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L’importance de l’amitié

Il serait très bénéfique pour l’enfant de créer des amitiés lorsqu’il est en maternelle. Avoir des amis de qualité pourrait faire en sorte qu’un garçon aura moins de problèmes de comportement et de meilleures compétences sociales en première et en troisième année.

Ce serait différent pour les petites filles. Elles présenteraient de bonnes compétences sociales durant les mêmes années du primaire, indépendamment du fait qu’elles aient créé de solides amitiés ou non à la maternelle.

On devine que les amitiés de qualité demandent des valeurs comme la coopération, le partage et l’interaction positive, de même que moins de conflits destructeurs.

Les chercheurs conseillent fortement les parents à encourager leur enfant à créer de saines relations d’amitié, et ce, par le biais de différentes activités.

Ce sont les conclusions d’une équipe de l’University of Illinois qui a étudié la situation de 567 enfants. On les présente dans Infant and Child Development. Les mères des participants étaient questionnées sur les amis ainsi que le type de rapports avec eux.

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Les enfants sont accros à l’image

Selon une récente étude, la moitié des filles et le tiers des garçons seraient prêts à tout pour avoir un corps parfait ou pour atteindre le poids idéal.

Menée auprès de 810 enfants, cette étude révèle aussi qu’ils sont prêts à poser des gestes dangereux pour leur santé afin d’atteindre leur but, lit-on sur Mail Online.

Un garçon sur dix prendrait donc des stéroïdes pour devenir musclé, et une fille sur huit prendrait des pilules pour maigrir – des laxatifs, par exemple.

De plus, 50 % des répondants ont avoué avoir comparé leur corps avec ceux des vedettes de la télévision. Filles comme garçons, le quart souhaiterait un jour subir une chirurgie esthétique.

On remarque une tendance très forte au recours à des solutions rapides, au prix de la santé, pour obtenir le corps idéal. Et cette situation ne touche plus que les filles, les garçons en sont désormais tout aussi touchés.

On décrit ainsi la pression exercée sur les enfants par les médias. Souvenons-nous qu’il y a quelques mois, on apprenait que des enfants aussi jeunes que cinq ans étaient traités pour anorexie sévère.

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Les filles sont-elles plus vulnérables?

Quand une dispute éclate, il semble que les filles réagissent plus que les garçons, selon une récente présentée sur Medical News Today. Elles se défendraient plus fortement lorsqu’elles sont brimées dans leurs amitiés.

De plus, elles seraient tout aussi enclines à se venger que les garçons. Les filles seraient également autant portées que les garçons aux attaques verbales, lorsqu’une amie a dévoilé un de leurs secrets, par exemple.

Des chercheurs américains ont remarqué ces comportements après avoir suivi 267 enfants de la quatrième et de la cinquième année du primaire. Les jeunes participants étaient invités à expliquer leurs réactions devant 16 situations fictives.

Pour chacune des situations, les enfants devaient dire comment ils auraient réagi si cela s’était réellement passé, comment ils auraient interprété le comportement de leur ami et ce qu’ils auraient fait par la suite. De plus, ils devaient expliquer en quoi l’incident en question les atteignait ou non.

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L’allaitement et la santé psychologique

On lit dans l’European Journal of Public Health qu’il serait hautement bénéfique pour la santé psychologique d’une femme d’avoir été allaitée lorsqu’elle était enfant. Cet effet n’a pu être remarqué chez les hommes.

Depuis quelques années, plusieurs études démontrent les impacts de l’allaitement sur la santé. On soutient notamment qu’il peut prévenir l’obésité, et ce, en stimulant la santé cardiaque et en abaissant la tension artérielle et le cholestérol.

On présente maintenant un nouvel impact de cette forme de nutrition après avoir suivi plus de 13 000 sujets. Ces derniers faisaient partie de deux études différentes, pour un total de 17 000 personnes.

Dans le cadre des deux recherches, les mères devaient mentionner si elles avaient allaité leur enfant durant moins d’un mois ou au moins un mois. Par la suite, la santé psychologique des enfants a été évaluée à partir des observations de leurs enseignants et d’eux-mêmes.

