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La fertilité des garçons en jeu si la future mère fume

La cigarette est liée à d’innombrables conséquences néfastes, surtout pendant la grossesse. Une récente étude publiée dans la revue Human Reproduction démontre maintenant que la fertilité des garçons est à risque.

Il ne s’agit pas seulement de l’utilisation du tabac pendant la grossesse, mais aussi lors de l’allaitement, indique Science World Report.

Évidemment, les tests ont été effectués en laboratoire auprès d’animaux. « Il serait contre toute éthique d’exposer délibérément des femmes enceintes et leur progéniture aux toxines de la cigarette », explique l’auteure principale, Eileen McLaughlin.

« Nous savons déjà que fumer pendant la grossesse cause des dommages au fœtus, et ceux-ci sont souvent plus petits à la naissance et vulnérables à la maladie. C’est pourquoi nous avons utilisé des souris. »

Les résultats de McLaughlin et son équipe de Newcastle, en Australie, ont été concluants. « Nos résultats démontrent que les mâles de mères “fumeuses” avaient moins de spermatozoïdes, ceux-ci se déplaçaient avec difficulté, présentaient des formes anormales et étaient incapables de percer l’ovule dans le cadre de fertilisation in vitro. »

Par conséquent, explique la scientifique, les mâles adultes étaient peu fertiles ou totalement infertiles.

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Comment soutenir une copine qui entame la fécondation in vitro

En tant que copine, si vous souhaitez être à l’écoute pour celle qui entre dans ce cycle exténuant, vous devez savoir de quoi il s’agit. SheKnows propose de vous renseigner le plus possible.

Sachez d’abord qu’un couple qui procède à la fertilité in vitro a souvent traversé de nombreuses démarches et rencontré plusieurs fois l’échec pour tenter de fonder, sans succès, une famille. Il se peut qu’ils soient tous les deux un peu à fleur de peau.

Il ne faut pas confondre la fécondation in vitro avec l’insémination artificielle. Cette dernière représente l’insertion par le médecin du sperme d’un donneur dans l’utérus. Or, la FIV est plus complexe et onéreuse (environ 15 000 $ par essai).

Les embryons sont fécondés à l’extérieur en combinant du sperme et des ovules, les deux pouvant provenir de donneurs. Seulement 5 % des couples infertiles poursuivent vers cette procédure. Ce n’est que lorsqu’on obtient une fécondation réussie qu’elle est insérée dans l’utérus.

Vous devez donc comprendre que votre amie aura de fréquents rendez-vous, dont certains avec un psychothérapeute et un conseiller financier, fort probablement. Soyez simplement présente et à l’écoute, consciente des difficultés qu’elle traverse.

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Les traitements de fertilité concernent davantage les femmes hétérosexuelles

En fait, les femmes hétérosexuelles caucasiennes sont deux fois plus susceptibles de recourir à l’aide médicale pour tomber enceinte que leurs pairs homosexuelles ou de toute autre nationalité, lance une étude de l’Université de Virginie.

Les experts ont analysé les données d’une enquête effectuée auprès de 19 222 femmes âgées de 21 à 44 ans. Il appert que 13 % des femmes de race blanche hétérosexuelles ont profité de traitements de fertilité (assistance médicale, conseils de médecins spécialisés, chirurgie ou insémination artificielle).

Chez les femmes lesbiennes, ce sont 7 % d’entre elles qui ont eu recours à l’assistance médicale, et il en est de même pour les femmes de minorité visible. Chez les femmes bisexuelles ou homosexuelles de toutes autres nationalités, seulement 1 % d’entre elles ont profité de traitement de fertilité.

L’auteure principale de l’étude, Bernadette V. Blanchfield, suppose que l’une des principales raisons de cet écart constitue des assurances plus complètes chez les femmes caucasiennes.

L’étude parue dans le journal Health Psychology reproche au système d’être injuste et de manquer d’équité envers les femmes, rapporte Science World Report. 

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Les téléphones cellulaires pourraient aussi nuire à la fertilité masculine

Alors que plusieurs spécialistes rapportent certains dangers pour le cerveau inhérents à l’utilisation massive de téléphones cellulaires et intelligents, une nouvelle étude vient mettre en garde les hommes contre la surutilisation de ces appareils.

