais cela fait souvent du bien aux mères de parler de sa courte vie, de dire aux gens son nom et de se souvenir de lui.

Pour ne pas être isolée : Lorsque les femmes parlent de leur fausse couche, les gens vont la plupart du temps avoir beaucoup d’empathie, offrir leur soutien et partager leur propre histoire. Se sentir moins seule fait partie de la guérison.

Pour augmenter l’empathie des gens : Certaines personnes qui n’ont pas vécu la situation peuvent être blessantes en la minimisant…

Pour essayer de faire une différence : À force d’en parler, les femmes qui ont vécu cette situation difficile peuvent se rapprocher d’une certaine guérison, ou à tout le moins d’une plus grande paix intérieure.

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Les femmes enceintes ont moins de problèmes de violence et de santé lorsqu’elles sont mariées

Durant le temps de leur grossesse et peu après, les femmes mariées ont moins de problèmes de violence conjugale, de problèmes de consommation ou de dépression post-partum que les autres, affirment les chercheurs.

Les femmes qui vivaient en union de fait risquaient plus de vivre au moins un de ces trois problèmes, quoiqu’il y avait une forte corrélation entre la santé de la femme et la durée de la cohabitation. Ainsi, lorsque l’union datait de moins de deux ans, les problèmes étaient plus fréquents, mais plus les conjoints passaient de temps ensemble, plus le risque diminuait.

Les femmes séparées ou divorcées étaient, sans grande surprise, les plus susceptibles de vivre ces problèmes, spécialement lorsque la séparation survenait avant la naissance de l’enfant.

L’étude a analysé les données provenant de 6421 femmes enceintes ou en périnatalité, compilées par l’Agence de santé publique du Canada. 10 % des femmes mariées vivaient un de ces problèmes, comparativement à 20 % des femmes en union de fait. Les femmes seules étaient dans cette situation dans 35 % des cas, ainsi que 67 % des femmes qui s’étaient séparées ou avaient divorcé avant la naissance de l’enfant.

Au Canada, en 1971, 9 % des enfants naissaient de couples non mariés, alors qu’aujourd’hui, c’est plutôt 3 0 %, tel que rapporté par Science Daily.

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Que faire si vous faites une fausse couche

Une fausse couche est un événement très difficile dans la vie d’une femme. C’est aussi malheureusement fréquent, et il faut se rappeler que la très grande majorité des femmes qui en vivent une vont finir par avoir une grossesse normale.

Il y a trois sortes de fausses couches. Si vous saignez et que vous avez les douleurs, mais que ça cesse, la fausse couche est complète. Si les douleurs sont extrêmement fortes et ne cessent pas, c’est que l’utérus cherche à évacuer des tissus restants, en provoquant des contractions. Il y a aussi la fausse couche hémorragique, qui est une situation très sérieuse pour la femme.

Même s’il n’y a rien à faire pour l’embryon, dans tous les cas, lorsque vous avez des douleurs et des saignements en début de grossesse, il faut se présenter à l’urgence.

À l’hôpital, vous passerez une échographie qui permettra de voir ce qu’il en est : si la grossesse est bien placée, et si le cœur du foetus bat. Certaines femmes auront besoin d’un curetage pour bien éliminer tous les tissus reliés à cette grossesse non viable.

Les médecins recommandent généralement de recommencer à essayer de tomber enceinte trois mois après la fausse couche. Une tristesse intense est normale, et il ne faut pas hésiter à aller chercher du soutien psychologique.

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Les Afro-Américaines abusées durant leur enfance risquent beaucoup plus de développer de l’asthme

L’étude a suivi 28 456 Afro-Américaines, qui ont répondu à des questionnaires sur les sévices dont elles avaient pu être victimes jusqu’à l’âge de 11 ans.

Lorsque ces femmes en avaient vécu, leur risque de développer de l’asthme à l’âge adulte était 20 % plus élevé que chez les autres.

« Il s’agit de la première étude qui montre une association entre les sévices durant l’enfance et le développement de l’asthme à l’âge adulte. Ces résultats suggèrent que le stress chronique mène à l’asthme, et ce, même des années plus tard », a expliqué l’auteure de l’étude, Patricia Coogan, selon Science Daily.

Elle a ajouté : « Étant donné la prévalence élevée d’asthme et d’enfants abusés, cette association est d’une grande importance du point de vue de la santé publique ».

Les Afro-Américains ont un taux d’asthme plus élevé que les autres groupes ethniques. Même si ceux-ci ne forment que 12 % de la population des États-Unis, 22 % des enfants victimes de sévices sont afro-américains.

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Prééclampsie – cause de maladies cardiaques chez les femmes

Selon medpagetoday, il s’agit d’une étude qui a été réalisée en Norvège par le physicien Roly Skjaerven et ses collègues de l’Université de Bergen.

Les résultats démontrent clairement que les femmes ayant été aux prises avec la prééclampsie prénatale (et non postnatale) et n’ayant eu aucun autre enfant sont des sujets fréquents d’AVC. Elles sont également plus à risque de décès.

La recherche a été menée de longue haleine, soumettant les registres de naissance de 836 147 femmes de la Norvège ayant donné naissance à leur premier enfant entre 1967 et 2002. Lors du dernier suivi, en 2009, il s’est avéré que 4,2 % de ces femmes avaient souffert de prééclampsie prénatale.

En plus, parmi ces femmes, 3891 sont décédées de troubles cardiaques, incluant une défaillance du système circulatoire, une crise ischémique ou une maladie cardiovasculaire. Évidemment, il s’agissait principalement de femmes n’ayant eu qu’un seul enfant et ayant eu des troubles prénataux de prééclampsie.

Les mères ayant eu d’autres grossesses par la suite, bizarrement, avaient un taux pratiquement nul de développer des maladies cardiaques plus tard dans leur vie.

Le Dr Skjaerven, à la suite des résultats, affirme que cela aidera grandement à axer les suivis médicaux. « Plutôt que de revoir systématiquement toutes les femmes ayant souffert de prééclampsie et d’effectuer des suivis réguliers, nous devrions considérer celles n’ayant eu qu’une seule grossesse, surtout celles avec prééclampsie prénatale. »