Chez les femmes qui avaient été allaitées durant au moins un mois, on a relevé de plus faibles taux de détresse émotionnelle, d’anxiété et d’angoisse.

D’autre part, ces femmes faisaient preuve de plus d’« auto-efficacité », c’est-à-dire la croyance d’une personne quant à sa capacité d’influencer les événements de sa vie.

Toutefois, on n’a pas pu définir si ces effets étaient le fruit de facteurs biologiques ou sociaux.

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Les sévices conduisent à des maladies

Les petites filles qui subissent de la maltraitance physique ou des sévices sexuels seront plus enclines à souffrir de maladies cardiovasculaires, lit-on sur Medical News Today. Précisément, elles sont exposées à de plus grands risques de crise cardiaque, de maladies cardiaques et d’AVC.

Une récente étude indique que les filles victimes de maltraitance physique durant l’enfance courent un risque 45 % plus élevé de tels problèmes de santé à l’âge adulte. Si elles ont été forcées à des rapports sexuels répétés, elles se retrouvent 62 % plus à risque d’une maladie cardiovasculaire.

Parallèlement, des violences « légères à modérées », si l’on peut les nommer ainsi, n’ont pas été reliées à des risques particulièrement plus élevés.

Le plus influent facteur, dans le cas d’un haut risque de maladie cardiovasculaire, est que les jeunes filles maltraitées avaient fortement tendance à prendre du poids durant l’adolescence et la vie adulte.

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Les jeux vidéo rendent créatifs

On aurait prouvé un autre avantage à s’adonner aux jeux vidéo. Il semble, selon une étude de la Michigan State University, qu’ils rendraient les enfants plus créatifs. Cet effet a été remarqué tant chez des garçons que des filles.

En observant près de 500 enfants, on a remarqué que plus ils jouaient à des jeux vidéo, plus leur créativité s’exacerbait dans des tâches comme le dessin et la composition d’une histoire, lit-on sur Medical News Today.

Ce serait la première fois que l’on démontre un lien aussi clair entre l’utilisation des outils technologiques et la créativité.

Maintenant qu’il est posé, on pourrait envisager des jeux vidéo conçus pour optimiser la créativité. Une nouvelle génération de jeux pourrait donc éliminer la différence existant entre l’éducation et le divertissement.

On soutient aussi que les concepteurs mêmes de jeux vidéo devraient tenir compte de cette découverte pour identifier quels sont les aspects responsables d’une augmentation de la créativité.

Ajoutons toutefois qu’aucun lien du genre n’a pu être établi quant à l’usage autre d’un ordinateur, de l’Internet ou encore d’un téléphone cellulaire.

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Les BPA touchent plus les petites filles

Des chercheurs américains et canadiens viennent de démontrer une fois de plus que l’exposition aux BPA durant la grossesse comporte des risques importants.

Cette fois, on ajoute que cette exposition dans l’utérus est liée à des problèmes de comportement et émotifs chez les enfants d’âge préscolaire. Cette répercussion serait d’autant plus marquée chez les petites filles, lit-on dans Pediatrics.

La présente étude a regroupé 244 mères et leurs enfants. Des corrélations ont été établies selon des échantillons d’urine des mères durant la grossesse et à l’accouchement, puis de celles des enfants lorsqu’ils ont eu un, deux et trois ans, ainsi que des réponses à un sondage quant au comportement des enfants à trois ans.

On remet donc encore en cause l’emploi de ces substances chimiques dans la fabrication des produits de consommation. Rappelons que les BPA se trouvent notamment dans les contenants en plastique, dans certains scellants dentaires et dans le papier thermique.

Les chercheurs ajoutent que si une plus faible exposition à ces substances est souhaitée, on ne saurait encore établir concrètement si cette réduction aurait un impact évident.

