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L’infertilité masculine associée au cancer du testicule

Une recherche, publiée dans Archives of Internal Medicine, mentionne que les hommes infertiles ont plus de chances de recevoir un diagnostic du cancer du testicule.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe du Dr Thomas J. Walsh a analysé les dossiers médicaux de 22 500 hommes en couple ayant fait appel à des traitements de fertilité entre 1967 et 1998, pour ensuite comparer le taux de cancer chez ces candidats.

Les chercheurs concluent que ces hommes étaient 1,3 fois plus à risque de souffrir de ce type de cancer, comparativement à la population masculine en bonne santé.

Selon la Société canadienne du cancer, environ 24 700 hommes ont reçu un diagnostic de cancer du testicule en 2008 et 4 300 devraient en mourir.

 

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La fertilité, une question de dextérité?

Selon le Dr Jinliang Zhu, de l’Université d’Aarhus au Danemark, les personnes ambidextres seraient moins fertiles que les gauchers ou les droitiers.

Le chercheur a observé 9 000 couples pour en arriver à cette conclusion, mais ignore pourquoi les sujets qui ont la capacité naturelle d’utiliser leurs deux mains prennent plus de temps pour concevoir un enfant.

Une théorie veut que, lors de la gestation, le développement du cerveau chez le foetus ne se fasse pas normalement, notamment à cause d’un taux élevé d’hormones.

Tous les détails sont publiés dans la revue scientifique Epidemiology.

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Les plats à base de soja rendraient les hommes moins fertiles

Cette enquête réalisée sur une centaine d’hommes, qui se sont rendus dans une clinique pour faire évaluer leur taux de fertilité, montre que le sperme des hommes ayant mangé le plus de soja contient moitié moins de spermatozoïdes que celui des hommes qui n’en ont pas consommé.

Les patients interrogés par les chercheurs avaient régulièrement consommé des plats préparés à base de soja dans les trois mois précédents leur évaluation.

Ces résultats seraient encore plus prononcés chez les personnes obèses ou en surpoids.

Pour les chercheurs, il se pourrait que ce soit les isoflavones contenues dans le soja qui soient la cause de cette conclusion. En effet, de précédentes études réalisées sur des animaux avaient montré les effets négatifs des isoflavones sur la fertilité et la reproduction.

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Le soya, mauvais pour la fertilité?

Des chercheurs de l’Université Harvard croient que l’infertilité masculine pourrait être causée par une alimentation trop riche en soya, qui diminuerait la concentration de spermatozoïdes, particulièrement chez les hommes obèses.

Chez ces derniers, la concentration de spermatozoïdes diminuait à 41 millions par millilitres, comparativement à la moyenne de 80 à 120 millions par millilitres chez les hommes qui ne mangent jamais d’aliments à base de soya.

Pour le Dr Jorge Chavarro, auteur principal de l’étude, le soya pourrait augmenter la production d’oestrogène chez l’homme, ce qui aurait pour conséquence de diminuer la qualité du sperme.

« Il est encore trop tôt pour cesser de consommer des aliments à base de soya », affirme le Dr Chavarro, qui croit que d’autres recherches devront être effectuées pour corroborer la sienne, dont les résultats complets sont dévoilés dans le journal scientifique Human Reproduction.

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L’horloge biologique au masculin

Des scientifiques du Centre Eylau en France ont découvert que la gent masculine avait, elle aussi, une horloge biologique qui se met en branle à la mi-trentaine. Ce phénomène a été observé auprès de 12 000 hommes dont le couple a de la difficulté à concevoir un enfant.

Selon les chercheurs, le taux de fertilité des hommes est en déclin vers 35 ans et s’accentue davantage vers 40 ans, alors que le taux de grossesse était de 12,3 % lorsque le père avait moins de 30 ans et chutait à 9,3 % lorsque ce dernier avait atteint 45 ans et plus. Quant au taux de fausses couches, il passait de 13,7 % à 32,4 %.

Stéphanie Belloc, l’auteure principale de la recherche, commente : « Nos travaux montrent pour la première fois un lien étroit entre l’âge du père et le résultat de l’insémination intra-utérine, une information qui devrait être prise en compte dans les programmes de reproduction assistée. »

Selon la Dre Belloc, la dégradation de l’ADN dans le sperme pourrait expliquer cette découverte.

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Les hormones féminines liées au cancer de l’estomac

Selon un article publié dans le journal médical Gut, le nombre d’années de fertilité chez une femme semble jouer un rôle protecteur contre le cancer de l’estomac.

