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Les oméga-3 à privilégier pour une meilleure fertilité

Encore une fois, une étude pointe du doigt une mauvaise alimentation pour expliquer la baisse de la qualité du sperme chez les hommes en âge de procréer.
Dans les dernières années, on a remarqué que le sperme des hommes avait perdu de sa qualité. L’environnement, les pesticides et les produits chimiques ont été pointés du doigt, mais l’alimentation joue aussi un rôle sur la fertilité humaine.
 
Une étude américaine menée sur 99 hommes entre décembre 2006 et août 2010 démontre que ceux qui consommaient le plus de graisses saturées avaient 35 % moins de spermatozoïdes que les autres. Les hommes qui privilégiaient les omégas-3 avaient un meilleur sperme.
 
Cette nouvelle étude parue dans le Human Reproduction confirme les résultats d’une autre recherche récente sur le sujet.
 
Toutefois, un nombre de 99 hommes n’est pas élevé pour une étude scientifique. Pour cette raison, on souhaite confirmer les résultats avec une recherche portant sur un plus grand nombre de participants.
 
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L’exercice physique peut empêcher la fertilité des femmes

L’exercice physique, comme une marche quotidienne, est bon pour la femme qui désire devenir enceinte. Cependant, si l’on ne veut pas retarder les chances de conception, il faut éviter le vélo rapide, la natation, la gymnastique, la course et les autres activités à effort extrême plus de cinq heures par semaine.

L’entraînement physique intense est à proscrire chez les femmes de poids normal (IMC moins de 25) qui veulent être enceintes. Selon des études antérieures, l’activité physique intense peut perturber le cycle menstruel, conduire à une absence d’ovulation et même à l’absence de menstruations. Il peut également nuire à l’implantation lorsqu’un ovule fécondé se fixe à la paroi de l’utérus.

Pour celles qui ont un surplus de poids ou qui sont obèses, pour des raisons inexpliquées et encore plus ou moins claires, l’activité physique vigoureuse n’a pas d’impact sur la fertilité.

L’obstétricien et gynécologue Dimitrios Mastrogiannis de l’École de médecine universitaire à Philadelphie explique cette donnée au fait que les tissus adipeux chez la femme obèse produisent plus d’œstrogènes, et ce, peu importe le mode de vie.

Toutefois, le spécialiste tient à préciser que « l’exercice est une bonne chose. Il est lié à moins de risque de maladie cardiovasculaire, de cancer et de diabète. Il permet aussi de meilleures grossesses, un travail plus facile, moins de douleur et moins de naissances induites. Les femmes non obèses, selon cette dernière étude, devraient toutefois s’en tenir à de l’exercice aérobique modéré, si elles veulent améliorer leurs chances de tomber enceintes ».

Les chercheurs de cette récente étude de l’École de santé publique de l’Université de Boston ont observé le mode de vie de 3628 Danoises de 18 à 44 ans qui tentaient de concevoir un enfant avec un partenaire stable, sans traitements de fertilité.

Les résultats de l’étude, qui n’a pas prouvé un lien de cause à effet, ont été publiés dans le journal Fertility and Sterility.

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De l’espoir pour les femmes qui ont de la difficulté à tomber enceintes

Selon une étude australienne publiée dans le journal Fertility and Sterility, près de la moitié des femmes qui ont dit avoir eu du mal à tomber enceinte pendant au moins un an ont fini par avoir un bébé, sans avoir recours à un traitement de fertilité.

En effet, 1400 femmes âgées de 28 à 36 ans, sur 7000 Australiennes qui ont répondu à un questionnaire, ont déclaré avoir eu de la difficulté à tomber enceintes. Sur ce nombre, 53 % ont réalisé leur rêve grâce à un traitement de fertilité, et 44 % ont redoublé de patience pour y arriver naturellement.

Parmi toutes, aucune différence majeure n’a été remarquée concernant la santé des bébés à la naissance (prématuré, mort-né, etc.).

En général, les spécialistes disent qu’il n’y a environ que 15 % des femmes qui ne réussiront pas à concevoir, mais après un an ou même deux d’essai, elles parviendront à leur but. Parmi le 15 %, seulement 3 à 5 % sont des cas de stérilité.

