Catégories
Uncategorized

Le régime méditerranéen augmente la fertilité des femmes

Le journal Fertility and Sterility indique qu’une étude espagnole démontre que le régime méditerranéen favoriserait la fertilité des femmes.
 
Ce type d’alimentation est surtout composé de fruits, légumes, poissons et huile d’olive. Depuis longtemps, on louange les bienfaits du régime méditerranéen, notamment en raison du fait qu’il est riche en vitamines et contient de bonnes graisses.
 
Des 500 femmes qui ont participé à l’étude, les 17 % qui avaient suivi rigoureusement le régime méditerranéen ont vu leur taux de fertilité grimper de 26 %, comparativement à celles qui avaient fait un suivi moins attentif.
 
Naturellement, les recherches doivent s’approfondir avant de recommander fermement le régime aux femmes qui souhaitent avoir des enfants.
 
Parmi les bienfaits reconnus de cette alimentation, on note une augmentation de l’espérance de vie, une réduction des risques d’obésité, de diabète et de maladies cardiovasculaires. Certains ont même affirmé que le régime méditerranéen pouvait aider à lutter contre la dépression.
 
Catégories
Uncategorized

L’horloge biologique mâle

On entend le plus souvent parler de l’horloge biologique des femmes, mais il semble que les hommes en auraient une bien à eux. Il semble que passé la quarantaine, un homme a de moins en moins de chances de devenir père, comme lu sur Mail Online.

Précisément, fonder une famille après l’âge de 41 ans serait moins facile pour un homme, car sa fertilité entame alors un déclin exponentiel. Et après 45 ans, ce serait encore plus marqué.

Bien sûr, comme on voit beaucoup de pères âgés (comme Rod Stewart, papa pour la 8e fois à 66 ans), on est porté à croire que cette baisse est légère, ou qu’elle ne touche pas tous les hommes.

Toutefois, dans une étude ayant porté sur des patients pour une fécondation in vitro, dans le cas où le sperme d’un homme fertilisait un ovule de donneuse, la baisse de fertilité de 41 à 45 ans était réelle, même que passé cet âge, elle suivait vraiment une courbe exponentielle.

En chiffres, il s’est avéré que les chances de grossesse étaient de 60 % si l’homme avait 41 ans, et de 35 % s’il en avait 45. Les hommes ont donc leur propre horloge biologique, même si elle ne cause pas nécessairement les mêmes effets que chez les femmes.

Catégories
Uncategorized

Le syndrome de Down relié aux BPA

Le bisphénol A est sous la loupe depuis quelques années. Les possibles conséquences d’une exposition à cette substance omniprésente dans les produits en plastique sont de plus en plus nombreuses.

Cette fois, on apprend dans Human Reproduction qu’elle peut altérer le développement des ovocytes et des futurs ovaires chez la femme. Cet effet réduirait possiblement la fertilité de la progéniture de la femme, en plus d’augmenter la prévalence du syndrome de Down dans les générations suivantes.

Rappelons que le syndrome de Down est ce que nous appelons couramment la trisomie 21. Il s’agit d’une maladie chromosomique congénitale qui est engendrée par un chromosome surnuméraire à la 21e paire. Ses signes physiques sont reconnaissables, et elle entraîne un retard cognitif. La trisomie 21 est la maladie génétique la plus commune.

Des chercheurs ont analysé plus de 21 000 ovocytes in vitro pour établir cette corrélation. L’exposition aux BPA aux degrés permis par les autorités de la santé comporterait en fait des dangers pour le fœtus.

Le risque d’échange de chromosome se trouverait par ailleurs doublé par cette exposition. L’analyse du chromosome 21 en particulier, dans le développement de 90 ovocytes, a indiqué un plus grand risque du syndrome de Down chez la future progéniture du fœtus.

Catégories
Uncategorized

L’infertilité a une cause cérébrale

On prévoit que l’infertilité touchera un plus en plus grand nombre de personnes dans le monde au cours de la prochaine décennie. Une récente découverte transformera notre approche de ce problème majeur.

Un chercheur de l’Inserm, Vincent Prévot, soutenu par ses collaborateurs, vient de présenter ses résultats dans PNAS quant à une cause cérébrale de l’infertilité.

