Catégories
Potins

Francis Reddy vous invite à découvrir les vins

Les 10 et 11 août prochain, Francis Reddy sera à Terrebonne en tant que porte-parole du Festival des vins de Terrebonne. Grand passionné, il n’a pas hésité longtemps avant d’accepter le mandat cette année.

« Souvent, je vais dans des dégustations qui ne sont réservées qu’aux professionnels, et je trouve dommage que le public n’y soit pas convié. Cette fois, ils peuvent satisfaire leur curiosité. Il y a 1000 produits. En plus, les attentes sont grandes pour les vins québécois cette année, car l’année dernière, le climat a été idéal pour le raisin. En théorie, on devrait avoir des vins exceptionnels », mentionne Francis avec enthousiasme à BUM Interactif Groupe (BIG).

Son premier contact avec le vin, Francis l’a eu grâce à un oncle importateur qui avait sa cave à vin creusée à même la terre à Terrebonne. « La passion du vin me vient de lui. Quand on le voyait prendre sa gorgée de vin, on voyait qu’il n’y avait plus rien qui comptait; c’est la même chose pour moi. Ça occupe une grande place dans ma tête. Pour moi, le vin est comme une épice dans le plat. Il faut le déguster, l’apprécier. S’il y en a trop, il n’y a plus d’équilibre. Quand je reçois à la maison, mes verres de vin sont peu remplis. Pas parce que je ne veux pas en donner, j’ai plutôt le défaut de la générosité, mais simplement parce que je veux que les gens prennent le temps de goûter et qu’ils l’apprécient réellement. »

Pour le Festival, Francis a deux trucs à donner aux visiteurs. Le premier est de prendre une photo de l’étiquette des vins qu’ils aiment afin de mieux les retrouver sur le marché. Puis, afin que la bouche puisse déguster pleinement les vins, il faut commencer par les mousseux, ensuite les vins blancs, puis terminer avec les vins rouges, et ne pas les mélanger durant la visite.

Même s’il est un grand amateur, Francis avoue ne pas avoir de cave à vin chez lui. « Je ne fonctionne pas en volume. J’en ai déjà perdu parce que j’avais trop attendu pour les boire, je les avais oubliés. Je suis un très mauvais gestionnaire de cave à vin, ce n’est pas dans ma nature. Dès qu’il faut classer des choses, ça me rend fou. »

Pourrait-il avoir un vignoble alors? Encore là, il se dit un piètre cultivateur et a un énorme respect pour les vignerons. Par contre, son ami, le chef Jérôme Ferrer avec qui il gère le Birks Café par Europea et le Café Grévin par Europea, lui a parlé d’une possibilité dans le sud-ouest de la France, une petite parcelle qu’ils pourraient acquérir. Alors qui sait? « Juste pour la curiosité de voir à quel point je serais minable là-dedans (rires). »

Mis à part le jeu Prêt à partir à Évasion, Francis a deux projets d’émissions de voyages en développement et il est porte-parole pour l’AQETA (Association québécoise des troubles d’apprentissage). Il s’agit d’un organisme qui aide les enfants, adolescents, adultes, familles, écoles et professionnels concernés, que ce soit pour la dyslexie, le déficit d’attention ou d’autres troubles d’apprentissage.

« Je veux faire connaître cette association. Il y a tellement de capacités d’études qui se ferment à cause de troubles d’apprentissage, car les professeurs ou les écoles n’en veulent pas. Pourtant, ces gens ont un potentiel énorme. Combien de gens d’affaires importants ont eu un trouble d’apprentissage? Mais si tu n’as pas l’idée de génie, les portes se ferment souvent, et c’est tellement dommage. »

Francis Reddy a donc encore un agenda bien chargé et la tête toujours remplie d’idées, mais ce week-end, il prendra le temps de profiter du Festival des vins de Terrebonne. 

Catégories
Potins

Les rêves d’épicurien de Benoit Brière

Il y a trois ans, alors qu’il jouait dans la pièce Oscar au Théâtre du Vieux Terrebonne, Benoit Brière avait accepté d’être le porte-parole du Festival des vins de Terrebonne, mais malheureusement, il n’avait pas eu le temps d’en profiter comme il l’aurait aimé.

Cette année, il récidive, mais cette fois avec Marc Hervieux à ses côtés. « J’aime profondément ce coin de pays, l’île aux moulins à Terrebonne c’est vraiment magnifique, ensuite je suis un épicurien et quand on m’a dit que Marc Hervieux y serait aussi, je me suis dit : “Oh mon dieu. On va virer la place à l’envers, mais tant pis.”, lui et moi on est pareil. D’abord, on a le même casting (rires), on est bien enveloppés (rires), mais on est deux épicuriens qui aiment le bon vin et la bonne nourriture », confiait Benoit Brière à BUM Interactif Groupe.

