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Les bébés nés de traitement de fertilité sont plus à risque d’avoir un cancer

Selon une nouvelle analyse portant sur 25 différentes études menées dans 12 pays, les couples qui subissent des traitements de fertilité ont des bébés qui ont un risque 33 % plus élevé de contracter un cancer pédiatrique.

Cette association était particulièrement significative pour la leucémie, le neuroblastome (un cancer du système nerveux), ainsi que le rétinoblastome (un cancer des yeux).

Les procédures médicales, comme la fécondation in vitro ou l’insémination, présentaient un risque similaire aux traitements hormonaux, comme la stimulation ovarienne.

Par contre, les chercheurs ont voulu rappeler que le risque absolu demeurait bas. Par exemple, au Danemark, l’un des pays étudiés, 9 % des bébés proviennent de traitements de fertilité. D’un point de vue statistique, cela voudrait dire qu’un cancer serait attendu pour chaque 4236e femme traitée.

« Il existe peut-être des mécanismes associés aux traitements de fertilité qui causent le cancer, par exemple des changements épigénétiques reliés à l’exposition aux hormones… Par contre, les couples infertiles pourraient également avoir d’emblée des anomalies génétiques dans leurs cellules reproductives, qui deviendraient exposées lors des traitements », a expliqué l’auteure de l’étude, Susanne Krüger Kjaer, selon MedPageToday.

Les résultats ont été publiés dans le journal médical Fertility and Sterility.

 

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Les problèmes de fertilité sont liés à des risques neurologiques pour les enfants

Dans le cadre d’une nouvelle étude, les données provenant de 209 bébés nés de couples considérés comme « sous-fertiles » ont été analysés. Parmi ceux-ci, certains ont eu recours aux techniques de procréation assistée, alors que d’autres ont fini par concevoir naturellement.

Parmi ces enfants, 16 (7,7 %) ont eu un problème neurologique mineur. Le problème était simple chez 10 enfants (un seul domaine cognitif affecté), et complexe chez les 6 autres (plusieurs domaines affectés).

Même lorsque les données ont été ajustées pour tenir compte de facteurs externes comme l’âge et le niveau d’éducation des parents, le risque est demeuré, et il est resté fortement associé à un temps plus long avant la conception.

« Ceci sous-entend que des facteurs associés à la sous-fertilité pourraient jouer un rôle dans la genèse des problèmes neuro-développementaux », a noté Mijna Hadders-Algra, l’auteure de l’étude, selon Med Page Today.

Les chercheurs croient que c’est la sous-fertilité elle-même, et non pas les traitements de fertilité, qui est associée à des problèmes potentiels.

Les résultats ont été publiés dans le journal Fetal & Neonatal Edition of Archives of Disease in Childhood.

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L’ostéopathie pour tomber enceinte?

L’ostéopathe Philippe Sterlingot affirme que de nombreuses femmes qui n’arrivent pas à tomber enceintes se tournent vers l’ostéopathie. Souvent, celles-ci se plaignent de problèmes lombaires, de règles douloureuses et de douleurs pendant les rapports sexuels, ce qui peut indiquer un dérèglement du système génital.

Ces problèmes peuvent être reliés à une mauvaise posture, un déséquilibre du bassin, des problèmes de développement reliés à la puberté ou encore à une infection.

L’ostéopathe tente ainsi de « réharmoniser » les organes perturbés pour leur redonner tout leur fonctionnement. Les manipulations effectuées permettent donc apparemment d’assouplir le périnée, de rendre l’utérus, les trompes et les ovaires plus mobiles ainsi que de faciliter l’implantation d’un embryon.

« L’efficacité de l’ostéopathie sur la fertilité féminine reste un sujet sensible, et elle n’est pas la solution à tous les problèmes de conception », prévient quand même M. Sterlingot.

Une récente étude sur le sujet a montré que 6 femmes sur 10 qui avaient des problèmes de fertilité et qui ont eu recours à l’ostéopathie sont ensuite tombées enceintes naturellement dans les trois mois suivants. Impossible par contre de savoir si elles ne seraient pas aussi tombées enceintes de toute façon…

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Trop de produits laitiers pourrait endommager le sperme

Le régime alimentaire d’un homme peut sensiblement faire varier ses capacités reproductives, selon plusieurs études et experts.
 
