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L’acteur Gérard Depardieu sera sur la croisette à Cannes dans les prochains jours pour y faire la promotion du film Valley of love, présenté en sélec­tion offi­cielle.

C’est dans le cadre de ce rendez-vous que l’artiste a accordé une entrevue au magazine Gala. Comme toujours, l’acteur y va de ses coups de gueule, mais lance au passage quelques fleurs. 

Gérard Depardieu avoue que de nombreux films le laissent maintenant froid. Il n’arrive plus à s’émouvoir : « Et je le suis de moins en moins. Il y a des films de diver­tis­se­ment qui sont formi­dables. Je ne vois pas d’ac­teurs, je ne vois que des machines qui traversent les espaces. Et je n’ai plus d’émo­tions. Excepté, dans le dernier coffret des Cesar, par ce Mommy, du jeune réali­sa­teur Xavier Dolan. Je pense que le jeune inter­prète aurait large­ment mérité un Prix. » 

Il revient aussi sur les propos de Sophie Marceau qui l’a qualifié de préda­teur qui veut bouf­fer tout le monde : « Elle était très jeune quand on a tourné ce film avec Pialat (Police, en 1985, ndlr), et c’est vrai qu’à l’époque, j’étais un peu préda­teur. Et un peu con aussi. Donc ses propos ne sont pas gênants. C’est ce qu’elle pense, alors pourquoi pas, ça ne me dérange pas du tout?! (Il ajoute, amusé) Ce qui me touche, parfois, c’est que je me demande pourquoi il n’y a que chez elle que l’on voit tantôt un sein, tantôt une culot­te, » commente l’acteur à propos des problèmes de robe de l’actrice sur le tapis rouge à Cannes.

Photo : BANG/BIG

L’acteur Gérard Depardieu sera sur la croisette à Cannes dans les prochains jours pour y faire la promotion du film Valley of love, présenté en sélec­tion offi­cielle.

C’est dans le cadre de ce rendez-vous que l’artiste a accordé une entrevue au magazine Gala. Comme toujours, l’acteur y va de ses coups de gueule, mais lance au passage quelques fleurs. 

Gérard Depardieu avoue que de nombreux films le laissent maintenant froid. Il n’arrive plus à s’émouvoir : « Et je le suis de moins en moins. Il y a des films de diver­tis­se­ment qui sont formi­dables. Je ne vois pas d’ac­teurs, je ne vois que des machines qui traversent les espaces. Et je n’ai plus d’émo­tions. Excepté, dans le dernier coffret des Cesar, par ce Mommy, du jeune réali­sa­teur Xavier Dolan. Je pense que le jeune inter­prète aurait large­ment mérité un Prix. » 

Il revient aussi sur les propos de Sophie Marceau qui l’a qualifié de préda­teur qui veut bouf­fer tout le monde : « Elle était très jeune quand on a tourné ce film avec Pialat (Police, en 1985, ndlr), et c’est vrai qu’à l’époque, j’étais un peu préda­teur. Et un peu con aussi. Donc ses propos ne sont pas gênants. C’est ce qu’elle pense, alors pourquoi pas, ça ne me dérange pas du tout?! (Il ajoute, amusé) Ce qui me touche, parfois, c’est que je me demande pourquoi il n’y a que chez elle que l’on voit tantôt un sein, tantôt une culot­te, » commente l’acteur à propos des problèmes de robe de l’actrice sur le tapis rouge à Cannes.

Photo : BANG/BIG

L’acteur Gérard Depardieu sera sur la croisette à Cannes dans les prochains jours pour y faire la promotion du film Valley of love, présenté en sélec­tion offi­cielle.

C’est dans le cadre de ce rendez-vous que l’artiste a accordé une entrevue au magazine Gala. Comme toujours, l’acteur y va de ses coups de gueule, mais lance au passage quelques fleurs. 

Gérard Depardieu avoue que de nombreux films le laissent maintenant froid. Il n’arrive plus à s’émouvoir : « Et je le suis de moins en moins. Il y a des films de diver­tis­se­ment qui sont formi­dables. Je ne vois pas d’ac­teurs, je ne vois que des machines qui traversent les espaces. Et je n’ai plus d’émo­tions. Excepté, dans le dernier coffret des Cesar, par ce Mommy, du jeune réali­sa­teur Xavier Dolan. Je pense que le jeune inter­prète aurait large­ment mérité un Prix. » 

Il revient aussi sur les propos de Sophie Marceau qui l’a qualifié de préda­teur qui veut bouf­fer tout le monde : « Elle était très jeune quand on a tourné ce film avec Pialat (Police, en 1985, ndlr), et c’est vrai qu’à l’époque, j’étais un peu préda­teur. Et un peu con aussi. Donc ses propos ne sont pas gênants. C’est ce qu’elle pense, alors pourquoi pas, ça ne me dérange pas du tout?! (Il ajoute, amusé) Ce qui me touche, parfois, c’est que je me demande pourquoi il n’y a que chez elle que l’on voit tantôt un sein, tantôt une culot­te, » commente l’acteur à propos des problèmes de robe de l’actrice sur le tapis rouge à Cannes.

Photo : BANG/BIG

L’acteur Gérard Depardieu sera sur la croisette à Cannes dans les prochains jours pour y faire la promotion du film Valley of love, présenté en sélec­tion offi­cielle.

C’est dans le cadre de ce rendez-vous que l’artiste a accordé une entrevue au magazine Gala. Comme toujours, l’acteur y va de ses coups de gueule, mais lance au passage quelques fleurs. 

Gérard Depardieu avoue que de nombreux films le laissent maintenant froid. Il n’arrive plus à s’émouvoir : « Et je le suis de moins en moins. Il y a des films de diver­tis­se­ment qui sont formi­dables. Je ne vois pas d’ac­teurs, je ne vois que des machines qui traversent les espaces. Et je n’ai plus d’émo­tions. Excepté, dans le dernier coffret des Cesar, par ce Mommy, du jeune réali­sa­teur Xavier Dolan. Je pense que le jeune inter­prète aurait large­ment mérité un Prix. » 

Il revient aussi sur les propos de Sophie Marceau qui l’a qualifié de préda­teur qui veut bouf­fer tout le monde : « Elle était très jeune quand on a tourné ce film avec Pialat (Police, en 1985, ndlr), et c’est vrai qu’à l’époque, j’étais un peu préda­teur. Et un peu con aussi. Donc ses propos ne sont pas gênants. C’est ce qu’elle pense, alors pourquoi pas, ça ne me dérange pas du tout?! (Il ajoute, amusé) Ce qui me touche, parfois, c’est que je me demande pourquoi il n’y a que chez elle que l’on voit tantôt un sein, tantôt une culot­te, » commente l’acteur à propos des problèmes de robe de l’actrice sur le tapis rouge à Cannes.

Photo : BANG/BIG