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Le virus chez l’enfant : une seule solution

Quand la fin des classes arrive enfin, les parents prévoient toutes sortes d’activités familiales. Or, ce moment coïncide aussi avec plusieurs virus du printemps et du début de l’été, ce qui compromet souvent les sorties.

Si l’on associe l’influenza avec les mois de l’hiver, la saison chaude annonce quant à elle le retour d’autres virus, lesquels se reconnaissent par la fièvre, les douleurs musculaires, la toux et la congestion, entre autres.
 
On se surprendra d’apprendre, comme lu sur Canada.com, que ces virus durent habituellement de 7 à 14 jours. La fièvre survient en général le premier ou le deuxième jour.
 
Souvent, les parents croient que des doses de pénicilline viendront à bout des symptômes en 12 heures. Pourtant, il ne s’agit pas d’une infection.
 
Au contraire, un virus chez l’enfant ne peut pas être soigné, il ne peut qu’être modéré. On recommande aux parents de suivre les mêmes conseils qu’avant pour y remédier, soit de faire boire beaucoup de liquide à l’enfant et de contrôler la fièvre.

Bien sûr, l’enfant doit se reposer le plus possible. Les symptômes s’atténueront d’eux-mêmes au fil des jours.

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Le Tylenol pour enfants demeure en vente au Canada

Selon La Presse, le Tylenol pour nourrissons sous forme de gouttes et contenant de l’acétaminophène sera toujours en vente au Canada. Rappelons que l’acétaminophène est un analgésique utilisé pour soulager les maux de tête, la fièvre et les maux de gorge.

Le fabricant de ce médicament, Johnson & Johnson, a annoncé récemment qu’il cesserait de le produire aux États-Unis, évitant ainsi tout risque de surdose. Un seul médicament sera offert à tous les enfants de 12 ans et moins. Mentionnons que plusieurs entreprises ont emboîté le pas à Johnson & Johhnson.
 
Or, tout restera inchangé au Canada. La raison en est que la concentration en acétaminophène ainsi que la posologie des médicaments pour bébés et enfants font l’objet d’une réglementation ici. Santé Canada est responsable de les réglementer et leur étiquetage a été revu en 2009.

L’acétaminophène est la première cause d’insuffisance hépatique aux États-Unis. Plusieurs milliers de personnes se rendent chaque année à l’hôpital en raison d’une surdose.

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Mon enfant a-t-il un rhume ou des allergies?

Puisque leurs symptômes se ressemblent, le rhume et les allergies saisonnières sont difficiles à reconnaître. Pour s’y retrouver, on peut déceler quelques signes donnés par une spécialiste de la Loyola University en Illinois, Hannah Chow.

Comme l’a expliqué Dre Chow à Medical News Today, l’ultime différence entre un rhume et des allergies est l’apparition de fièvre. En effet, la fièvre accompagne un virus, non pas une réaction allergique.

De plus, si l’écoulement nasal et la toux sont des symptômes se retrouvant chez l’un et l’autre, certains indices peuvent guider les parents.
 
Par exemple, pour reconnaître les allergies, on doit faire l’observation des yeux et du nez qui piquent. Les yeux rougissent souvent, à cause de l’irritation. De plus, si la toux peut être présente, elle n’est jamais prédominante.
 
Quant au rhume, il ne cause pas d’irritation entraînant le picotement des yeux, bien qu’ils puissent rougir pendant la maladie. La toux y est très présente. Finalement, le rhume est contagieux, alors que les allergies ne le sont pas.

En conclusion, Dre Chow soutient que la meilleure façon de prévenir ou de limiter les symptômes des allergies est encore d’éviter le plus possible l’exposition aux facteurs allergènes.

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La fièvre est normale chez les enfants

Selon un récent rapport, les parents qui traitent une fièvre légère en donnant à leur jeune enfant un mélange de paracétamol et d’ibuprofène pourraient contribuer à prolonger la maladie ou même mettre sa santé en danger, rapporte Daily Mail.

Des experts révèlent que notre société est sous l’emprise d’une phobie de la fièvre qui pousse les parents à utiliser trop souvent ces deux médicaments pour diminuer une légère hausse de température.

