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Les enfants reçoivent la fessée de plus en plus tôt

La recherche a été menée par l’équipe de l’Université du Michigan, en collaboration avec le professeur Lawrence Berger de l’Université du Wisconsin. Ils ont observé 2788 familles de milieux urbains.

Les enfants ont été suivis de 1 an à 5 ans. Parmi les familles, au moins 10 % ont reçu la visite du CPS (Child Protective Service) pendant l’étude.

« Des études ont démontré que la fessée est reliée à de nombreux comportements problématiques plus tard chez l’enfant. Notamment, l’agressivité et la dépression », ont écrit les auteurs de cette recherche.

De plus, chez les bébés, la punition physique est « particulièrement malavisée et potentiellement dangereuse, et peut déclencher une foule de comportements parentaux inappropriés ». C’est ce que confient les spécialistes Shawna Lee et Andrew Grogan-Kaylor.

Selon thebump.com, au cours de la recherche, les experts ont surtout été déroutés par l’absence de connaissance de méthodes alternatives à la fessée. Lee suggère aux parents de parler avec un pédiatre, une infirmière ou un travailleur social avant d’en arriver là.

L’étude a été publiée dans la revue Child Abuse & Neglect.

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Une vidéo compromettante de Justin Bieber dans un club de danseuses

Sur la vidéo des caméras de surveillance d’un club de danseuses, le chanteur de 19 ans Justin Bieber donne « la fessée » à deux danseuses nues et retire leurs culottes avec ses dents, rapporte Radar Online en exclusivité.

Bieber se trouvait dans l’état australien du Queensland l’an dernier, pendant sa tournée, et s’est offert un petit luxe qui pourrait lui coûter cher. En ce moment, la vidéo de 12 minutes, où l’on voit clairement l’artiste, est mise aux enchères chez divers médias.

Une photo tirée de la vidéo, où l’on voit aussi le chanteur, a été offerte à Radar Online.

Rappelons que Justin Bieber avait aussi été intercepté par les autorités à ce moment, alors qu’il faisait des graffitis sur le mur de l’hôtel Gold Coast, un établissement de renom du Queensland.

Lors de la visite de Justin Bieber dans un autre club de danseuses, le Kings Cross de Sydney, ses gardes du corps s’étaient assurés de supprimer toutes les photos ou vidéos prises par des curieux. Un détail qu’ils ont oublié au Queensland.

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La fessée : La violence engendre la criminalité?

Cette affirmation peut sembler extrême, mais il s’agit des résultats obtenus à la suite d’une étude relative aux conséquences de la fessée sur la vie future d’un enfant.

Les chercheurs ont décortiqué les tendances criminelles d’étudiants universitaires dans 15 pays, en utilisant 9 « unités de mesure » criminelles. On vérifiait notamment les tendances à la criminalité, si l’étudiant avait agressé l’un ou l’autre de ses parents dans les années précédentes, ainsi que tout autre personne, ami, partenaire, etc.

Les facteurs tenus en compte dans l’enfance comprenaient entre autres l’éducation parentale, les mesures correctives utilisées, ainsi que l’approche positive et aimante des parents.

« Beaucoup de parents et psychologues croient que si la fessée est donnée dans un cadre positif, par des parents aimants, il n’y aura pas de conséquence négative chez l’enfant », rapporte Straus, l’un des chercheurs. Cette croyance est fausse.

En fait, selon les résultats rapportés, Science World Report affirme que même si l’approche positive du parent diminuait la prédominance criminelle de l’étudiant, chaque cas rapportant avoir eu droit à la fessée était relié à certains comportements criminels.

Dans les cas où les 2 parents avaient donné la fessée, la prédisposition criminelle augmentait considérablement dans 8 des 9 unités de mesure considérées.

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Interdire la fessée au Canada

Encore de nos jours, on estime à 50 % le nombre de parents nord-américains qui donnent la fessée à leurs enfants. Selon une ancienne loi, c’est la responsabilité du parent de discipliner physiquement son enfant.

