Catégories
Uncategorized

Fumer durant la grossesse diminue la fertilité des enfants

Récemment, une étude danoise disait que les femmes qui buvaient de l’alcool durant leur grossesse diminuaient la fertilité de leurs petits garçons.
 
Maintenant, une nouvelle étude rapportée par Le Quotidien du médecin, également réalisée par des chercheurs de Copenhague, déclare que le tabagisme maternel affecte également la fertilité des enfants.
 
Les gynécologues ont examiné des embryons issus d’interruptions volontaires de grossesse. Ils ont remarqué que le tabagisme maternel réduisait de 55 % la fertilité des garçons. Les cellules germinales qui sont susceptibles de former les spermatozoïdes et les ovocytes étaient beaucoup moins nombreuses lorsque le bébé était exposé à la cigarette in utero.
 
Les deux sexes confondus, on constate que ces cellules sont réduites de 41 %. « Même si l’étude est limitée au premier trimestre, il y a de fortes présomptions pour que la poursuite de la dépendance tout au long de la grossesse aggrave le phénomène », mentionnent les chercheurs.
Catégories
Uncategorized

Les conserves nuisent à la fertilité masculine

Une nouvelle étude pointe du doigt le bisphénol A (BPA) contenu notamment dans les conserves. Alors que certains pays comme le Canada ont interdit son utilisation dans les biberons et sucettes pour enfants, on constate que ce produit chimique serait aussi nocif pour l’homme.

 

Les résultats d’une nouvelle recherche, publiés dans la revue Reproductive Toxicology,démontrent que le BPA affecterait la fertilité masculine.

Le BPA est couramment utilisé pour fabriquer le plastique; on en retrouve dans les étuis à CD, les couteaux et fourchettes en plastiques, mais également les conserves et canettes de boissons.

Les hommes ayant un taux élevé de BPA dans le corps seraient plus susceptibles de voir leurs spermatozoïdes être plus faibles. L’étude révèle que le sperme des hommes ayant beaucoup de BPA dans le corps est moins concentré de 23 %, et que les dommages de l’ADN du sperme sont augmentés de 10 %.

Chez la femme, nous savons que le BPA limite l’hormone sexuelle, soit l’œstrogène, et qu’il serait lié au cancer du sein, aux dommages au foie, à l’obésité, au diabète et au problème d’infertilité également.

Une étude plus approfondie est nécessaire, car pour l’instant les autorités affirment qu’il n’y a pas assez de preuves pour dire que le BPA est nocif pour la santé humaine.

Catégories
Uncategorized

L’alcool durant la grossesse affecte la fertilité de l’enfant plus tard

Le Daily Mail rapporte que l’alcool durant la grossesse affecte la fertilité de l’enfant à naître.
 
Selon des médecins spécialistes, quatre des cinq petits verres de vin hebdomadaires peuvent endommager la fertilité du futur enfant.
 
C’est la première fois qu’une étude de ce genre est faite sur les effets de l’alcool durant la grossesse. Les chercheurs ont analysé le sperme de 350 jeunes hommes et ont fait une comparaison avec les habitudes de consommation d’alcool de leur mère notées vingt ans plus tôt, alors qu’elles étaient enceintes.
 
Celles ayant pris 6,75 unités d’alcool (1 petit verre de vin = 1 unité et demie) avaient des garçons avec une concentration de sperme de 32 % inférieure à ceux issus de mères qui n’avaient jamais consommé d’alcool ou très peu.
 
On croit que l’alcool nuit au développement des tissus délicats dans les testicules et les cellules spécialisées du sperme.
 
Par contre, deux unités d’alcool par semaine amélioreraient la qualité du sperme. Toutefois, ce dernier résultat est peut-être faussé, car il pourrait s’expliquer simplement parce que ces femmes enceintes étaient en meilleure santé.
 
Quoi qu’il en soit, il est toujours préférable de s’abstenir de boire de l’alcool durant la grossesse, tout comme il est fortement recommandé de ne pas fumer et d’avoir une alimentation saine.
Catégories
Uncategorized

Moins de soja si vous souhaitez avoir un enfant

Le soja et la fertilité ne feraient pas bon ménage, selon une étude américaine.
Des chercheurs se sont penchés sur la question pendant six ans pour connaître les habitudes alimentaires de 99 hommes qui souffrent d’infertilité.
 
