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Shiseido soutient les femmes atteintes du cancer du sein

Shiseido a annoncé qu’elle allait remettre 5 $ pour chaque brillant à lèvres Lacquer Rouge vendu dans la teinte Disco à la cause du cancer du sein, pendant tout le mois d’octobre.

On se rappelle que ce mois est traditionnellement dédié à la lutte contre le cancer du sein.

L’organisme de charité choisi est Cancer and Careers, qui vient en aide aux femmes qui travaillent et qui doivent vivre avec le cancer, rapporte le Harper’s Bazaar.

Le brillant à lèvres très éclatant correspond à un beau rose foncé soutenu, qui couvre les lèvres d’une riche couleur à effet laqué. Il est en vente dans des boutiques sélectionnées ainsi que sur le site web de Shiseido, au coût de 25 $.

C’est la sixième campagne du genre pour Shiseido, qui modifie chaque année la teinte de rouge visée par la promotion.

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3 jeunes femmes sur 4 préféreraient être mères au foyer

C’est 75 % des 1008 femmes interrogées, dans le cadre de la recherche, qui affirment que si ce n’était pas des difficultés financières, elles resteraient à la maison pour élever leurs enfants.

Le Dailymail rapporte que c’est donc à reculons qu’elles reprennent le marché du travail, dans l’espoir d’amoindrir les dettes accumulées pendant le congé de maternité.

Par contre, il n’y a pas que les questions d’argent. Les femmes ont peur du jugement de leurs pairs, puisque l’idée, de nos jours, est qu’une famille traditionnelle est constituée de deux parents qui travaillent à temps plein. Un stéréotype qui fait malheureusement écho à la majorité du reste du globe.

Pourtant, l’étude démontre clairement que seule 1 femme sur 7 souhaite développer sa carrière, et aucune autre étude ou analyse gouvernementale n’a été publiée à ce propos.

La recherche a été menée sous la supervision d’Ann Robinson de uSwitch. « L’époque actuelle fait en sorte que les femmes se sentent obligées de retourner au travail, surtout à cause de la pression financière. »

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Près de 9 femmes sur 10 ignorent leur date d’ovulation

Ce qui semble élémentaire représente plutôt une surprise d’ampleur. On parle ici d’une recherche effectuée auprès de 204 femmes qui ont consulté un spécialiste à la suite de problèmes de fertilité.

Selon famili.fr, l’étude s’est déroulée dans deux cliniques de Melbourne. Alors que 68 % des femmes disaient être certaines d’avoir tout fait pour que la chance leur sourie, seulement 13 % connaissaient réellement leurs journées d’ovulation.

Plus étonnant encore, Kerry Hampton, principale auteure de l’étude, affirme que la majorité des patientes se disaient mal informées ou trop peu informées quant à la fertilité.

« Une mauvaise connaissance des périodes de fertilité pourrait figurer parmi les freins à la fertilité. Il existe un fossé entre les besoins qui existent en matière d’éducation à la fertilité des femmes et ce que les professionnels estiment nécessaire de leur fournir en la matière », a indiqué Hampton.

De nos jours, les gens se fient trop aux livres et à Internet pour trouver ce type d’information. Le spécialiste demeure cependant celui qui est le mieux placé pour informer les patientes. Il ne faut donc pas hésiter à poser toutes les questions qui nous préoccupent.

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Les femmes fondant leur famille après 35 ans sont jugées égoïstes

Sa plus récente recherche, rapportée par le site ScienceDaily, fait la lumière sur la pression sociale que vivent les femmes de nos jours. C’est lors du congrès organisé par la British Psychology Society que Budds a présenté sa dernière étude.

Les futures mères de 35 ans et plus sont jugées égoïstes, d’une part, puisqu’elles priorisent apparemment leur carrière avant de fonder une famille. D’autre part, elles sont accusées de prendre des risques inutiles en mettant leur vie et celle de l’enfant à naître en danger.