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Carla Bruni-Sarkozy a accouché

Le très attendu accouchement de la Première Dame de France a bel et bien eu lieu. Carla Bruni-Sarkozy a mis au monde une petite fille aujourd’hui, un peu après 20 h, heure de Paris, nous apprend L’express.fr.
 
Elle est entrée à la clinique de la Muette, à Paris, durant la matinée. Elle a pu voir son mari, Nicolas Sarkozy, quelques instants durant l’après-midi, avant qu’il s’envole pour Francfort.

Carla Bruni-Sarkozy est déjà la maman d’un petit garçon, Aurélien, qui est né de son union avec Raphael Enthoven. Le président de la France, quant à lui, a trois autres enfants, des fils : Pierre et Jean, dont la mère est Marie-Dominique Culioli, et Louis, qu’il a eu avec Cécilia Cyganer.

Tous attendaient la venue de cet enfant, qui devait naître le 3 octobre, rappelons-nous. Les spéculations s’arrêtent donc ici : c’est une fille! Cette grossesse aura finalement été empreinte de bien des mystères, car rappelons-nous que Mme Bruni-Sarkozy ne l’a jamais annoncée officiellement.

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Le stress influencerait le sexe du bébé

Il y a désormais un nouveau facteur déterminant quant au sexe du bébé, selon ce qu’on lit sur Mail Online. Des chercheurs de l’Oxford University viennent d’établir un lien entre le stress et le sexe du bébé.

Ainsi, une femme qui vit du stress au travail ou dans sa vie amoureuse avant de tomber enceinte aurait plus de chances de mettre au monde une petite fille qu’un garçon.

Les chercheurs ont même relié la dernière crise économique, puis les mois suivant les attentats du 11 septembre 2001, à un plus grand nombre de naissances de petites filles par la suite.

Il semble que les hormones du stress, dont le cortisol, joueraient un rôle. C’est ce que l’on soutient après en avoir analysé les taux de plus de 300 femmes, au moment où elles tentaient de tomber enceintes.

En chiffres, on estime que les femmes les plus stressées avaient eu 75 % moins de chances de mettre au monde un garçon. Et parmi celles qui avaient eu les plus hauts taux de cortisol, 50 % ont démontré un ratio évident de naissances de petites filles.

Rappelons que le cortisol est sécrété plus fortement lorsqu’une personne vit un stress à long terme.

On croit que le taux de cortisol pourrait faire en sorte qu’il soit plus difficile à l’embryon mâle de s’implanter dans l’utérus. De plus, les bébés de sexe masculin seraient plus vulnérables lorsque ce taux est élevé, ce qui entraînerait plus de fausses couches, donc plus de naissances de petites filles.

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Maman a raison, ou la télévision?

Une surprenante étude parue dans Sex Roles questionne une nouvelle fois le rôle de la mère quant au rôle sexuel et les attitudes qu’un enfant suivra. Il semble, de plus, que ce ne soit pas la même chose pour les filles et pour les garçons.

Selon les chercheurs belges qui ont dirigé cette recherche, il semble qu’une fille ayant une bonne relation avec sa mère sera protégée, d’une certaine façon, des stéréotypes télévisuels.

L’effet apparaît toutefois contraire chez un garçon. En effet, ce dernier sera plus enclin à reproduire les attitudes reliées aux stéréotypes du monde de la télévision s’il a un plus fort attachement envers sa mère.

Sous forme de sondage, l’étude en question a porté sur 1026 élèves dispersés dans 9 écoles de la Belgique. On a analysé les attitudes des sujets quant à la sexualité, aux rôles sexuels traditionnels, au temps passé devant la télévision et à leur attachement envers leur mère.

Il avait déjà été démontré, dans le cadre de recherches précédentes, qu’une maman peut jouer un rôle crucial quant au respect des attitudes et des rôles sexuels traditionnels.

On a donc évalué si l’attachement de celle-ci et de ses enfants pouvait en venir à jouer un rôle tampon quant aux stéréotypes véhiculés par l’univers télévisuel, et si l’effet était différent chez les garçons et les filles.