« Les facteurs hormonaux semblent avoir un effet sur le cancer du système digestif, mais des études plus poussées devront être effectuées », a tenu à préciser le docteur Neal D. Freedman, chercheur à l’Institut national du cancer de Rockville, au Maryland, qui a observé 74 442 femmes originaires de Shanghai pour cette recherche.

Plus l’âge de la ménopause était élevé, plus le risque de souffrir d’un cancer de l’estomac diminue. Le nombre d’enfants, l’allaitement et l’usage d’un contraceptif oral semblent également jouer dans la balance.

Selon le docteur Freedman, cette conclusion va dans le même sens que plusieurs autres recherches qui affirmaient que l’oestrogène et la progestérone protègent les femmes contre le cancer de l’estomac.

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Hausse des naissances au Québec

L’Institut de la statistique du Québec (ISQ) a livré son Bilan démographique du Québec, lequel précise que le taux de natalité québécois a augmenté de 8 % entre juillet 2006 et juillet 2007, ce qui représente une moyenne de 1,62 enfant par Québécoise.

Selon l’auteure de l’étude, Chantal Girard, une telle explosion des naissances ne s’était pas vue depuis 60-70 ans. Mais il est évident que ce bond spectaculaire de petits Québécois ne correspond en rien au baby-boom à la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

L’ISQ croit que la situation économique favorable, l’immigration de jeunes couples et les nombreux programmes gouvernementaux pour favoriser l’expansion des familles ont porté leurs fruits et pourraient expliquer la hausse des naissances.

Bien que la population québécoise ait atteint 7,7 millions d’habitants, Mme Girard affirme que le taux de 2,1 enfants par femme doit être atteint afin que la population se renouvelle.

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Les effets dissuasifs d’une césarienne

Selon une étude norvégienne publiée dans l’Obstetrics and Gynecology, un accouchement par césarienne rend les femmes plus réticentes à l’idée d’avoir une famille multiple.

Le Dr Mette C. Tollanes de l’Université de Bergen et son équipe ont étudié les dossiers médicaux de 596 000 femmes ayant mis au monde un premier enfant entre 1967 et 1996. Étaient exclues de la recherche exhaustive, les grossesses multiples, les femmes ayant changé de partenaire entre deux grossesses et celles qui sont décédées avant l’âge de 50 ans.

Selon les scientifiques, une naissance par césarienne ne diminue pas le taux de fertilité chez les femmes, mais les influence grandement dans leur projet de tomber à nouveau enceintes.

Cette conclusion ne peut qu’inquiéter les chercheurs puisque les accouchements par césarienne sont en hausse au Canada et aux États-Unis. Selon eux, cette méthode de naissance peut jouer un rôle dans la baisse du taux de natalité.

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Les effets dissuasifs d’une césarienne

Selon une étude norvégienne publiée dans l’Obstetrics and Gynecology, un accouchement par césarienne rend les femmes plus réticentes à l’idée d’avoir une famille multiple.

Le Dr Mette C. Tollanes de l’Université de Bergen et son équipe ont étudié les dossiers médicaux de 596 000 femmes ayant mis au monde un premier enfant entre 1967 et 1996. Étaient exclues de la recherche exhaustive, les grossesses multiples, les femmes ayant changé de partenaire entre deux grossesses et celles qui sont décédées avant l’âge de 50 ans.

Selon les scientifiques, une naissance par césarienne ne diminue pas le taux de fertilité chez les femmes, mais les influence grandement dans leur projet de tomber à nouveau enceintes.

Cette conclusion ne peut qu’inquiéter les chercheurs puisque les accouchements par césarienne sont en hausse au Canada et aux États-Unis. Selon eux, cette méthode de naissance peut jouer un rôle dans la baisse du taux de natalité.

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Le diabète et les troubles de l’ovulation sont liés

La dernière édition de la revue médicale The Lancet publie un article qui prétend que le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), qui cause des problèmes d’infertilité, serait accru par l’obésité et le diabète de type 2.

L’un des auteurs de cette recherche, le Dr Didier Dewailly, conclut que 80 à 90 % des problèmes d’ovulation sont reliés à ce type de diabète.

Les chercheurs conseillent donc aux femmes souffrant d’un surplus de poids de suivre un régime amaigrissant. L’ovulation et la fertilité chez la femme peuvent donc être rétablies particulièrement s’il y a perte de poids au niveau abdominal.

Le SOPK touche environ 60 % des Américaines obèses. En France, ce pourcentage chute à 40 %. Cette maladie se caractérise par la présence excessive de kystes sur les ovaires ainsi que par une activité inhabituelle des androgènes. On peut la détecter par la présence d’insuline et de lipides dans le sang.