Les résultats sont plutôt surprenants. Selon Famili, les plus grands consommateurs de soja avaient une concentration de spermatozoïdes dans leur sperme deux fois moins élevée que la moyenne. Ils avaient une concentration de 41 millions par millilitre, alors que la moyenne générale est de 80 à 120 millions par millilitre. Cela diminue donc les chances de pouvoir procréer.
 
Il y aurait ainsi un lien de cause à effet entre une grande consommation de soja et la fertilité. Ceci pourrait être dû aux isoflavones contenues dans le soja. Dans des études précédentes, on révélait que le taux de fertilité chez les animaux était beaucoup plus bas avec les isoflavones.
 
Rappelons que le soja a également des propriétés anti cancer, notamment chez la femme. Celles qui en consomment régulièrement auraient moins de risques de développer un cancer des ovaires ou de l’endomètre.
Catégories
Uncategorized

Une première dans le domaine de la fertilité

Pour la toute première fois dans le monde, une femme a donné naissance à son deuxième enfant après avoir eu une transplantation de tissu ovarien décongelé.
 
La revue de la Société européenne de reproduction, Human Reproduction, rapporte qu’en 2004, Stinne Holm Bergholdt a dû recevoir des traitements de chimiothérapie pour une tumeur osseuse, un sarcome d’Ewing. Quelques années auparavant, son ovaire gauche lui avait été retiré en raison d’une tumeur bénigne.
 
Avant de commencer ses traitements, on a donc enlevé le tiers de son ovaire restant et le tout a été congelé. La chimiothérapie a bien fonctionné, mais elle a provoqué une ménopause.
 
En 2005 toutefois, le tissu ovarien congelé a été transplanté et son ovaire s’est remis à fonctionner. Deux ans plus tard, en février 2007, après des traitements de fertilité, elle donnait naissance à un premier enfant.
 
Puis, en septembre 2008 naissait un deuxième enfant, celui-ci conçu naturellement. Une première pour une femme ayant eu ce type d’intervention.
 
On rapporte qu’au total, neuf enfants sont nés après que les femmes aient reçu une transplantation de tissu ovarien congelé.
 
Cette nouvelle est donc encourageante pour la technique de congélation des tissus ovariens des jeunes femmes avant qu’elles ne subissent des traitements qui peuvent détruire leurs ovaires, comme la chimiothérapie.
Catégories
Uncategorized

Un traitement de fertilité diminue le nombre de garçons

La revue Fertility & Sterility mentionne qu’une nouvelle étude affirme que le traitement de fertilité par l’injection intracytoplasmique de spermatozoïdes (ICSI) réduit le nombre de bébés masculins.

Cette technique consiste à introduire les spermatozoïdes directement dans les ovules prélevés chez la mère. Si des embryons se forment au bout de quelques jours, ces derniers seront transférés dans l’utérus de la femme. Or, n a constaté que cette technique donnait moins de garçons.

Mère Nature donne en moyenne 105 garçons pour 100 filles, un avantage qui équilibre le nombre de décès plus élevés des fœtus mâles et des nourrissons. Avec le traitement de fertilité, le ratio du sexe des bébés est inversé.

En 2005, parmi les 15 000 bébés américains nés par procréation assistée, il y avait moins de garçons. Sur les couples étudiés, moins de la moitié ont eu un garçon.

On ignore la raison de cet inversement et quel serait l’impact dans le futur. Bien que les naissances par traitement de fertilité sont moindres que celles dites « naturelles », les spécialistes recommandent toutefois que le recours à la technique ICSI ne se fasse qu’en cas de nécessité médicale afin de diminuer l’impact d’une diminution de garçons dans le futur.

Comme tout est encore assez flou, on ignore même si c’est le processus ICSI qui est en cause.

Catégories
Uncategorized

Une recherche à partir de cellules souches

L’équipe du Dr Karim Nayernia a mis au point une technique à base de cellules souches embryonnaires qui permet de créer en laboratoire des spermatozoïdes.