Or, les résultats de l’étude démontrent qu’il en est autrement dans la majorité des cas. Les femmes choisissent principalement de fonder une famille lorsqu’elles jugent avoir le bon conjoint ainsi que la situation financière adéquate.

En d’autres termes, elles choisissent simplement de mettre au monde un enfant pour lequel elles seront en mesure de subvenir aux besoins. Rien d’anormal dans cette « stratégie ». Il ne s’agit même pas d’être plus mature pour élever son enfant, puisque la recherche démontre que ces femmes vivent le même stress et les mêmes difficultés que les mamans plus jeunes.

Ainsi, la psychologue affirme que « ces femmes qui sont accusées de “tout vouloir” avant de fonder une famille recherchent simplement de façon responsable la meilleure situation pour élever leurs enfants ».

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Le gène du bonheur serait réservé aux femmes

Généralement, les femmes se disent plus heureuses que les hommes. Des chercheurs de l’University of South Florida pourraient en avoir trouvé la raison.
 
Selon les résultats de leurs travaux, publiés dans le Progress in Neuro-Psychopharmacology & Biological Psychiatry, le gène A (MAOA), ou monoamine oxidose A, est lié au sentiment de bonheur et rendrait les femmes plus heureuses. Seulement, chez les hommes, ce gène n’a pas le même effet.
 
« C’est le gène premier du bonheur pour les femmes. J’ai été surpris par ce résultat parce que cette même expression du gène MAOA a déjà été associée à des comportements négatifs, comme l’alcoolisme, l’agressivité et un caractère antisocial. MAOA a même été appelé le “gène guerrier” par certains scientifiques, mais, du moins pour les femmes, ce gène montre ici un rôle plus positif », a déclaré l’auteur principal, le Dr Henian Chen.
 
Le MAOA régule l’activité d’une enzyme qui décompose certains neurotransmetteurs dans le cerveau. Un faible niveau de MAOA favorise une augmentation de la monoamine et accentue donc ces neurotransmetteurs, ce qui permet d’améliorer l’humeur.
 
On croit aussi que le niveau de testostérone inférieur chez les femmes pourrait aussi jouer un rôle.
 
On demande donc d’autres études approfondies sur le bonheur, autant qu’il y en a sur les troubles d’anxiété et de dépression.
 
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Les migraines affectent plus les femmes

Oui, la migraine affecte plus les femmes que les hommes, et cela vient d’être démontré avec des imageries par résonnance magnétique du cerveau de personnes durant des crises.
 
Les femmes jugent que leur migraine est plus pénible que celle des hommes, et elles n’auraient pas tort.
 
Les migraines touchent deux zones du cerveau : l’insula, qui joue un rôle clé dans le traitement de la douleur, et le précunéus, lié à la conscience de soi.
 
Lors d’une migraine chez la femme, ces deux régions sont plus épaisses et ont plus de matières grises que chez les hommes. Mais surtout, elles se connectent en réponse à la douleur, ce qu’elles ne font pas chez les hommes.
 
Cela expliquerait la plus grande sensibilité des femmes à la migraine.
 
Cette étude parue dans le journal Brain confirme que le cerveau réagit différemment selon le sexe de l’individu.
 
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Manger une pomme chaque jour réduirait le cholestérol chez les femmes

En comparaison, les femmes qui ont mangé des prunes quotidiennement lors de l’étude ont conservé le même niveau de cholestérol, selon Reuters Health.

Les scientifiques ont même été surpris par l’efficacité des pommes.

« Les pommes et les prunes séchées sont très bonnes pour diminuer le taux de cholestérol ou le maintenir bas. […] Les pommes tout particulièrement réduisent le mauvais cholestérol dans une mesure qui va bien au-delà de ce que j’aurais pu imaginer. C’est si puissant » , a expliqué le président du department of Nutrition, Food, and Exercise Sciences de la Florida State University, Bahram Arjmandi.

