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Une puberté précoce est associée à la dépression chez les filles

De plus en plus, les jeunes filles vivent leur puberté à un jeune âge. Ceci s’explique notamment par leur alimentation et le niveau élevé de pollution.
 
Les chercheurs constatent toutefois que les filles qui ont leurs premières menstruations plus tôt sont souvent plus dépressives lorsqu’elles atteignent le milieu de l’adolescence.
 
Selon la recherche menée aux universités de Bristol et Cambridge, les jeunes filles ayant eu leur puberté à 11,5 ans démontraient plus de signes de dépression que les autres à 13 ou14 ans, rapporte le British Journal of Psychiatry
 
La puberté est une étape critique du développement et implique plusieurs changements biologiques, cognitifs et sociaux. Souvent, il y a plus de conflits avec les parents et c’est aussi le moment des premiers amours, du changement de l’image corporelle et du niveau d’hormones qui fluctue.
 
Les jeunes filles y sont bien malheureusement mal préparées, surtout si elles connaissent leur maturité à un jeune âge. On recommande donc de leur offrir un bon encadrement et de les aider à faire face à ces changements marquants.
Rappelons qu’une puberté précoce est également liée à un risque accru de cancer du sein et d’autres problèmes, car les jeunes filles sont exposées aux hormones de femmes adultes plus longtemps.
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Les filles, à l’école plus tôt pour contrer l’obésité?

Selon une étude récemment parue dans le Journal of Adolescent Health, on aurait tout intérêt à faire entrer les filles à l’école dès que possible.

C’est que ces mêmes enfants auraient tendance à ne pas souffrir d’obésité à l’adolescence, selon une analyse de données portant sur près de 6 000 filles et réalisée par des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de Rochester.

Un tel lien n’a pas été remarqué chez les garçons. Ce fut pourtant le cas chez les filles, lesquelles souffraient plus de surpoids une fois adolescentes si elles avaient commencé l’école plus tard.

Une explication possible serait que les filles qui entrent à l’école à un plus jeune âge se retrouveraient avec des copines plus vieilles qu’elles. Ces dernières auraient une influence sur leur poids, ayant des préoccupations quant à leur silhouette et leur apparence.

De plus, ces mêmes fillettes seraient exposées plus tôt aux différents préceptes de la bonne alimentation et aux différents programmes de mise en forme offerts.

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Preuves scientifiques quant aux liens de l’alimentation et du sexe du bébé

On peut lire dans le Daily Mail qu’une récente étude aurait jeté officiellement les bases pour qu’une grossesse résulte en un bébé de sexe féminin.

En effet, selon des chercheurs des Pays-Bas, un couple qui souhaiterait avoir une fille devrait suivre certains principes quant à la fréquence de ses relations sexuelles et l’alimentation de la future mère.

Ainsi, une femme devrait consommer beaucoup d’aliments contenant du calcium (yogourt, fromage, épinards, tofu, etc.) et du magnésium (noix de cajou, figues, céréales à grains entiers, etc.).

D’autres aliments devraient être évités, tels que ceux contenant beaucoup de sel et de potassium.

Les chercheurs de l’étude en question recommandent aussi aux couples souhaitant une fille d’avoir des relations sexuelles sur une base régulière, mais pas nécessairement avant ou après l’ovulation.

Pour tirer ces conclusions, ils ont suivi 172 femmes âgées de 23 à 42 ans. Toutes les participantes avaient déjà eu un garçon et souhaitaient avoir une fille.

On leur a demandé de suivre une diète et d’avoir des habitudes sexuelles comme il a été décrit plus haut. Or, plusieurs des participantes n’ont pas suivi toutes les règles à la lettre.

Malgré tout, parmi les 21 femmes qui avaient suivi le régime proposé de façon stricte, 16 ont accouché d’une petite fille.

Il semble que les deux méthodes combinées augmentent les chances de concevoir un bébé de sexe féminin.

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Une jolie femme a plus de chances d’avoir une fille

Une récente étude a fait un lien entre la beauté d’une femme et le sexe de son enfant.

Le Dr Kanazawa, de L’École d’économie de Londres, a mené cette étude des plus discutable s’il en est une. Selon lui, une femme au physique attrayant a plus de chances d’avoir des filles.

Des collègues et lui-même ont tout d’abord évalué la beauté de 17 000 enfants âgés de 7 ans. Plus tard, quand les sujets avaient atteint l’âge de 45 ans, on leur a demandé le sexe de leurs enfants.