Cependant, selon parenting.com, le Canadian Medical Association Journal (CMAJ) espère que cette loi, vieille de 120 ans, soit changée d’ici peu.

L’éditeur en chef du CMAJ, John Fletcher, vient de faire paraître un éditorial intitulé Positive Parenting, Not Physical Punishment (éducation parentale positive, sans châtiment physique).

« Il s’agit d’une excuse constante pour les parents de s’accrocher à une méthode inefficace pour discipliner l’enfant, alors que de meilleures approches sont proposées », explique John Fletcher.

Au Canada, c’est 50 % des parents qui donnent encore la fessée aux enfants, alors qu’aux États-Unis, 70 % des mères avouent avoir utilisé la discipline physique au moins une fois. Cela va pourtant à l’encontre de l’American Academy of Pediatrics, qui s’y oppose catégoriquement.

Au-delà du territoire nord-américain, plus de 30 pays ont interdit les châtiments corporels à la maison, incluant la Nouvelle-Zélande, le Soudan et l’Autriche.

Fletcher affirme qu’il s’agit de la seule solution « humaine »; on doit interdire cette pratique.

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La fessée: une façon commune de punir son enfant

 

En fait, plus en plus de parents ont recours à ce geste lorsque vient le temps de réprimander leur tout-petit, selon l’étude publiée dans la revue Behavior and Social Issues.

Ces contacts négatifs peuvent se traduire par la fessée, mais aussi par un vocabulaire inapproprié.

Les scientifiques se sont basés sur les effets immédiats du toucher dans l’apprentissage de la discipline et ont déterminé que plus il y avait de contacts négatifs, plus l’enfant risquait de développer de l’agressivité.

Toutefois, les enfants qui reçoivent des câlins et des chatouilles après s’être fait réprimander seraient moins susceptibles de développer un mauvais comportement.

Aussi, ce ne sont pas les pères qui se sont montrés les plus sévères envers leurs enfants, mais bien les mères. D’ailleurs, si l’on compare la réaction en regard du sexe de l’enfant, les pères ont réagi de manière égale face au comportement de leurs fils et de leurs filles. Les mères, quant à elles, ont été plus strictes avec leurs fils qu’avec leurs filles.

Rappelons que la fessée peut entraîner des troubles de l’humeur, de l’anxiété, des abus d’alcool et de drogues, mais également des troubles de la personnalité dans la vie adulte de l’enfant, selon une récente étude publiée dans la revue Pediatrics.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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La fessée engendre des troubles de la personnalité chez l’enfant

La fessée peut entraîner des troubles de l’humeur, de l’anxiété, des abus d’alcool et de drogues, mais également des troubles de la personnalité dans la vie adulte de l’enfant, selon une récente étude publiée dans la revue Pediatrics.

En s’appuyant sur leurs résultats, les chercheurs de l’University of Manitoba et de l’Université McMaster confirment que la fessée peut déboucher sur des troubles de la personnalité.

Pour arriver à ces conclusions, les scientifiques ont analysé certaines données de la population américaine adulte, issues du National Epidemiologic Survey on Alcohol and Related Conditions et recueillies entre 2004 et 2005.

L’American Academy of Pediatrics s’oppose au recours à la fessée, comme la plupart des professionnels de l’enfance.

Certains psychologues voient la situation différemment, comme le Pr Robert Larzelere de l’Oklahoma State University. Une de ses études montre que la fessée utilisée de manière appropriée peut, dans certaines situations, se révéler efficace, surtout afin d’obtenir de meilleurs comportements chez l’enfant.

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La fessée n’est jamais une bonne option

Le Royal College of Paediatrics fait une mise en garde dans une lettre envoyée au journal The Daily Telegraph.

Des spécialistes disent que le châtiment est inutile et est équivalent à une « agression physique ». Ils affirment également que c’est un « moyen de dissuasion encore trop souvent utilisé et très inefficace » pour corriger le mauvais comportement d’un enfant.

Terence Stephenson, président du Collège, suggère que les parents, au lieu d’adopter une approche positive et de définir les limites aux enfants, prennent trop souvent le moyen facile en optant pour la correction par la fessée.