Durant l’étude, les femmes ont vu leur taux de cholestérol diminuer de plus de 9 %. Après six mois de cette pratique, ce chiffre atteignait 13 %.

Toutefois, les autres effets de cette grande consommation de pommes n’ont pas été explorés durant l’étude.

Rappelons que le fait de manger deux pommes par jour serait également efficace pour prévenir les crises cardiaques.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les femmes enceintes fumeuses risquent de mettre au monde des asthmatiques

Publiée dans l’American Journal of Respiratory and critical Care Medicine, l’étude révèle que le tabagisme affecte le bébé au plus haut point durant les trois premiers mois de la grossesse.

Les chercheurs affirment que le tabagisme peut causer l’asthme et peut entraîner une respiration bruyante, et ce, dès l’âge préscolaire.

De plus, les risques de développer ces problèmes continuent d’augmenter même si l’exposition du foetus au tabac a cessé à la mi-grossesse ou vers la fin.

« Ces résultats montrent les effets néfastes du tabagisme de la mère sur le système respiratoire du fœtus, tôt durant la grossesse, peut-être même avant que la femme soit au courant qu’elle est enceinte », selon l’un des chercheurs ayant participé à l’étude, Asa Newman.

Ces résultats sont révélés alors que des études précédentes ont suggéré que le tabagisme des femmes enceintes pouvait modifier la structure de l’ADN de leur poupon et ainsi, affaiblir leur système immunitaire.

En fait, l’ADN du sang du cordon ombilical des femmes qui fument durant leur grossesse subirait des modifications associées à la désintoxication de la fumée de tabac.

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De plus en plus de femmes avortent pour des raisons économiques

Selon 7 sur 7, les femmes choisissent d’avorter si leur bébé n’arrive pas au bon moment. En fait, elles tiendraient plutôt à ce que leur bébé arrive au moment opportun tant dans leur vie familiale que professionnelle.

Les femmes qui estiment ne pas avoir les moyens d’élever un enfant préfèrent donc reporter le moment où elles fonderont leur famille.

Selon la directrice générale du British Pregnancy Advisory Service, Ann Furedi, l’avortement est le plan d’urgence des femmes.

« Les femmes ont recours à l’avortement comme plan B quand la contraception échoue », soutient-elle.

Rappelons que le fait d’allaiter coûte cher aux mamans. Souvent contraintes d’arrêter de travailler pour pouvoir allaiter aisément, les femmes se condamnent à gagner moins d’argent ou tout simplement à dépendre de leur conjoint, car elles demeurent à la maison plus longtemps.

De plus, selon une étude effectuée en 2011, un enfant coûte aux parents environ 14 500 $ par an jusqu’à ses 21 ans.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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La chimiothérapie sans danger pour le bébé

En fait, les femmes ayant besoin de ces soins de chimiothérapie ne devraient pas compromettre leur traitement ou mettre leur bébé au monde plus tôt, selon les chercheurs du German Breast Group.

« Nos découvertes mettent l’emphase sur l’importance de prioriser un accouchement à terme chez les femmes qui subissent une chimiothérapie pendant leur grossesse. […] Notre travail suggère que de traiter les patientes atteintes d’un cancer du sein alors qu’elles sont enceintes est possible, et qu’il n’est pas nécessaire d’interrompre la grossesse ou de recevoir une thérapie inférieure », selon la chercheuse principale de la recherche, Sibylle Loibl.

De plus, les bébés nés de patientes ayant reçu ce type de traitement ne sont pas plus à risque d’avoir des complications que les autres bébés.

Durant l’étude, les complications parmi les enfants étaient dues à des naissances avant terme plutôt qu’à la chimiothérapie.

En fait, de précédentes études ont démontré que les médicaments prescrits ne franchiraient pas ou très peu la barrière du placenta, protégeant ainsi le bébé.

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