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Syndrome prémenstruel : manger plus de fer d’origine végétale

Les millions de femmes qui souffrent du syndrome prémenstruel (SPM) à travers le monde pourraient se sentir mieux grâce à un régime regorgeant d’aliments à forte teneur en fer d’origine végétale.

Une étude étalée sur une décennie, parue dans la revue American Journal of Epidemiology, montre que les femmes qui consomment de nombreux végétaux riches en fer réduisent d’un tiers leur risque de souffrir de troubles précédant leurs règles (douleurs, migraines, stress…), que les femmes qui consomment moins de fer.

Des chercheurs de l’University of Massachusetts Amherst ont recensé des données issues de l’étude Nurses Health Study II pour faire état de l’apport en minéraux d’environ 3 000 femmes âgées de 25 à 42 ans, au moyen de questionnaires. Le risque de développer ce syndrome baisse considérablement lorsque les femmes consomment plus de 20 mg de fer par jour.

Les femmes qui absorbent près de 50 mg enregistrent les meilleurs résultats des candidates. Les chercheurs ont aussi noté un effet protecteur du zinc, lorsque les femmes en consomment plus de 10 mg par jour. Mais tous les types de fer n’entraînent pas les mêmes effets. C’est surtout le fer provenant des végétaux et des compléments alimentaires qui protègent les femmes du SPM, et non celui issu du règne animal (viande rouge et volaille).

Après avoir ajusté leurs résultats, les chercheurs ont noté que les femmes qui consomment plus de fer végétal voient leur risque de souffrir de ce syndrome diminuer de 40 % par rapport aux femmes qui mangent beaucoup de viande. Les scientifiques notent cependant que la clé réside dans l’équilibre de tous les minéraux, le chercheur Bertone-Johnson a expliqué :

« Les femmes devraient adopter un régime équilibré, et s’il ne leur procure pas assez de nutriments, elles devraient prendre des multivitamines.»

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Un régime riche en fer au secours des femmes et du SPM

Si le syndrome prémenstruel (SPM) relève du mythe et de la discrimination pour certaines, il s’agit d’un véritable fléau pour d’autres.

Il y a peut-être de l’espoir pour ces dernières, puisque The National Library of Medicine révèle une étude qui laisse croire qu’une alimentation riche en fer pourrait apporter une partie de la solution au problème.

Plus spécifiquement, le soulagement pourrait provenir des aliments riches en fer à base de plantes, donc de sources végétales.

Les symptômes de ce syndrome pourraient même être diminués jusqu’à 30 %, croient les spécialistes en tête de l’étude. Le zinc est mentionné spécialement dans ces conclusions. L’élément serait très important dans le traitement du SPM.

« On dirait bien que certains minéraux s’avèrent importants dans la gestion du cycle menstruel et du SPM. Les femmes devraient adopter un régime équilibré au quotidien, et si elles ne reçoivent pas les apports nécessaires de leur diète, elles devraient alors se tourner vers les multivitamines », croit Elizabeth Bertone-Johnson, professeure associée de l’Université du Massachusetts (Amherst).

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Les dangers que cachent les tatouages

Le Syndicat National des Dermatologues-Vénéréologues (SNDV) met en garde la population contre les tatouages, rapporte Top Santé.

Le regroupement tient à dévoiler certains dangers associés à cette pratique afin que les gens puissent être bien informés et, par conséquent, fassent des choix éclairés en la matière.

On rappelle donc que le tatouage n’est pas une option à prendre à la légère. D’abord, on veut informer le public sur les encres permanentes qui contiennent des éléments potentiellement cancérigènes. Du lot, de l’aluminium, du fer, du mercure, du cuivre, du chrome et du nickel peuvent se retrouver dans ces encres.

Des infections et affections diverses sont aussi possibles, comme de l’eczéma, la sarcoïdose ou encore des allergies.

On demande aux gens de se méfier aussi de la paraphénylènediamine, utilisée notamment pour les tatouages qui durent moins longtemps. On recommande de ne pas hésiter à demander de quoi sont constitués les produits et outils utilisés lors du processus.

Pour terminer, on suggère aux gens qui souffrent déjà de problèmes de peau de s’abstenir complètement de passer sous l’aiguille d’un tatoueur. Ce dernier est par ailleurs à choisir avec soin et précaution.