En résumé, une hormone serait au cœur du problème, la prostaglandine E2. Cette dernière est libérée par les cellules gliales – lesquelles assurent la nutrition et le soutien des neurones – et elle s’avère indispensable au déclenchement des fonctions reproductives. Celles-ci sont déclenchées par une suite d’événements se situant dans le cerveau.

La libération de la prostaglandine E2 est nécessaire à l’activité électrique des neurones à GnRH, lesquelles sont inévitables pour que le processus de puberté et de fertilité soit enclenché.

Une déficience à ce niveau engendrerait un retard pubertaire ou une faible fertilité. On envisage déjà de futurs traitements des problèmes de fertilité d’origine centrale.

Il s’agit d’une découverte majeure, car comme l’explique Vincent Prévot : « L’identification de cette hormone […] ouvre de nouvelles pistes thérapeutiques pour le traitement des troubles de la fertilité. »

Catégories
Uncategorized

Le groupe sanguin influence la fertilité

Les femmes de 30 ans qui sont du groupe sanguin O auraient plus de problèmes de fertilité que les autres, selon Reproduction. Elles connaîtraient aussi moins de succès lors d’une fécondation in vitro et produiraient moins d’ovules.

Une étude menée par la Yale University School of Medicine abonde effectivement en ce sens. On comprend donc que même au sein des femmes en parfaite santé, la fertilité peut être influencée par le sang.

Après avoir suivi 544 femmes, on a remarqué que si la production d’ovules baissait durant la trentaine, le phénomène tendait à survenir plus tôt chez celles étant du groupe sanguin O, soit dans la vingtaine. Cette baisse était deux fois plus fréquente chez ces dernières que chez celles des groupes A et AB.

Mentionnons que l’âge moyen des participantes était de 35 ans et que toutes suivaient un traitement de fertilité.

Catégories
Uncategorized

Des incontournables pour améliorer la fertilité

Oubliez les trucs de grand-maman ou les différents produits naturels miracles pour améliorer vos chances de tomber enceinte.

Intégrez plutôt les oranges à vos collations. Selon timesofoman.com, la vitamine C et les antioxydants qu’elles contiennent préviennent les radicaux libres qui endommagent les cellules du corps. De plus, les oranges augmentent la qualité du sperme.
 
Les autres aliments efficaces sont les tomates, le brocoli et les fraises.
 
Prenez aussi du soleil régulièrement. Les dépressions saisonnières dues au manque de soleil sont prouvées. Les experts affirment pourtant que la lumière du soleil est bénéfique pour l’ovulation et les hormones de reproduction, tant pour l’homme que la femme.
 
Boire de l’eau est essentiel pour le transport des hormones et le développement du sperme. Comme nous perdons de l’eau chaque jour à travers la sueur, l’urine et même la respiration, l’apport d’eau est primordial. Pensez aussi aux fruits tels que le melon d’eau, qui contribuera à votre consommation quotidienne.
 
Un sommeil réparateur garantit aussi une meilleure fertilité. Pendant la nuit, le corps récupère. C’est aussi vrai pour les oestrogènes et la progestérone. Ainsi, évitez le stress qui cause des troubles du sommeil et surtout, coupez sur le café. Il est prouvé que la caféine élimine le zinc de notre corps, alors que celui-ci est crucial pour la fertilité, surtout chez les hommes.
 
Finalement, bougez! Vous permettrez ainsi une meilleure circulation et un apport supplémentaire d’oxygène aux cellules.
 
Catégories
Uncategorized

L’importance de cesser de fumer avant le 3e mois de grossesse

Les impacts de la cigarette sur le fœtus sont multiples. La femme enceinte a tout intérêt à cesser le tabagisme, au plus tard après 8 semaines de grossesse. De cette façon, elle évitera d’influencer directement le poids de l’enfant à la naissance.

Une étude récemment menée à l’Université de Southampton rapporte que les femmes qui arrêtent de fumer dans les 2 premiers mois de grossesse se garantissent une meilleure chance d’accoucher d’un bébé de même poids qu’une non-fumeuse.

Le professeur de gynécologie obstétrique Nick Macklon, responsable et porte-parole de l’étude, affirme qu’il s’agit d’un message d’espoir pour les futures mères qui ont de la difficulté à cesser le tabagisme. Il demeure prudent quant au positivisme de cette recherche, puisque poursuivre la cigarette après 8 semaines affecte fortement le poids du bébé.