Les chercheurs disent être conscients de l’excitation, du désir et de l’empressement des femmes à vouloir devenir mère. Cependant, ils croient que les couples devraient être plus optimistes, patients et persévérants dans leur démarche de fécondation naturelle, et ce, surtout lorsque la femme a moins de 36 ans, qu’elle ovule régulièrement, que l’homme produit assez de sperme et que le couple a passé des tests médicaux qui se sont avérés normaux.

Les experts indiquent que les résultats pourraient être davantage précisés en examinant, dans de futures études, l’impact du changement de partenaire sexuel, du régime alimentaire et du mode de vie sur la fécondité.

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Pour être fertiles, prenez du soleil!

Connue comme la vitamine du soleil, la vitamine D est essentielle pour l’équilibre des hormones sexuelles chez la femme et l’amélioration de la numération des spermatozoïdes chez les hommes, selon des chercheurs. Ces derniers croient d’ailleurs que certains couples devraient dépenser pour des vacances au soleil, plutôt que d’être soumis à un traitement de fertilité inutile et coûteux.

Pour les femmes, la vitamine D contribue à augmenter le niveau de progestérone et d’œstrogène de 13 % et la régulation des cycles menstruels de 21 %.

Pour les futurs papas, la vitamine D est essentielle pour le développement sain du noyau de chaque spermatozoïde. Elle augmente également le niveau de testostérone et l’amélioration de la libido chez l’homme, selon l’étude publiée dans l’European Journal of Endocrinology.

En effet, l’impact de la vitamine D sur les hormones sexuelles mâles et femelles peut expliquer pourquoi le taux de conception est à la baisse en automne et à l’hiver, et à son apogée l’été dans les pays de l’Europe du Nord, expliquent les chercheurs de l’Université médicale de Graz, en Autriche.

Malgré ce fait, les spécialistes rappellent aux couples de ne pas se surexposer au soleil, favorisant ainsi un possible développement du cancer de la peau.

Les rayons UVB représentent 80 % du procédé chimique dont a besoin l’organisme en consommation de vitamine D. De petites quantités peuvent être également consommées grâce aux poissons gras et aux œufs. La vitamine D peut aussi favoriser la réduction de syndrome de mort subite du nourrisson et les problèmes de santé mentale chez les enfants.

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Une invention pour les hommes infertiles

Selon le site internet 7sur7.be, grâce à un soutien financier considérable, une équipe de chercheurs de San Francisco a réussi à créer « une machine à faire du sperme biologique ».

Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, il se pourrait fortement que d’ici 5 à 7 ans, un testicule artificiel produise du sperme humain.

Pour le moment, peu de détails sont dévoilés sur ce prototype qui a la forme d’un petit sac cylindrique. On sait toutefois qu’il devra être remplacé après chaque cycle de reproduction des spermatozoïdes, soit tous les 70 jours.

Selon les spécialistes, le dispositif a grandement besoin d’être perfectionné, mais cette découverte s’avère encourageante pour bien des couples qui ont de la difficulté à concevoir et qui pourraient voir leur rêve devenir réalité, à court moyen terme.

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Quand sonne l’horloge biologique des hommes…

La majorité des études concernant l’infertilité portent sur les femmes, mais voilà que de nouvelles recherches, effectuées à l’Université de Toulouse et publiées dans la revue Human Reproduction, se sont penchées sur les problèmes de fertilité de la gent masculine.

Les chercheurs ont constaté que l’horloge biologique du futur père est un facteur non négligeable, en ce qui a trait au succès de la fertilité au sein d’un couple.

En effet, l’âge de l’homme — et plus précisément si celui-ci excède 35 ans — constitue un facteur de risque clé qui réduirait les chances d’avoir un enfant.

Les spécialistes encouragent donc les couples souhaitant devenir parents à ne pas attendre trop longtemps et à consulter plus tôt.

Pour arriver à ces conclusions, et dans le but d’évaluer la probabilité d’avoir un enfant, les spécialistes ont suivi 1735 couples pendant 4 ans, jusqu’à l’arrêt d’un traitement par assistance médicale à la procréation (AMP) ou jusqu’à la naissance d’un enfant.

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La médecine chinoise aide à la fertilité

Une équipe de l’Université de Tel-Aviv, en Israël, a comparé des couples ayant recours à l’insémination intra-utérine (IIU) et le taux de réussite de fécondation entre ceux qui reçoivent des soins tels que la phytothérapie chinoise et l’acupuncture et ceux qui n’en reçoivent pas.

