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Savoir reconnaître la mononucléose

L’automne apporte son lot de jolis paysages, de feuilles colorées, de soirées fraîches et de… baisse d’énergie. Les gens qui sont frappés par une forme de dépression saisonnière ou une autre sont nombreux, mais certains pourraient bien être aux prises avec un autre type de mal : la mononucléose.

Comment reconnaître une mono d’une simple fatigue saisonnière? Voici quelques informations, rapportées par e-sante.fr.

D’abord, il faut comprendre que la mononucléose est un virus, qui se transmet et s’attrape un peu comme la grippe. Elle n’est pas considérée comme une maladie grave, mais elle affectera certainement le quotidien des gens qui l’attraperont.

Si elle frappe surtout les plus jeunes (adolescents), les adultes sont tout aussi à risque de contracter cette maladie transmise majoritairement par la salive.

Impossible de ne pas la remarquer non plus, puisque la fatigue intense qu’elle procure est indiscutable. Une personne peut se voir dans l’incapacité totale de fonctionner normalement.

S’ajoutent aux symptômes de fatigue intense : maux de gorge, forte fièvre, frissons et courbatures (douleurs musculaires). Bref, le corps ressent un malaise général, ce qui la rend facile à détecter.

Il est important de consulter si vous reconnaissez ces symptômes, car vous n’êtes peut-être pas seulement atteint d’un mal automnal.

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Grossesse : la fièvre de maman peut conduire à l’autisme chez l’enfant

Troubles du spectre autistique, problèmes de communication et retards de développement guettent davantage les enfants nés de mères qui ont eu de la fièvre durant leur grossesse.
 
Malgré cela, il semblerait que celles qui traitent leur fièvre avec des médicaments à base d’ibuprofène ou d’acétaminophène diminuent leurs risques.
 
En effet, selon une étude de l’UC Davis MIND Institute parue dans le Journal of Autism and Developmental Disorders, la fièvre pouvant être liée au développement de troubles neuraux chez l’enfant peut être relativisée, alors que des médicaments pour diminuer la température peuvent changer la donne.
 
L’étude confirme : « Une médication anti-fièvre durant la grossesse peut réduire ou éliminer le lien apparent entre fièvre maternelle et autisme ».
 
Ainsi, les mères fiévreuses traitées pourraient finalement ne pas courir plus de risques qu’une autre femme.
 
Pour arriver à ces conclusions, 191 femmes ayant souffert de fièvre durant leur grossesse et leurs enfants ont été examinés. Parmi elles, 76 confirmaient avoir été traitées par médication, et 115 n’avaient pas consommé d’ibuprofène ou d’acétaminophène, ou encore la médication n’avait pas eu d’effet sur leur état.
 
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Des vaccins qui ne provoquent pas de convulsions chez les enfants

La revue Pediatrics publie une nouvelle étude mentionnant que si la dose du vaccin contre la rougeole ou la varicelle est administrée à un enfant âgé de 4 à 6 ans, il n’y a aucun risque accru qu’il fasse des convulsions fébriles durant les six semaines suivant la vaccination.

S’il y a convulsions fébriles — ce qui est plutôt rare pour un enfant de cet âge, mais qui peut se produire fréquemment chez un bébé de 18 mois qui a reçu les vaccins –, elles seront liées à de la fièvre et seront brèves. Elles ne pourront pas conduire à la mort ni à des lésions cérébrales ou à des troubles épileptiques.

En d’autres termes, le vaccin contre la rougeole ou la varicelle est sécuritaire pour les enfants de 4 à 6 ans, affirment les spécialistes.

Pour en arriver à cette conclusion, le Kaiser Permanente Vaccine Study Center a examiné les données de près de 87 000 enfants âgés de 4 à 6 ans ayant reçu le ou les vaccins, dans la même journée ou séparément.

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Urine malodorante : un signe d’infection urinaire chez les nourrissons?

Il ne parle pas, donc difficile de savoir si notre petit ressent une douleur lorsqu’il urine. Toutefois, selon ce que des chercheurs du Centre Universitaire de l’hôpital pour enfants Sainte-Justine à Montréal ont constaté que l’odeur nauséabonde demeure le meilleur indice prédictif de l’IVU et ce, bien devant d’autres facteurs tels que la fièvre, le sexe ou la présence d’un reflux vésico-urétéral (malformation congénitale des voies urinaires).