« Frapper est trop souvent perçu comme la solution de facilité et malheureusement, nous voyons trop souvent des fessées qui tournent plutôt en coups de poing », confirment des pédiatres.

Rappelons qu’en 2004, en Grande-Bretagne, une loi a été renforcée en vertu de l’interdiction de toute force qui peut provoquer une quelconque rougeur sur la peau.

Stephenson dit : « Les enfants doivent être munis de la même protection contre l’agression physique que les adultes », faisant référence ici à la non-défense qu’ont les enfants devant leurs parents.

La lettre du spécialiste indique d’ailleurs que 100 enfants meurent chaque année ou sont handicapés par des blessures après avoir été frappés, et ce, presque toujours par un proche.

Une experte a ajouté également qu’il est un peu hypocrite de dire à nos enfants de ne pas utiliser la violence physique, alors que les adultes y ont recours eux-mêmes.

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Pesez vos mots, chers parents

Selon PennStateLive, de l’université du même nom, crier après ses enfants devrait être perçu comme une méthode tout aussi archaïque que la fessée. L’effet en serait aussi néfaste pour l’enfant.

Pourtant, selon une étude, 63 % des parents américains disent le faire ou l’avoir déjà fait. Parmi les actions verbales retenues, on note les jurons et les insultes.

Les cris et les jurons laissent un enfant avec les mêmes sentiments que ceux produits par l’agression. On pense parfois que cela lui fera prendre conscience de ses actes, mais il n’en est rien.

On suggère d’autres façons de faire afin que la discipline de la maison soit respectée. Par exemple, on félicite le bon comportement et on établit des conséquences claires pour le mauvais.

Si l’on sent que la colère monte, on quitte la pièce. On compte jusqu’à 10, puis on revient parler à notre enfant après s’être calmé. Et on n’oublie jamais que nos enfants nous imitent.

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Quand la fessée devient quotidienne

Donner la fessée ou une claque à notre enfant peut être si subtil, ou encore trop ancré dans notre quotidien, que nous ne nous en rendons même plus compte. C’est ce que vient de soulever une expérimentation de la Southern Methodist University de Dallas.

Réalisée auprès de 37 familles, elle consistait en ce que la mère enregistre volontairement ses interactions avec ses enfants durant la soirée, et ce, pour 6 jours. Les résultats présentés sur le site SMU Research en surprendront plus d’une.

Les enregistrements comprenaient au final de 12 à 36 heures de matériel par mère et l’on y comptait des moments du quotidien familial, tels la préparation du souper ou le bain des enfants.

Bien que les mamans ne soient pas à proprement parler violentes, elles auraient souvent recours aux punitions corporelles, selon les observations. Par exemple, on a relevé 11 fessées données à un enfant de 3 ans qui se chamaillait sans cesse avec sa sœur.

Cette recherche unique en son genre a permis de mieux comprendre l’escalade des événements qui mène à la claque ou à la fessée, ce qui pourra sûrement relativiser le débat sur les punitions corporelles que nous connaissons.

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La fessée est encore un sujet de débat en France

Le Journal de médecine publie les résultats d’un sondage effectué auprès de 460 personnes dans lequel 88 % des professionnels de la santé se disent en faveur de la fessée.
 
Plusieurs médecins affirment être encore attachés à certains principes d’éducation et refusent d’écarter totalement la correction physique chez les enfants.
 
Rappelons qu’une récente étude avait démontré que la fessée rendait les enfants plus agressifs en vieillissant.
 
En France, ce châtiment n’est pas encore interdit, mais la pédiatre, députée et auteure du livre Autorité sans fessée, Edwige Antier, avait proposé un projet de loi pour interdire tous les châtiments corporels envers les jeunes enfants. Elle souhaite faire inscrire cette interdiction dans le Code civil. Elle veut également changer la mentalité des futurs parents à ce sujet.
 
Toutefois, le récent sondage montre que la majorité des professionnels de la santé ne sont pas du tout de son avis. Le débat reste donc ouvert.