Selon Benoit, qui a déjà vécu l’expérience du Festival, on peut y faire des découvertes extraordinaires de producteurs et d’importateurs privés. D’ailleurs, il se fait un devoir de remettre une fois de plus son adresse courriel à ceux qui seront sur place afin d’être informé sur leurs produits.

Lorsqu’il parle de bon vin, Benoit tient à faire la part des choses. « Si pour vous c’est du Harfang des neiges ou autres, c’est correct. Bon. Ça veut dire que vous avez l’estomac bien accroché (rires), mais un bon vin c’est selon les goûts. C’est certain que lorsque l’on commence à goûter à des vins de grande qualité, c’est difficile de revenir. Mais qui dit qualité ne veut pas dire dispendieux non plus. Il y a de grands vins pour aussi peu que 12-13 $. Le Festival, c’est l’endroit pour faire ce genre de découverte. »

Présentement, en raison des rénovations à venir chez lui, il n’a pas une cave à vin intéressante, mais au Festival il passera déjà ses commandes et après les rénovations, il pourra tout remettre en place.

Le fier épicurien qu’il est, avoue bien humblement qu’il aimerait un jour avoir son propre vignoble. « Ma blonde, qui est aussi une épicurienne, et moi-même, avons déjà parlé de projets futurs une fois que les enfants seront grands. On se disait que peut-être une table champêtre ce serait l’fun, mais j’avoue que d’acheter un petit quelque chose dans le sud de la France ou en Toscane, deux endroits qu’on adore, ce serait merveilleux. Cela dit, je ferais mes devoirs et je serais bien conseillé, mais j’aimerais ça. Par contre, le vin conserverait son nom, si par exemple c’est un Domaine quelque chose, il ne porterait pas mon nom, car pour les Français ou les Toscans, Benoit Brière ça ne dit pas grand-chose. Mais oui, ce sont des rêves d’épicurien. »

En janvier prochain, Benoit sortira de sa sabbatique pour reprendre La Cage aux folles. Il se dit privilégié, car il a plusieurs offres sur la table, dont un tournage d’une nouvelle émission de télévision qui pourrait voir le jour. Il se croise les doigts. Bien que le théâtre soit son « dada », il s’ennuie aussi des tournages. À la télévision, son dernier projet était Musée Eden il y a trois ans et au cinéma, c’était Le sens de l’humour il y a deux ans.

Photo : Dany Desgagné

Catégories
Potins

Marc Hervieux vous invite à déguster de bons vins

 

Épicurien de nature, Marc Hervieux n’a pas hésité à accepter d’être le co-porte-parole du Festival des vins de Terrebonne en compagnie de son bon ami Benoit Brière. D’ailleurs, l’événement promet d’être très festif, car apparemment, les deux amis deviennent de vrais gamins, aux dires du chanteur, lorsqu’ils sont ensemble.

« Je suis un épicurien fini. Ce Festival c’est ce que j’aime de la vie, pas seulement le vin, mais pour moi c’est un événement très familial, très rassembleur, dans un bel endroit (île-des-moulins). Alors, j’ai tout de suite dit oui », confiait Marc à BUM Interactif Groupe.

« Pour moi c’est primordial dans la vie de se rassembler, cuisiner, d’ouvrir une bonne bouteille, de manger, d’ouvrir une autre bonne bouteille (rires), c’est vraiment ça les plaisirs de la vie, un des principaux plaisirs », ajoute le chanteur.

Il admet également être un amateur de vins, sans être un très grand connaisseur, mais il adore déguster de bons crus.

Grâce à son directeur de tournée, il a commencé à créer une cave à vins. « Elle s’agrandit de plus en plus. C’est spécial car pour le moment je n’ai que des vins de garde, alors je peux regarder, mais ne pas toucher. Donc, je triche en allant me chercher de bons vins prêts à boire. J’ai hâte au Festival, Benoit qui a déjà été porte-parole m’a dit de laisser mon email aux producteurs et importateurs pour qu’on soit informés sur tous les produits. C’est certain que je vais le faire. »

Pourrait-ton voir un jour un vin au nom de Marc Hervieux? « J’aimerais ça, mais je ne crois pas. C’est tellement beau des vignobles, j’en ai visité ici et en France, mais je crois que je ne serais pas bon là-dedans. Ça demande du temps et moi j’ai toujours 12 millions de projets en même temps. Je ne serais pas capable de m’en occuper et ce ne serait pas bon. Donc, pour l’instant, je ne crois pas que ça va arriver. »

Il profitera des produits des autres au Festival des vins de Terrebonne du 10 au 12 août prochains à l’Île-des-moulins.

Photo : Dany Desgagné