Près de 250 000 femmes sont sauvées grâce à la contraception, et elles pourraient même être plus nombreuses. En effet, si toutes les femmes avaient en leur possession un moyen de contraception, elles seraient 100 000 de plus, selon une nouvelle étude britannique publiée dans la revue Lancet.
Cette recherche encourageante a été présentée la veille d’un sommet sur la régulation des naissances organisé à Londres par la Fondation Bill et Melinda Gates.
Par ailleurs, cette étude souligne également que la mortalité maternelle est à la baisse. Au cours des 20 dernières années, même si elle a chuté de 40 %, l’Afrique subsaharienne est montrée du doigt.
En effet, seulement 22 % des femmes mariées ou actives sexuellement y utilisent une méthode de contraception, un chiffre très bas si on le compare aux pays développés qui frôlent les 75 %.
Du côté des nourrissons, l’étude indique que près de 3 millions de bébés décèdent chaque année à la suite de grossesses qui se passent mal dans les pays développés.
Les femmes ne sont pas épargnées puisqu’elles sont près de 355 000 qui ont trouvé la mort à la suite notamment d’avortements dangereux.
Il est temps d’agir. En 2050, nous devrions être 9,3 milliards d’habitants, selon l’ONU.
En fait, ce moniteur suit les cycles menstruels des femmes et constitue un moyen entièrement naturel de contraception.
Le moniteur de contraception Clearblue est un petit boitier tactile qui indique à la femme quand elle peut avoir des rapports sans utiliser de contraceptif. Les jours où elle doit en porter sont indiqués en rouge, tandis que les autres sont marqués en vert.
Il suffit d’uriner sur les bâtonnets pour que le boitier évalue la concentration d’hormones.
Selon Clearblue, ce moniteur est fiable à plus de 94 % et doit être utilisé chaque matin.
L’appareil est déjà sur le marché en Espagne et en Italie et se vend 13 euros, alors qu’une boîte de 16 bâtonnets se vend 40 euros.
Rappelons toutefois que selon de récentes études, le stérilet demeurerait le moyen de contraception le plus fiable avec seulement 1 % de défaillance. On ne peut pas en dire autant de la pilule, du timbre transdermique ou de l’anneau vaginal.
En effet, il y aurait vingt fois plus de risques de tomber enceinte avec ces moyens de contraception féminins plutôt qu’avec le stérilet ou les implants.
En fait, selon une étude publiée dans le journal BMJ Online, deux fois plus de bébés naissent mort-nés dans le 10 % de régions défavorisées du Royaume-Uni que dans le reste du pays.
De plus, l’étude a permis de mettre au jour le fait que ce type de naissance était attribué à des malformations congénitales et était trois fois plus présent chez les femmes de milieux défavorisés.
Si le taux de naissance d’enfants mort-nés dans les régions les moins défavorisées était le même partout, il y en aurait presque 900 de moins chaque année, selon les auteurs de la recherche.
« Ce n’est pas très surprenant […] comme nous le savons, un certain style de vie et certaines conditions de santé peuvent avoir un impact sur les complications durant la grossesse », explique la chef exécutive de l’organisme de charité pour bébés Tommy’s, Jane Brewin.
L’étude rappelle que le tabagisme, l’obésité ainsi que la difficulté d’accès aux soins sont plus courants dans les quartiers défavorisés et peuvent affecter le déroulement de la grossesse.
Rappelons justement que le taux de mortinatalité pourrait être diminué de moitié si les femmes bénéficiaient de meilleurs soins de santé.
En fait, à l’occasion des Jeux olympiques de Londres, le Musée de la Femme s’est associé avec le Muse-O-Vélo, le Comité olympique international, le British Museum de Londres ainsi qu’avec l’organisme Cyclo Nord-Sud pour souligner la détermination et les accomplissements des athlètes féminines.
La présidente d’honneur est Lyne Bessette, championne de cyclisme.
« L’exposition À vélo, Mesdames est une occasion de célébrer la liberté de mouvement acquise par le vélo ainsi que celles qui ont mis la barre haute telles que Lyne Bessette, Lise Lépine, Claire Morissette… L’apport féminin à l’avènement d’une société urbaine humaine est sans conteste une des plus belles contributions des femmes dans le triangle formé de femme/vélo/ville », dit la directrice générale du Musée de la Femme du Québec, Lydie Olga Ntap.
L’exposition est conçue pour les non-initiés à ce sport ainsi que pour ses adeptes. Elle est entièrement libre et gratuite.
De plus, un jeu-questionnaire sur l’univers du cyclisme et un circuit en interaction seront proposés aux visiteurs, qui auront la chance de gagner divers prix offerts par les partenaires.
Rappelons que le Marché Bonsecours est l’hôte de plusieurs évènements de ce genre et de festivals. Par exemple, pirates, corsaires, boucaniers et forbans s’y sont donné rendez-vous pour prendre part au Grand Boucan, le premier festival de pirates du Québec, qui se terminait le 17 juin dernier.
On administre souvent de la zidovudine, ou AZT, aux bébés de séropositives qui n’ont pas été allaités et dont la mère n’a pas eu de traitement durant la grossesse. Ce produit aide à prévenir la transmission de la maladie de la mère au poupon.
Cette stratégie n’est pas toujours efficace. Les chercheurs de l’UCLA ont découvert que la combinaison de deux ou trois médicaments, donnés au poupon 48 heures après sa naissance, pouvait réduire le risque de contraction du VIH de moitié, comparativement à l’AZT.