Les résultats de l’étude, qui a porté sur 331 patients âgés de 1 à 36 mois et sur les questionnaires remplis par les parents qui se sont présentés d’urgence à l’hôpital, seront présentés dans le numéro de mai de la revue Pediatrics.

Les chercheurs affirment que bien que l’odeur forte de l’urine ait été remarquée chez 57 % des cas d’enfants atteints d’IUV, elle a aussi été notée auprès de 32 % des petits sans infection.

De plus, la fièvre d’origine inconnue a été notée chez tous les patients atteints d’une infection urinaire, et elle a également été présente dans 92 % des cas sans IUV.

Le sexe féminin et la présence d’un reflux vésico-urétéral (95 %) font également partie de la catégorie d’indices prédictifs d’infection urinaire.

L’étude a confirmé que l’âge de l’enfant et le passé de celui-ci concernant le nombre d’IUV vécue n’affectaient pas les résultats.

La mauvaise odeur de l’urine et la fièvre étant de bons indices prédictifs, mais encore contradictoires et manquant de spécificité, des recherches supplémentaires seront nécessaires pour confirmer ou non un diagnostic d’IUV, si l’on veut se fier uniquement à ces deux éléments.

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Grossesse : un vaccin contre la grippe donne la santé aux bébés

Mark Steinhoff, médecin à l’Université Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health à Baltimore, et ses collègues ont réalisé une étude auprès de 327 nourrissons au Bangladesh, durant la saison de la grippe.

Les chercheurs ont démontré que selon l’âge gestationnel, il y avait une différence de poids chez les bébés qui avaient grandi dans le ventre d’une mère vaccinée contre la grippe et ceux d’une mère vaccinée contre le pneumocoque (25,9 % contre 44,8 %).

En d’autres termes, les bébés nés de mères qui avaient reçu le vaccin contre la grippe avaient un poids de naissance plus élevé en moyenne (3178 contre 2978 grammes), ont expliqué les chercheurs dans le JAMC. Les nourrissons étaient moins nombreux à souffrir de fièvre et de maladies respiratoires quand arrivait la saison de la grippe.

En revanche, l’étude, qui a été faite en deux temps, a permis de conclure également que lorsque ce n’était pas la période de la grippe, il n’y avait aucune différence dans le taux de maladies respiratoires accompagnées de fièvre supérieure à 38 °C pour les mères et leurs nourrissons ni aucune différence concernant le poids moyen à la naissance si l’on compare les femmes qui avaient reçu le vaccin antigrippe à celles ayant reçu le vaccin antipneumocoque.

Les experts concluent donc que la prévention de l’infection par la grippe saisonnière chez les femmes enceintes avec la vaccination peut influencer la croissance du fœtus et aider au système immunitaire de l’enfant.

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Trop fatigué pour aller à l’école

Selon une récente étude, un enfant sur 100 serait atteint du syndrome de la fatigue chronique (SFC), aussi connu sous le nom d’encéphalite myalgique. Cependant, après avoir été diagnostiqués et traités, les deux tiers d’entre eux reprendraient le dessus rapidement et retourneraient à l’école normalement.

Les spécialistes se sont penchés sur la question, après avoir remarqué que plusieurs jeunes manquaient, pour des raisons inexpliquées, le 1/5 de leurs cours. Ils en ont conclu que le SFC était une cause importante à l’absentéisme à l’école chez les jeunes.

Les enfants aussi jeunes que 5 ans peuvent être touchés par cette infection virale qui se traduit par de la toux, de la fièvre et de la fatigue extrême. Avant d’avoir terminé leur troisième secondaire, 461 étudiants sur 2855, en Angleterre, avaient manqué 20 % de leurs cours en six semaines.

Les seuls remèdes existants pour cette maladie sont la thérapie, l’encouragement à faire de l’exercice et à discuter afin de partager des inquiétudes.

Il semblerait également que les enfants ayant été diagnostiqués par les services scolaires (infirmière, psychologue, etc.) retrouvent leur énergie plus rapidement, car ils se sentent appuyés dans leurs démarches de guérison.

Les enfants ayant été traités dans des cliniques spécialisées prendraient plus de temps à revenir en classe, malgré l’apparence d’un traitement rapide et efficace.