En combinant la IIU aux traitements traditionnels asiatiques, 65,5 % du groupe d’essai a été capable de concevoir, par rapport à 39,4 % du groupe témoin qui n’a pas reçu la phytothérapie ou l’acupuncture.

Des séances hebdomadaires d’acupuncture et un régime de plantes médicinales chinoises étaient au programme. Un succès légèrement plus élevé a même été remarqué auprès des femmes plus âgées.

Les possibilités que les plantes médicinales et l’acupuncture puissent affecter l’ovulation et le cycle menstruel, améliorer le flux sanguin vers l’utérus, améliorer la production d’endorphine et induire le calme sont toutes des théories expliquant la raison pour laquelle la médecine chinoise peut être bénéfique pour le taux de fécondité.

Les scientifiques ont dit que ces méthodes naturelles peuvent être utilisées par les femmes qui ont recours à des donneurs de sperme, ou encore si le sperme d’un partenaire a été centrifugé pour que sa motricité s’améliore dans l’utérus.

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Plusieurs années avant la grossesse, mangez bien!

En octobre dernier, des spécialistes ont conclu qu’une saine alimentation avant, pendant et après la grossesse assurait le bon développement et les effets positifs à plus long terme chez l’enfant.

Cette constatation a été rendue publique lors du Colloque du Fonds français pour l’alimentation et la santé, ayant pour thème Les déterminants précoces de la santé future de l’enfant.

Du type de nutriments consommé par le père, qui pourrait avoir une influence sur la qualité du sperme, à la perte ou prise de poids importante avant la grossesse par la mère, en passant par le stress, l’alimentation excessive ou insuffisante au mode de vie et l’environnement, tous sont des facteurs déterminants sur la santé et le futur des enfants.

Plusieurs séries d’études le démontrent, une mauvaise alimentation peut avoir un impact tant sur la fertilité que sur le développement du fœtus, ou encore lorsque l’enfant deviendra adulte.

Selon la Dre Marie-Aline Charles, « le potentiel de croissance fœtale s’adapte à l’état nutritionnel maternel avant la grossesse ».

Il est donc important de prendre soin de soi et de bien se nourrir, même plusieurs années avant de tomber enceinte, car cela aura une grande influence. Le dicton « Il vaut mieux prévenir que guérir » s’applique plus que jamais dans ce cas-ci…

 
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Vaste étude sur la FIV

La fécondation in vitro comporterait certains risques pour la santé de la femme. On lit donc sur Medscape les résultats d’une vaste étude, OMEGA, qui a évalué les risques encourus par le médicament utilisé lors d’une FIV.

C’est que l’emploi de ce médicament propre aux traitements de fertilité pourrait augmenter les risques de cancer des ovaires chez la femme. On a donc suivi près de 20 000 femmes qui avaient subi au moins 1 cycle de fécondation in vitro de 1983 à 1985.
 
D’autre part, un groupe de contrôle a aussi été suivi; il était formé de 6000 femmes qui n’avaient pas reçu ce type de traitement de fertilité.
 
Par rapport aux taux observés dans la population en général, les femmes qui avaient reçu au moins une fois un traitement de FIV étaient exposées à de plus forts risques de cancer des ovaires. Une telle augmentation n’a pas pu être relevée au sein du groupe de contrôle.
 
Les chercheurs de cette étude concluent donc que les traitements de stimulation de la fertilité pourraient augmenter les risques de tumeurs (malignes) des ovaires. Une hausse a particulièrement été présente au cours de l’année qui suivait la FIV.
 
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Une meilleure alimentation pour augmenter la fertilité des hommes

Couper la viande rouge, le café et l’alcool permet aux hommes d’augmenter leur fertilité, surtout s’ils optent pour une alimentation riche en fruits et céréales.
 
Par le passé, la mauvaise alimentation et l’obésité avaient clairement été liées à une fertilité réduite chez les femmes, mais les preuves n’étaient pas aussi claires chez les hommes.
 
Voilà que le Fertility and Sterility révèle une étude établissant les mêmes liens pour les hommes que pour les femmes. Une mauvaise alimentation réduit donc les chances de fonder une famille.
 
L’étude a été faite avec 250 hommes dont les conjointes ont eu un type de traitement de fertilité appelé injection intracytoplasmique de spermatozoïdes.
 
En mangeant surtout des fruits, des légumes, des céréales et en coupant les viandes rouges et l’alcool, la concentration de spermatozoïdes est augmentée et la mobilité de ceux-ci est améliorée.