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Les graines de fenugrec égyptiennes pointées du doigt

Après avoir soupçonné quelques aliments, dont les concombres espagnols, comme étant à l’origine de la contamination à la bactérie E. coli en Europe, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) pointe maintenant du doigt les graines de fenugrec égyptiennes.
 
L’Union européenne a donc interdit toute importation jusqu’au 31 octobre et demande à ce que les stocks reçus entre 2009 et 2011 soient détruits afin qu’ils ne soient plus offerts à la consommation.
 
Toutefois, le ministre égyptien de l’Agriculture, Abou Hadid, nie catégoriquement que les graines de fenugrec sont à l’origine du problème. Selon lui, les tests ont démontré que la souche de la bactérie E. coli qui a fait 51 morts et 4 000 malades en Europe n’était pas présente dans les graines égyptiennes.
 
Sur les 51 décès relatés, 49 ont eu lieu en Allemagne, un en Suède et un aux États-Unis. 851 personnes sur les 4 000 malades ont eu des complications graves allant jusqu’à de l’insuffisance rénale.

En juin, une deuxième éclosion de la même souche de la bactérie E. coli se produisait en France.

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La bactérie E. coli continue de soulever des craintes

Les autorités françaises ont établi un lien entre les graines de moutarde, de fenugrec et de roquette du distributeur britannique Thompson & Morgan et une nouvelle éclosion de bactérie E. coli dans la région de Bordeaux.
 
C’est maintenant aux autorités sanitaires britanniques de donner suite et d’enquêter sur ces nouveaux cas.
 
Pour le moment, on déconseille de consommer les jeunes pousses ou sinon de les cuire suffisamment jusqu’à ce qu’elles soient assez chaudes pour les consommer sans danger.
 
En France, on a déjà interdit les produits du distributeur britannique qui se défend bien d’être à l’origine de cette nouvelle éclosion de la bactérie.
 
Certaines personnes ont été affectées par la même souche de la bactérie E. coli qui a fait 44 morts, dont 43 en Allemagne, dans les dernières semaines et qui a affecté 3 700 personnes.

L’enquête se poursuit, mais rappelons que les autorités françaises avaient d’abord fait fausse route en accusant les concombres espagnols d’être la cause de la première éclosion.

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Épicer sa vie sexuelle, ce serait possible

Une recherche australienne a démontré que le fenugrec améliorerait la vie sexuelle. Cette herbe est très présente dans la cuisine du Moyen-Orient et de l’Inde, même de la Chine. Il y a fort à parier, à la lumière de cette découverte, que les Occidentaux souhaiteront la cuisiner.

Selon MailOnline, les hommes pourraient augmenter leurs performances sexuelles au moins du quart s’ils en consomment. Les grains de fenugrec contiennent des saponines, lesquels augmenteraient la production de certaines hormones mâles, dont la testostérone.

Dans le cadre de l’étude en question, 60 hommes âgés de 25 à 52 ans ont consommé un extrait de cette herbe 2 fois par jour durant 6 semaines. Un autre groupe prenait un placebo. La libido des participants a été évaluée selon un système de notation qui a pu relever tout changement étant apparu après trois, puis six semaines.

Les performances des hommes ayant consommé du fenugrec ont augmenté de 28 % en 6 semaines. L’effet du fenugrec sur les performances sexuelles des hommes serait donc incontestable.

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Un ingrédient du curry peut guérir le rhume et la grippe

Les propriétés du curry sont reconnues depuis toujours, mais une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail affirme que le fenugrec, une plante contenue dans le curry, permet non seulement d’atténuer les symptômes du rhume et de la grippe, mais peut aussi prévenir l’infection.
 
20 volontaires se sont soumis à un test durant trois mois d’hiver. La moitié d’entre eux avaient le rhume ou la grippe au début de l’étude. Deux fois par semaine, ils devaient avaler une demi-cuillère à café de graines de fenugrec dans leur curry.
 
Ceux qui étaient malades ont noté un soulagement immédiat et durable des symptômes comme l’écoulement nasal, la toux, les éternuements, le mal de gorge et la fatigue. Ceux qui n’étaient pas malades n’ont pas contracté les infections tout au long du processus.
 
On prévoit des essais cliniques à plus large échelle en collaboration avec des universités américaines sous peu. Selon les experts, on ne peut pas dire qu’il s’agit d’un remède miracle, mais presque.