Mais de façon plus précise, une nouvelle étude annoncée par le site nlm.nih.gov déclare que les produits laitiers et les glucides seraient spécialement mauvais pour le sperme, et donc pour la reproduction en général.
 
Donc, plus un homme absorbe de lait et ses dérivés, plus ses chances de procréer diminuent, conclut l’étude effectuée à San Diego, Californie.
 
Du côté des femmes, on note des phénomènes similaires, alors que deux études sur la fertilité (in vitro) ont démontré que de hausser sa consommation de protéines tout en baissant celle de glucides leur permettrait d’augmenter leurs chances mathématiques de féconder.
 
Même si les liens sont plus qu’évidents aux yeux des chercheurs, l’effet de causalité n’a pas encore été prouvé hors de tout doute.
 
Ces plus récentes recherches ont été présentées à la réunion annuelle de l’American Society for Reproductive Medicine, par J.B. Russell.
 
Les chercheurs affirment par ailleurs que le taux de spermatozoïdes global est en déclin partout sur la planète, un phénomène appelé à grandir au courant du prochain siècle.
 
Il s’agit là d’une déclaration controversée et inquiétante.
 
Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net
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Le poids idéal pour tomber enceinte

Pour commencer, il est utile de connaître son indice de masse corporelle (IMC) avant d’essayer de tomber enceinte.

Celui-ci se calcule comme suit : le poids divisé par la taille au carré. Un IMC normal se situe entre 18,5 et 25. Au-dessous et au-dessus de cette valeur, il peut devenir difficile de concevoir un enfant.

Trop maigre – IMC inférieur à 18
Une femme trop maigre produira moins d’hormones GnRH qui régulent l’ovulation. Même une fois enceinte, le risque de fausse couche durant le premier trimestre est beaucoup plus important chez les femmes de cette catégorie.

Trop ronde – IMC supérieur à 25
Les femmes en surpoids (IMC de 25 à 29) ou obèses (IMC de 30 ou plus) risquent trois fois plus qu’une femme au poids normal de souffrir d’infertilité. Celle-ci est souvent également liée à l’absence d’ovulation.

Peu importe votre poids, la préconception n’est pas le temps de faire un régime trop strict! Rappelez-vous que les carences alimentaires influencent elles aussi la fertilité. C’est toujours une question d’équilibre…

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Le poids idéal pour tomber enceinte

Pour commencer, il est utile de connaître son indice de masse corporelle (IMC) avant d’essayer de tomber enceinte.

Celui-ci se calcule comme suit : le poids divisé par la taille au carré. Un IMC normal se situe entre 18,5 et 25. Au-dessous et au-dessus de cette valeur, il peut devenir difficile de concevoir un enfant.

Trop maigre – IMC inférieur à 18
Une femme trop maigre produira moins d’hormones GnRH qui régulent l’ovulation. Même une fois enceinte, le risque de fausse couche durant le premier trimestre est beaucoup plus important chez les femmes de cette catégorie.

Trop ronde – IMC supérieur à 25
Les femmes en surpoids (IMC de 25 à 29) ou obèses (IMC de 30 ou plus) risquent trois fois plus qu’une femme au poids normal de souffrir d’infertilité. Celle-ci est souvent également liée à l’absence d’ovulation.

Peu importe votre poids, la préconception n’est pas le temps de faire un régime trop strict! Rappelez-vous que les carences alimentaires influencent elles aussi la fertilité. C’est toujours une question d’équilibre…

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Nouvelle procédure permettant d’accroître la réussite de la fertilisation in vitro

La procédure expérimentale cible les blastocystes (un embryon âgé de quelques jours seulement) de meilleure qualité, en prélevant quelques cellules, puis en effectuant un test sur les chromosomes.

Les blastocystes parfaits, c’est-à-dire ceux qui ont 46 chromosomes, sont ensuite congelés pendant au moins un mois avant d’être implantés dans l’utérus de la femme.

Les chercheurs indiquent que la congélation augmente les chances de succès de la fertilisation in vitro, en permettant au système reproductif de la femme de revenir à la normale après tous les médicaments pris pour obtenir les blastocystes.

« Ce que nous avons réussi à établir, c’est que l’implantation de la grossesse est indépendante de l’âge de la femme. Donc, si une femme de 38 à 42 ans a un blastocyste avec un nombre normal de chromosomes, ses chances d’implantation sont les mêmes qu’une femme de 32 ans, c’est-à-dire 60 % », a expliqué la Dre Mandy Katz-Jaffe.