Il semble que près de la moitié des parents inquiets donnent à leur enfant la mauvaise dose de médicaments, ce qui pourrait mener à une surdose.

Dans ce rapport, qui a été publié par l’American Academy of Pediatrics, on précise que la fièvre est loin d’être un mauvais signe, puisqu’elle signifie simplement que le corps de l’enfant combat la maladie.

Ils affirment donc qu’alterner des doses de paracétamol et d’ibuprofène pourrait faire plus de mal que de bien.

On peut lire dans ce rapport : « L’accent devrait être mis sur le fait que la fièvre n’est pas une maladie, mais un mécanisme physiologique qui a des effets bénéfiques dans la lutte contre les infections. »

Soulignons que la consommation de paracétamol chez les jeunes enfants peut avoir un lien avec l’asthme, alors que l’ibuprofène, dans des cas très rares, peut mener à des ulcères d’estomac, voire à des problèmes de reins.

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On s’inquiéterait trop de la fièvre

Selon une étude dont les conclusions sont parues dans le Journal of the American Medical Association, une forte fièvre éblouirait les parents quant aux réels problèmes de santé de l’enfant.

Une forte fièvre devrait être considérée comme un phénomène courant et normal plutôt que la raison première d’une entrée à l’hôpital.

Il semble en effet qu’un grand nombre de parents en oublient de s’inquiéter de la déshydratation de l’enfant par exemple, tellement ils considèrent le nombre inscrit au thermomètre.

Un autre point relevé dans cette étude du Centre médical de l’Université de New York est que la posologie des médicaments pour enfants est peu claire.

Comme on sait, l’administration trop faible d’un médicament contre la fièvre n’a aucun effet, tandis qu’une trop forte dose peut devenir dangereuse.

De plus, la concentration de l’acétaminophène et de l’ibuprofène n’est jamais la même et a changé au cours des dernières années.

On rappelle donc de toujours se fier au poids de l’enfant pour doser ces médicaments et, surtout, de devenir vigilant aux autres symptômes d’une maladie.

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Un vaccin contre la fièvre Ebola?

Un vaccin contre la fièvre hémorragique Ebola est testé en ce moment sur des singes aux États-Unis, à l’École de médecine de l’Université de Boston.
 
Au départ, les singes ont reçu la souche la plus mortelle de la maladie afin de pouvoir tester l’efficacité du vaccin. Trois singes ont ensuite reçu quatre doses de traitement pendant plusieurs jours. Finalement, un des singes est décédé.
 
Ensuite, on a fait le même test sur quatre autres singes, mais en leur administrant sept doses du traitement pendant plusieurs jours. Finalement, les sept primates ont survécu et cela marque un progrès intéressant. Selon les chercheurs, il reste un long chemin à parcourir, mais il s’agit d’un nouvel espoir.
 
Les scientifiques ont eu recours à de petites particules génétiques pour ne pas avoir de répliques virales durant leurs expériences.
 
Le virus Ebola a été découvert pour la première fois en 1976 au Zaïre. Depuis, on a recensé 1 850 cas, dont 1 200 décès. Il s’agit d’une fièvre hémorragique qui affecte les humains et les grands singes du Gabon.
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Herbe à poux rime avec maladies

Une recherche, menée par l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal, nous apprend qu’il existe un lien entre l’indésirable herbe à poux et le taux de maladies comme les rhinites, les rhumes des foins, les conjonctivites et les crises d’asthme chez les enfants.

Réalisée auprès de 38 000 sujets âgés de 6 à 12 mois, cette étude démontre que 16 % des participants sont malades en raison de la présence de l’ambroisie dans leur quartier.

Dans les secteurs de la ville de Montréal où l’on retrouve le plus de pollen, soient les extrémités est et ouest ainsi qu’un secteur au nord et un au sud, c’est un enfant sur quatre qui souffre à cause de la plante.

Avec de nouveaux arguments en poche, le Département de santé communautaire va maintenant solliciter les propriétaires des terrains infestés, comme le ministère des Transports, Hydro-Québec, le CN et le CP, afin d’éradiquer l’herbe à poux sur leurs terrains.