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Les femmes enceintes, des proies faciles pour la tuberculose

Une étude publiée par Health Protection Agency révèle que les femmes enceintes et celles qui ont accouché il y a moins de six mois ont 69 % plus de chances d’être atteintes de la tuberculose.

Au cours des 12 dernières années, plus de 190 000 femmes ont été suivies pour cette étude. Les chercheurs ont trouvé une moyenne plus élevée de tuberculose chez celles-ci qu’auprès de la population générale, soit 15,4 par 100 000 comparativement à 9,1 par 100 000.

Les scientifiques et médecins croient que la grossesse rend le système immunitaire de la femme plus fragile et plus susceptible de contracter des maladies respiratoires.

L’an dernier, 8843 cas ont été diagnostiqués. Il semblerait également qu’un facteur déterminant dans le développement de cette maladie soit l’environnement où évolue la femme enceinte ou la maman.

Une attention particulière devrait être accordée aux femmes qui travaillent dans le milieu de la santé et celles qui vivent dans des régions ou travaillent au sein d’organismes qui accueillent de nombreux immigrants.

Les chercheurs tiennent à répéter les différents symptômes de cette maladie qui touche les poumons et qui peut être fatale, si elle n’est pas traitée. Toux, fièvre, fatigue, perte d’appétit et de poids sont à prendre en considération.

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Vaccination des poupons : le moment opportun

Selon une étude publiée dans Pediactrics, les poupons qui ont été vaccinés dans l’après-midi et qui ont fait de la fièvre dormaient mieux au cours des 24 heures suivantes que ceux vaccinés le matin et ceux qui n’avaient pas été fiévreux.

On suggère donc que la suppression de la réponse immunitaire du corps par un agent antipyrétique (de l’acétaminophène) pourrait agir contre la venue du sommeil.

D’autre part, la fièvre est reconnue comme un signe de la réponse immunitaire. La durée du sommeil et l’augmentation de la température corporelle après un vaccin peuvent donc être considérées comme des indicateurs de la réponse des anticorps.

L’étude en question a porté sur 70 poupons, dont certains avaient reçu de leur mère une dose d’acétaminophène. Les bébés étaient âgés en moyenne de 9 semaines, et leur poids de naissance moyen avait été de 3,4 kg.

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Les convulsions liées au système respiratoire

Des chercheurs auraient découvert une autre explication des convulsions fébriles. Les enfants qui en souffrent présentaient en fait une alcalose respiratoire. Précisément, elle se reconnaîtrait par un pH sanguin élevé et de faibles taux de dioxyde de carbone – ce qui est causé par l’hyperventilation.

Le fait est que les convulsions fébriles n’ont pas été remarquées chez des enfants qui avaient fait de la fièvre durant une gastro-entérite. On lit donc dans Epilepsia que des chercheurs croient qu’un faible pH sanguin pourrait avoir un effet protecteur.

On a pu tirer ces conclusions après avoir suivi 433 enfants qui présentaient une fièvre semblable ou égale. Ils avaient été admis à l’hôpital soit pour des convulsions fébriles, soit pour une gastro-entérite. On a pris le pH sanguin et le taux de dioxyde de carbone de chaque jeune patient lors de son arrivée.

Les convulsions fébriles sont assez courantes chez les enfants, en touchant 1 sur 25. Elles surviennent de façon générale entre six mois et cinq ans.

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Fièvre du bébé : est-ce les dents?

Une récente étude parue dans Pediatrics remet en question l’indice de la fièvre quant à la poussée des dents chez le bébé. L’analyse des symptômes accompagnant la percée des dents auprès de 47 bébés âgés de 5 à 15 mois remet en cause certaines croyances.

La première observation a été de constater que la fièvre et la poussée des dents ne vont pas nécessairement de pair. Ainsi, on ne devrait pas s’en remettre automatiquement aux dents lorsque bébé fait de la fièvre.
 
D’autre part, on a relevé certains autres symptômes connus. C’est le cas de l’augmentation de la salive, mais ce phénomène apparaît le jour même de la percée. Ainsi, il serait difficile de prédire l’arrivée d’une dent de lait par une plus grande production de salive.
 
Parmi les autres symptômes courants qui ont été relevés, on compte l’irritabilité, l’écoulement nasal et la perte de l’appétit.