Certains médecins ont toutefois noté que la procédure était « controversée » sur le plan de l’éthique, selon ce que rapporte le Daily Mail.

Environ 1200 femmes aux États-Unis ont déjà eu recours à la procédure, qui coûte autour de 3185 $.

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Des souris éclairent les chercheurs en fertilité

Les ovules peuvent se réparer d’eux-mêmes à la suite des dommages causés par la radiation, déclarent les chercheurs en fertilité, tel que rapporté par le site nlm.nih.gov.

Ceci ravive l’espoir des femmes qui doivent subir des traitements contre le cancer de contrer les problèmes éventuels d’infertilité liés à ce type de thérapie.

Même si les sujets-tests ne sont limités pour l’instant qu’aux souris, les chercheurs de l’étude croient fermement que le lien est direct et s’applique également aux femmes.

Outre les patientes en traitement pour le cancer, l’étude est un vent d’optimisme pour les femmes souffrant d’une ménopause précoce, une condition qui augmente les risques d’infertilité, ainsi que celles atteintes d’ostéoporose et de maladies cardiaques.

Dans un papier qui devrait être publié dans l’édition du 9 novembre du Molecular Cell, on allègue que des chercheurs australiens ont découvert que les ovules ne sont pas tués par la radiation, comme on aurait pu le croire auparavant.

En fait, ils le sont par deux protéines du nom de Puma et Noxa, qui entreraient en action dès qu’une anomalie ou un dommage est détecté dans les ovules.

Dans les expériences conduites, les souris qui ne possédaient pas ces protéines produisaient des ovules qui survivaient aux radiations, tout à fait capables de féconder naturellement.

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La fertilité masculine restaurée grâce à des protéines

En fait, l’infertilité causée par l’absence d’une protéine vitale pourrait être guérie. L’injection de cette protéine pourrait donc augmenter les chances de devenir père.

C’est ce qu’ont découvert les chercheurs de la Cardiff University. La protéine, appelée PLC-zeta (PLCz), pourrait être injectée dans l’ovule, activant ainsi le développement de l’embryon.

Toutefois, les experts soutiennent que de fertiliser l’ovule avec une forme défectueuse de la protéine, qui peut être responsable de l’infertilité dans certains cas, n’activait pas le développement de l’embryon.

« Nous savons que certains hommes sont infertiles parce que leur sperme ne réussit pas à activer l’ovule. Même s’il fusionne avec l’ovule, rien ne se produit. Ces spermes peuvent manquer d’une version fonctionnelle de PLCz, qui est essentielle pour activer la prochaine étape de la grossesse », explique l’un des principaux chercheurs de cette étude, Tony Lai.

Rappelons par ailleurs que les hommes infertiles seraient plus à risque d’être frappés par le cancer du testicule. Des chercheurs ont conclu que ces hommes étaient 1,3 fois plus à risque de souffrir de ce type de cancer, comparativement à la population masculine en bonne santé.

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Près de 9 femmes sur 10 ignorent leur date d’ovulation

Ce qui semble élémentaire représente plutôt une surprise d’ampleur. On parle ici d’une recherche effectuée auprès de 204 femmes qui ont consulté un spécialiste à la suite de problèmes de fertilité.

Selon famili.fr, l’étude s’est déroulée dans deux cliniques de Melbourne. Alors que 68 % des femmes disaient être certaines d’avoir tout fait pour que la chance leur sourie, seulement 13 % connaissaient réellement leurs journées d’ovulation.

Plus étonnant encore, Kerry Hampton, principale auteure de l’étude, affirme que la majorité des patientes se disaient mal informées ou trop peu informées quant à la fertilité.

« Une mauvaise connaissance des périodes de fertilité pourrait figurer parmi les freins à la fertilité. Il existe un fossé entre les besoins qui existent en matière d’éducation à la fertilité des femmes et ce que les professionnels estiment nécessaire de leur fournir en la matière », a indiqué Hampton.

De nos jours, les gens se fient trop aux livres et à Internet pour trouver ce type d’information. Le spécialiste demeure cependant celui qui est le mieux placé pour informer les patientes. Il ne faut donc pas hésiter à poser toutes les questions qui nous préoccupent.