En effet, selon l’étude rapportée par The National Library of Medicine, les hommes qui gardent leur téléphone constamment dans leur poche pourraient subir des dommages au niveau de leur fertilité.

Les chercheurs britanniques derrière l’étude concluent que la viabilité du sperme peut être atteinte à cause de ces téléphones et des ondes qu’ils dégagent.

On propose même des statistiques alarmantes, alors que le pourcentage de fertilité des hommes utilisant et portant leur téléphone constamment oscille parfois autour de 8 % seulement. En comparaison, les hommes n’étant pas en présence constante d’un tel appareil présentent des statistiques de viabilité du sperme de 50 à 85 %.

« Vu l’échelle énorme d’utilisation des téléphones mobiles à travers le monde, le rôle potentiel d’une exposition environnementale doit être clarifié », croit l’auteure de l’étude, Fiona Mathews, de l’Université d’Exeter.  

Les résultats de l’étude, qui ne démontrent pas de cause à effet, ont été publiés dans le magazine Environment International.

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Les tomates au service de la fertilité masculine

Les hommes qui aimeraient voir leur capacité de reproduction augmenter en puissance pourraient n’avoir qu’à se tourner vers… les tomates.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude américaine, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs auraient découvert un lien entre la consommation de tomates et la création de nouveaux spermatozoïdes.

Les chercheurs basés à Cleveland estiment même à 70 % l’augmentation de spermatozoïdes chez les hommes qui consomment des tomates, un nombre plutôt impressionnant.

L’étude abonde dans le même sens que certaines précédemment publiées, qui vantaient elles aussi les mérites du lycopène et des antioxydants, retrouvés dans les tomates, sur la fertilité. Une recherche de Harvard ajoutait également le bêta-carotène à la liste des aliments qui permettent une plus grande fertilité chez les hommes.

« Si ces résultats sont encourageants, nous devons réaliser d’autres études de plus grande ampleur pour analyser les effets du lycopène sur l’infertilité masculine. Nous devons établir quels groupes de patients tireraient le plus grand bénéfice de ce régime », résume Ashok Agarwal, qui dirige l’étude.

On rappelle en terminant que les hommes qui aimeraient tenter l’expérience et bénéficier des atouts de la tomate devraient se tourner vers celles biologiques, qui contiendraient jusqu’à 40 % plus de vitamines et plus de deux fois plus de phénols.

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Changement de politique pour éviter les grossesses multiples in vitro

Les frais associés aux traitements de fertilité sont souvent la cause première qui porte les couples à tenter plus d’un embryon à la fois. Cependant, les risques associés à une grossesse multiple incluent la prématurité et d’autres complications qui peuvent être graves.

Ainsi, le Dr Pasquale Patrizio et ses collègues du Département de l’obstétrique, de gynécologie et des sciences de la reproduction de l’École de médecine de Yale ont rencontré les principaux intervenants du processus.

Patrizio a rassemblé les experts en fertilité, les représentants de l’industrie des assurances, les associations professionnelles ainsi que les bioéthiciens. Ensemble, ils ont examiné les causes et conséquences d’une grossesse multiple à la suite d’un traitement de fertilité.

Habituellement, un « cycle complet » coûte en moyenne 10 000 $ pour un traitement in vitro aux États-Unis. Or, ceci comprend une seule insémination.

Patricio a réussi à faire changer les politiques afin qu’un cycle complet comprenne deux inséminations individuelles, et les compagnies d’assurances suivront la cadence pour la couverture des frais.

Détails de l’étude : Fertility & Sterility.

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Mesdames, prenez de l’aspirine pour favoriser votre fertilité

Top Santé informe que déjà, les médecins conseillent aux femmes ayant subi une grossesse interrompue de prendre quotidiennement de l’aspirine. L’efficacité n’avait cependant jamais été confirmée par une étude scientifique.

C’est désormais chose faite. L’aspirine n’a eu aucune incidence sur le pourcentage de fausse couche durant les 6 mois de l’étude, mais elle a facilité le retour rapide de la fertilité après celle-ci.