Il suffit que les cellules souches porteuses des chromosomes XY aient terminé leur division cellulaire pour que les scientifiques soient capables de créer une cellule sexuelle fonctionnelle.

Malgré cette découverte, bien des membres de la communauté scientifique remettent en question les travaux du Dr Nayernia. « En tant que spécialiste du sperme avec 20 ans d’expérience, je ne suis pas convaincu, d’après les données présentées, que les cellules produites par le groupe du Dr Nayernia à partir de cellules souches embryonnaires peuvent être appelées précisément spermatozoïdes », a mentionné le Dr Allen Pacey de l’Université de Sheffield en Angleterre.

Tous les détails se retrouvent dans la revue médicale Stem Cells and Development.

Catégories
Uncategorized

Comment améliorer la qualité du sperme

Selon une recherche menée par le Dr David Greening du Sydney IVF, un centre australien de traitements in vitro, des relations sexuelles fréquentes, soit une fois par jour, augmenteraient la qualité du sperme et ainsi la fertilité masculine.

Le chercheur a travaillé avec 118 hommes, dont la qualité du sperme était jugée inférieure à la moyenne, et a remarqué qu’après sept jours d’éjaculation quotidienne, la qualité du sperme augmentait.

Grâce à l’indice de fragmentation de l’ADN (indice DFI), qui mesure la dégradation de l’ADN des spermatozoïdes, le scientifique a découvert que la qualité du sperme était jugée mauvaise après trois jours d’abstinence et qu’elle passait à moyenne lorsque les patients avaient eu des rapports sexuels quotidiens.

Ce phénomène pourrait être attribué à une exposition moins longue des spermatozoïdes aux molécules oxydantes dans les canaux des testicules.

Catégories
Uncategorized

Hausse des vasectomies

Plusieurs médecins américains confirment une hausse considérable des vasectomies, comparativement à l’an dernier, et attribuent ce désir masculin à la situation économique au pays.

Selon eux, cette tendance à ne plus vouloir d’enfants pourrait s’expliquer par la hausse des dépenses ménagères qu’occasionne une naissance, ainsi qu’à la crainte de perdre leur assurance maladie en même temps que leur emploi.

Depuis novembre dernier, le Dr Marc Goldstein, chirurgien pratiquant des vasectomies à l’Institut de New York, a enregistré une augmentation des consultations de 48 % comparativement à l’an dernier. « Personne ne vient à mon bureau en expliquant sa décision par la crise économique, mais plusieurs me disent qu’ils n’ont plus les moyens de payer l’école privée pour plus de trois enfants », a confié M. Goldstein au site Health.com.

Pour le Dr Harry Fisch, pas de doute que l’aspect financier compte quand vient le temps de concevoir. « Si les finances ne se portent pas bien, ça fait du sens que les gens soient moins enclins à faire des enfants. S’ils envisageaient la vasectomie, alors cette période peut les inciter à passer à l’action », a-t-il mentionné.

Catégories
Uncategorized

Vers un nouveau traitement contre l’infertilité

Des travaux menés par l’équipe de Puttaswamy Manjunath, professeur à l’Université de Montréal, pourraient mener à un nouveau traitement contre l’infertilité masculine.

Les scientifiques ont réussi l’exploit de cloner et purifier une protéine du sperme, la protéine de liaison au sperme communément appelée BSP, qui pourrait causer l’infertilité.

« Nous avions déjà isolé et caractérisé des BSP de nombreuses espèces, notamment le taureau et le sanglier. Nous savons, grâce à ces études, que si cette protéine manque ou est défectueuse chez ces espèces, la fertilité est compromise. Nous croyons que cette protéine est tout aussi importante chez l’homme », a laissé savoir M. Manjunath, qui a utilisé une technique de biologie moléculaire pour cloner la protéine.

« Après bien des essais, nous avons pu produire la protéine humaine fonctionnelle de liaison au sperme. Nos prochaines étapes consisteront à confirmer son rôle biologique dans la fertilité humaine », a-t-il conclu.