D’autre part, une étude effectuée au Danemark en 2010, menée par une équipe de gynécologues dirigée par le docteur LS Mamsen, relate que fumer pendant le premier trimestre de la grossesse influence la fertilité de l’enfant à venir.

Il s’agit donc de résultats à double tranchant. Il n’en demeure pas moins que la femme qui souhaite procréer devrait suivre un programme pour arrêter de fumer avant même de tomber enceinte, en se rappelant qu’elle le fait pour elle-même, mais surtout pour son enfant.

Catégories
Uncategorized

Le yoga augmente les chances de concevoir un enfant

Pratiquer le yoga en complément de traitements de fécondation in vitro (FIV) augmenterait la fertilité des femmes, rapporte le journal Métro.
 
Vouloir concevoir un enfant peut être stressant pour une femme, qui peut ainsi se mettre beaucoup de pression. Le stress peut donc affecter l’ovulation et même l’interrompre.
 
« Une femme peut être obnubilée par son désir de devenir enceinte, à un point tel que son couple en souffre. Ainsi, les relations sexuelles s’en trouvent réduites à leur fonction procréatrice, ce qui crée bien des tensions entre les amoureux. Pourtant, on ne peut pas concevoir un bébé comme on planifie une réunion! » explique la professeure de yoga Jane Kersel.
 
Avec des traitements de FIV, pratiquer le yoga augmenterait les chances de conception. Le yoga détend profondément le corps, en plus de le rééquilibrer et de l’énergiser.

Comme le yoga aide aussi à équilibrer les hormones, sa pratique est donc suggérée après un accouchement également.

Catégories
Uncategorized

Les hommes obèses sont moins fertiles

On savait déjà que les femmes en surpoids ou trop minces pouvaient avoir des troubles d’ovulation, diminuant ainsi leurs chances d’être mères. Cependant, des chercheurs européens ont découvert qu’il en était de même pour les hommes.
 
Après avoir fait une étude dans des laboratoires de douze pays, regroupant ainsi un total de 1 940 hommes, on constate que plus un homme est gros et moins son sperme sera de qualité.
 
Le surpoids entraînerait un changement des paramètres du sperme, ce qui se traduit en des spermatozoïdes moins nombreux, moins mobiles et moins vigoureux, diminuant donc les chances de concevoir un enfant.
 
Les résultats de ces travaux ont été présentés lors du congrès de l’European Society of Human Reproduction (ESHRE).
 
Durant l’étude, on a examiné le volume du sperme des participants, le pH, la concentration de spermatozoïdes ainsi que la mobilité, la quantité et la vitalité de ces derniers. Puis, on a regardé les formes atypiques des spermatozoïdes.

On a établi un lien avec l’indice de masse corporelle et conclu que la qualité du sperme diminue avec une augmentation du poids. Toutefois, cela est réversible et si un homme perd du poids, son sperme en sera amélioré.

Catégories
Uncategorized

Le tabagisme d’un père cause une ménopause précoce chez sa fille

Le journal Fertility and Sterility dévoile une nouvelle étude sur les effets du tabac sur les enfants.
 
On remarque que si un homme fume durant la grossesse de sa femme, il peut causer une ménopause précoce chez sa fille plus tard.
 
Des études précédentes avaient mentionné que le tabagisme durant la grossesse pouvait affecter la fertilité du bébé plus tard, diminuant donc ses chances de concevoir un enfant à son tour.
 
Après avoir interrogé 1 000 femmes ménopausées, les chercheurs constatent qu’elles ont eu leur ménopause à 51 ans en moyenne. Chez les femmes qui fumaient elles-mêmes, on notait que la ménopause avait débuté 14 mois plus tôt. Si leur mari fumait, elle avait débuté cinq mois plus tôt, ce qui n’est pas statistiquement significatif.
 
Les chercheurs ne sont pas parvenus à déterminer l’influence du tabagisme de leur mère sur la ménopause de ces femmes. Par contre, si leur père fumait, on note que leur ménopause avait débuté 13 mois plus tôt que chez celles qui n’avaient pas été exposées au tabagisme.
 
Des études supplémentaires sont nécessaires afin d’éclaircir la situation, car on ignore si ce sont les effets du tabagisme durant la grossesse ou l’exposition durant l’enfance qui a le plus d’influence sur une ménopause précoce.