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Les enfants ne devraient pas boire plus de deux verres de lait par jour

Pediatrics publie les résultats d’une étude observationnelle révélant que boire trop de lait nuit aux réserves de fer chez les enfants de 2 à 6 ans.

Plus spécifiquement, chaque verre dépassant la limite établie à deux faisait augmenter le niveau de vitamine D de 6,5 % chez les enfants, mais réduisant également les précieuses réserves de fer de 3,6 %.

Selon les experts, boire deux verres par jour, pour un total de 500 ml, est suffisant pour les enfants, leur apportant le calcium et la vitamine D nécessaires, tout en ayant un effet minimal sur les réserves de fer.

Un bémol a été soulevé pour les enfants à la pigmentation de peau plus foncée, par contre, puisque ceux-ci réussissent moins bien à métaboliser la vitamine D. Ces enfants pourraient par exemple prendre un supplément de la vitamine.

La vitamine D et le fer sont tous deux vitaux pour les enfants. Le premier est crucial pour la santé des os et la prévention de plusieurs maladies, tandis que le deuxième joue un rôle clé dans le développement cérébral et psychomoteur, selon MedPageToday.

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Le fer donné aux bébés de petit poids permet d’améliorer leur comportement plus tard

Pour une étude menée en Suède, 285 nouveau-nés de petit poids (de 2 à 2,5 kilos) ont reçu un supplément de fer quotidien entre 6 semaines et 6 mois.

Les bébés qui naissent avec un faible poids sont plus à risque d’avoir plus tard des problèmes cognitifs et de comportement. Ils sont également plus susceptibles d’avoir une carence en fer, qui peut affecter le développement neurologique.

À l’âge de 42 mois, ces enfants, ainsi que 85 enfants du même âge dont le poids de naissance était normal, ont subi des tests d’intelligence et une évaluation comportementale. Même s’il n’y avait pas de différence significative entre le QI des deux groupes, les enfants ayant pris un supplément de fer avaient un taux de problèmes comportementaux moins élevé.

« Ces résultats suggèrent à la fois que le risque plus élevé de problèmes comportementaux chez les bébés de petit poids peut être prévenu, mais consolide aussi un lien de causalité entre les suppléments de fer et un meilleur comportement chez les enfants à risque d’avoir une carence en fer », a expliqué l’auteur de l’étude, le Dr Staffan Berglund, selon MedPageToday.

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Des résultats mitigés reliés aux suppléments de fer et d’oméga-3 chez les enfants

Dans le cadre de l’étude, 321 enfants provenant d’Afrique du Sud ont reçu un supplément de fer ou un supplément d’oméga-3, ou encore les deux. Les enfants, âgés de 6 à 11 ans, avaient tous un déficit important de ces éléments avant de recevoir les suppléments.

Après 8 mois, les enfants qui souffraient d’anémie ont démontré des améliorations de leur mémoire et de leurs aptitudes d’apprentissage. Dans des tests de mémoire, ils ont par exemple réussi à se souvenir de 2 mots sur 12 de plus qu’auparavant.

Les résultats étaient plus mitigés pour les enfants qui avaient une carence en fer, mais sans anémie et qui ont aussi reçu des oméga-3. Les filles dans cette condition ont plutôt eu des résultats pires qu’avant, tandis que les garçons ont légèrement amélioré leur performance.

Toujours selon les résultats de l’étude, il n’y avait aucun avantage associé aux suppléments d’oméga-3.

L’auteure, Jeannine Baumgartner, a expliqué que puisque le nombre d’enfants dans chaque catégorie, par exemple ceux qui souffraient d’anémie, était relativement petit, les résultats doivent être interprétés avec précaution.

« La question se pose à savoir si donner des suppléments à des enfants d’âge scolaire n’est pas déjà trop tard pour voir des résultats bénéfiques sur leur performance cognitive », a-t-elle ajouté, selon Medscape.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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Comment bien se protéger de l’hiver et de ses virus

L’hiver au Québec (et au Canada) est rigoureux et est souvent synonyme d’au moins une grippe par année, par habitant. Les citoyens d’Amérique du Nord le savent très bien et tentent tant bien que mal de se préparer (et de se protéger) de l’hiver, parfois sans succès.

Il existe bien un vaccin contre l’influenza, mais il est aussi possible de mettre toutes les chances de son côté, à commencer par l’alimentation.