Toutefois, les scientifiques ont remarqué que la combinaison de deux médicaments était moins toxique pour le bébé que la combinaison de trois d’entre eux.
« La facilité de l’utilisation, la toxicité réduite, l’accessibilité ainsi que le bas prix suggèrent que la combinaison de la zidovudine et la névirapine est une option intéressante pour la prophylaxie chez les enfants à haut risque de transmission périnatale de l’infection VIH-1 », explique la professeure en maladies pédiatriques infectieuses, Dre Karin Nielsen-Saines.
Les petits qui sont nés de mères infectées et qui ne reçoivent pas de thérapies antirétrovirales ont 25 % plus de chances de devenir séropositifs durant la grossesse ou à la naissance. Leurs risques augmentent de 40 % lorsqu’ils sont allaités.
Rappelons que de prendre des médicaments anti-VIH durant la grossesse ne représenterait pas un danger pour les nourrissons, la croissance du fœtus ou la mère.
Une étude publiée dans le British Medical Journal dément les précédentes affirmations de chercheurs danois voulant que ces traitements qui stimulent l’ovulation augmentent les risques de cancer chez les femmes.
En fait, sur les 50 000 femmes traitées pour infertilité ayant pris part à la recherche, 156 seulement ont développé un cancer de l’ovaire.
L’étude comprenait aussi des femmes ayant reçu plus de dix cycles de traitement ainsi que celles qui ne sont finalement pas tombées enceintes.
Toutefois, durant les recherches récentes, les femmes n’avaient pas toutes atteint l’âge où le cancer se développe plus souvent, c’est-à-dire 60 ans.
Il existe plusieurs causes à l’infertilité féminine. Par exemple, les dommages aux trompes de Fallope, le trouble de l’utérus appelé endométriose, les irrégularités du cycle de l’ovulation et la taille ou la forme anormale de l’utérus peuvent nuire à la fertilité.
Certains de ces problèmes peuvent être dus à une infection transmissible sexuellement.
De plus, plus une femme vieillit, plus il est difficile pour elle de concevoir.
Publiés dans le Daily Telegraph, les résultats mentionnent même que certaines d’entre elles sautent le petit-déjeuner. « Elles pensent qu’elles éliminent des calories, mais c’est faux. Elles finissent par manger n’importe quoi plus tard », explique la nutritionniste Kathleen Alleaume.
En fait, l’objectif de ces femmes est de minimiser le poids qu’elles auront pris pendant la grossesse.
Cette tendance inquiète plus d’un expert. En Australie, une étude a révélé que 9 femmes sur 10 manquaient de nutriments essentiels au bon développement de leur bébé à naître.
Toutefois, il n’y a pas que de couper dans l’alimentation qui permet de réduire le poids. Certaines femmes enceintes prennent d’assaut les salles de gym. Cela dit, il n’y a rien de mal à rester active durant la grossesse, mais cela peut parfois être dangereux.
Si la future mère n’est pas habituée à autant d’exercices, elle doit y aller doucement et attendre après sa grossesse avant de se mettre à la pratique d’un sport extrême.
Rappelons qu’une recherche a démontré qu’une femme en plein régime qui tombait enceinte était plus susceptible de mettre au monde un enfant obèse ou diabétique.
D’abord, l’Institut de veille sanitaire (InVS) en France a émis quelques recommandations pour ces voyageurs les plus fragiles dans Le Parisien.
D’abord, l’InVS suggère aux femmes enceintes de ne pas emprunter de vols trop longs. Au-delà de sept mois, il est peu recommandé aux femmes de prendre le transport aérien. De plus, à ce stade de la grossesse, la plupart des compagnies aériennes interdisent le vol aux futures mamans.
Aussi, les activités intenses ne sont pas conseillées. La plongée, entre autres, peut être dangereuse pour une femme enceinte.
Pour ce qui est des personnes âgées, l’InVS recommande de bien surveiller la présence de maladies ou autres problèmes chroniques qui requièrent des soins particuliers.
Afin d’éviter certaines complications, il serait de mise de visiter un médecin avant de partir en voyage.
Lors de voyages dans les pays chauds, les personnes âgées devraient y aller à leur rythme et respecter les besoins de leurs corps.
Rappelons que les personnes âgées de 70 ans et plus voyagent de plus en plus à l’étranger.
Selon les Centers for Disease Control and Prevention, l’apparition de la fécondation in vitro a provoqué, entre 1980 et 2009, une augmentation de 76 % du nombre de naissances de jumeaux et une hausse de 325 % du nombre de naissances de trois enfants et plus à la fois.
Cependant, cette tendance pourrait désormais diminuer. Le fait est que la demande de transplantation d’un seul embryon est de plus en plus courante. Auparavant, les médecins en transplantaient plusieurs, afin de s’assurer qu’au moins un d’entre eux allait fonctionner, mais de nos jours, les avancées technologiques permettent un meilleur taux de succès pour chaque embryon.
« C’est quelque chose qui va contribuer à des grossesses plus saines. Nous apprenons aux patientes que le transfert d’un seul embryon dans certaines situations est presque aussi efficace que le transfert de plusieurs embryons, et il y a un grand nombre d’études qui le confirment », explique le propriétaire du Reproductive Science Center de San Francisco Bay, le docteur Louis Weckstein.
Bien que certaines femmes qui optent pour la fécondation in vitro ne se soucient pas du nombre de bébés qu’elles auront, les scientifiques soulignent que 60 % des jumeaux et 90 % des triplés naissent prématurément.
Rappelons que le risque de développer une maladie mentale est accru chez les enfants nés prématurément.