Un suivi a été réalisé auprès de 1000 femmes divisées en deux groupes. Le premier prenait le médicament quotidiennement, alors que le second groupe se faisait administrer un placebo. 

Les chercheurs ont réalisé que la prise de l’aspirine faisait une réelle différence.

Groupe de femmes prenant de l’aspirine

– Patientes ayant subi une fausse couche : 62 % ont commencé une grossesse à l’intérieur de 6 mois.

– Patientes sans fausse couche : 78 % sont tombées enceintes dans le même délai.

Groupe de femmes avec le placebo      

– Patientes ayant subi une fausse couche : 53 % ont commencé une grossesse à l’intérieur de 6 mois.

– Patientes sans fausse couche : 66 % sont tombées enceintes dans le même délai.

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La protéine 73 et la fertilité masculine

Des chercheurs américains et allemands expliquent le lien qui existe entre une protéine spécifique et la capacité de reproduction masculine dans une nouvelle étude fort intéressante, rapporte Top Santé.

Les chercheurs de l’Université Göttingen en Allemagne et de l’Université Stony Brook de New York ont découvert qu’une protéine appelée P73 est nécessaire au bon fonctionnement du système reproducteur masculin, après avoir mené une série de tests et d’analyses sur des souris.

« Lors de la reproduction, deux types de protéines interviennent. La famille des protéines 53 et celle des protéines 63 qui, chez les mammifères, détruit les œufs et le sperme qui présentent des défauts et dommages à l’ADN. Nous avons constaté que sans la protéine 73, les spermatozoïdes n’étaient pas viables », peut-on lire dans les conclusions de l’étude allemande et américaine.

Si ces révélations ne veulent possiblement pas dire grand-chose pour commun des mortels, il est intéressant d’apprendre que celles-ci pourraient mener à de nouvelles possibilités en matière de traitement de l’infertilité masculine.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Cell Biology.

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Le stress s’avère l’ennemi de la fertilité

Le stress est une porte ouverte sur de nombreux ennuis de santé, qu’ils soient physiques ou psychologiques. Plusieurs études démontrent les impacts du stress sur la santé, qui peut même influencer la longévité d’un individu.

Une nouvelle étude américaine trace cette fois un parallèle entre le stress et l’infertilité, rapporte Santé Log, et semble confirmer la théorie précédemment avancée par une étude en provenance du Royaume-Uni.

L’étude de l’Université d’Ohio State analysait en effet un groupe de femmes afin de vérifier la corrélation possible, et a estimé à 29 % la réduction des chances d’une femme de tomber enceinte lorsque celle-ci présente des marqueurs biologiques de stress importants.

Les spécialistes croient donc que malgré la pression et le stress qui surgissent souvent lors de périodes de vaines tentatives de procréation, les couples ne doivent pas céder à la panique ou à l’angoisse, et s’assurer de demeurer étroitement liés.

Les conclusions complètes de l’étude américaine sur le stress et l’infertilité ont été publiées dans le magazine Human Reproduction.

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Le traitement public des troubles de la fertilité serait bénéfique

Que le gouvernement et le système public de santé s’occupent des traitements de fertilité et de fécondation in vitro auxquels ont recours des milliers de femmes est une bonne chose, selon une toute nouvelle étude sur le sujet.

C’est ce que rapporte Radio-Canada, qui reprend une étude en provenance de l’Université de l’Alberta, qui avait pour but d’évaluer les impacts d’une intervention publique en matière de traitement de l’infertilité.

Pour les chercheurs de l’Université de l’Alberta, l’intervention de l’État dans l’accompagnement de ces femmes désireuses d’avoir un enfant permettrait des traitements moins risqués et plus ciblés, ainsi qu’une réduction des frais généraux.

On parle d’une économie possible variant de 50 à 100 millions pour l’Alberta  si la province se lançait dans l’aventure publique, en plus d’un nombre réduit de naissances prématurées et de complications.

L’étude fait grand bruit dans les villes albertaines qui souhaitent voir le système public augmenter son soutien aux femmes et aux parents désireux d’avoir un enfant.

On estime à 16 % le nombre de citoyens canadiens aux prises avec des problèmes d’infertilité.