Topsante.com suggère d’abord de penser vitamine D. Entre autres, on suggère de ne pas avoir peur de mettre le nez dehors afin d’en obtenir et de profiter du grand air. Affronter l’hiver par des marches courtes à l’extérieur permet au corps de s’habituer au froid et de se protéger contre ses effets.

On retrouve de la vitamine D notamment dans les produits laitiers, mais ce n’est pas la seule qui devrait être priorisée. La vitamine C a aussi son rôle à jouer dans la prévention des grippes et rhumes.

Les spécialistes mettent aussi l’emphase sur les probiotiques, qui augmentent les capacités immunitaires de l’organisme. Dans la même veine, il faut faire attention de ne pas ingérer trop de sucre (difficile spécialement dans le temps des fêtes) ou trop de fer.

On rappelle également que le stress est une porte ouverte sur les maladies et virus, alors il faut commencer à penser à ralentir à l’approche de l’hiver.

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Enceinte et végétarienne

Selon plurielle.fr, il suffit d’un suivi médical régulier, puis du respect des principes de base pour passer à travers votre grossesse en respectant votre désir de conserver vos habitudes alimentaires.

À priori, le végétarisme signifie une prise en charge de votre alimentation et suggère déjà de bonnes habitudes. Cependant, vous devrez en parler à votre médecin, puisque vous devrez cette fois combler non seulement vos besoins, mais ceux de l’enfant à naître qui, lui, requiert plus.

Ainsi, au fil des mois, le résultat de vos prises de sang aidera votre spécialiste de la santé à voir avec vous de quelle façon pallier les carences, le cas échéant. Rappelez-vous avant tout que le fœtus nécessite de forts apports en fer, en calcium et en acide folique.

Assurez-vous donc de consommer du poisson, des œufs et des produits laitiers chaque jour, à moins d’avis contraire du médecin. Vous voudrez aussi vous tourner vers les céréales riches et les légumineuses, qui apporteront les protéines nécessaires à l’enfant.

En cas de malaise ou de doute quant à votre santé ou celle du futur bébé, consultez votre médecin et assurez-vous de prendre vos suppléments de vitamine C si vous ne consommez pas suffisamment d’aliments qui en contiennent.

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Où se cache le fer?

Que vous soyez anémique ou non, tout le monde a besoin de fer. Il s’agit d’un élément important pour la santé, ainsi que pour assurer une belle énergie tout au long de la journée.

Mais manger des épinards suffit-il à apporter la quantité de fer nécessaire à l’organisme? Selon topsante.com, la réponse est non. Encore plus, il semble que les épinards contiendraient somme toute très peu de fer!

En effet, on compte 3 milligrammes de fer pour 100 grammes d’épinards, ce qui n’est pas très élevé. Il semble qu’une erreur de typographie lors de la rédaction d’un rapport médical, en 1890, soit à l’origine de ce mythe.

Alors, où le fer se cache-t-il? Dans les aliments qui proviennent des animaux, semble-t-il. On parle ici de « fer héminique » (absorbé par l’organisme), retrouvé dans les poissons, le foie, les abats, le boudin, etc.

L’autre fer, non héminique (moins bien absorbé par l’organisme), serait plus présent dans les aliments végétaux.

En outre, les spécialistes conseillent d’ajouter de la vitamine C à ceux qui désirent augmenter leur taux de fer. Le jus d’orange, par exemple, favoriserait l’absorption du fer dans le corps lors des repas. Il en va de même pour les fruits et légumes.

Une autre bonne raison d’ajouter une part de légumes dans votre assiette.

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La viande rouge augmente les risques de cancer à cause du fer

La viande rouge était déjà liée à un risque accru de cancer de l’intestin, mais les scientifiques ont peut-être trouvé la cause de ce phénomène.

Selon le Daily Mail, les niveaux élevés de fer dans la viande rouge seraient en cause, mais seulement si la personne a un gène défectueux dans l’intestin, soit le gène APC.

Des souris ayant ce gène défectueux avaient entre deux et trois fois plus de risques de développer la maladie lorsqu’elles avaient une alimentation riche en fer.

Toutefois, lorsque le gène n’était pas défectueux, même avec une consommation de fer, les souris ne développaient pas plus de cancer.

Il est donc clair que le fer joue un rôle dans le développement du cancer. Seulement, des études plus approfondies doivent être effectuées pour parvenir à des conclusions claires et probantes sur le mécanisme en cause.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net