Il semble donc que les femmes à qui l’on avait attribué un physique ingrat lorsqu’elles étaient plus jeunes ont plus souvent eu des garçons.

Les personnes qui étaient considérées comme jolies lorsqu’elles étaient enfants ont quant à elles eu autant de filles que de garçons.

Après cette suite de déductions, le Dr Kanazawa a conclu que ce lien était causé par la sélection naturelle, car la beauté sert plus aux femmes qu’aux hommes.

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Les troubles alimentaires plus nombreux chez les enfants

Nous apprenons dans Pediatrics que le nombre de cas de troubles alimentaires a considérablement augmenté chez les enfants durant les dernières années.

De 1999 à 2006, les hospitalisations pour cette raison ont grimpé de 119 % pour les enfants âgés de moins de 12 ans.

Parallèlement, une hausse a aussi été remarquée chez les garçons, lesquels représentent maintenant près de 10 % des cas, que ce soit pour l’anorexie ou la boulimie.

Quant aux jeunes filles, aux États-Unis seulement, 0,5 % d’entre elles sont anorexiques et 1 à 2 % sont boulimiques, selon les diagnostics de ces névroses.

L’Académie américaine de pédiatrie (APP) recommande donc aux parents d’être très vigilants et de remarquer le plus tôt possible les signes d’un trouble alimentaire. Ainsi, plusieurs problèmes de santé collatéraux aux troubles alimentaires pourraient être évités.

Les moyens actuels pour soigner l’anorexie et la boulimie sont les traitements médicaux, en santé mentale et en nutrition.

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Les petites filles déjà préoccupées par la minceur à trois ans

Une récente étude de l’Université de Pepperdine à Malibu, aux États-Unis, nous apprend que les petites filles sont déjà préoccupées par la minceur à un âge aussi jeune que trois ans.

Pour en arriver à ces conclusions, l’auteure de cette étude, Jennifer Harriger, a présenté à 55 fillettes 3 personnages auxquels elles devaient associer un adjectif. Physiquement, il y avait un personnage gros, un de taille moyenne et un mince.

Des qualificatifs négatifs étaient attribués à une échelle de 3,1 mots au personnage dit « gros ». Les mots en question étaient stupide, bruyant, moche, etc. Le personnage dit « mince » n’a reçu que 1,2 mot négatif en moyenne.

À l’opposé, des qualificatifs positifs aussi éloquents que gentil, intelligent, beau et amical étaient accordés selon un taux de 2,7 au personnage mince, contre 1,2 au personnage corpulent.

Finalement, les petites filles disaient en majorité vouloir jouer avec le personnage mince. Il est donc évident que la publicité actuelle leur apprend qu’avoir un surplus de poids est mauvais.

Tristement, l’obsession de la minceur et de la perte de poids de la société actuelle semble affecter jusqu’aux plus jeunes filles.

 

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Les stéréotypes sont appris en garderie

Une étude parue dans Child Development nous apprend que de simples consignes données par l’éducatrice pousseraient les enfants à respecter les stéréotypes établis.

En effet, une équipe de chercheurs de l’Université de Pennsylvanie a démontré que certains gestes communs en garderie encourageraient les enfants à choisir des jeux et des jouets attribués socialement à leur sexe. Les enfants seraient même moins portés à jouer avec ceux de l’autre sexe.

Il s’agit là de consignes qui semblent sans intention, telles « Bonjour, les garçons et les filles! » ou « Les filles, placez-vous ici en rang, les garçons, assoyez-vous. »

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont suivi, pendant 2 semaines, 57 enfants âgés de 3 à 5 ans dans deux milieux préscolaires semblables.

Dans l’une des classes, l’éducatrice parlait en incluant les garçons et les filles. Dans la deuxième classe, l’éducatrice devait dire ses consignes en posant des différences de genre, mais sans faire de comparaison entre les deux groupes.

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Les jeux vidéo seraient bons pour les garçons

Des chercheurs de l’Université Yale ont remarqué que les jeux vidéo avaient des effets sur les garçons et les filles.

Selon leurs résultats, parus dans Pediatrics, les garçons auraient des bénéfices à tirer en jouant à ces jeux mais l’impact serait tout le contraire chez les jeunes filles.

En fait, il semble que les garçons adeptes de ces activités seraient moins portés à fumer la cigarette et à consommer de la drogue (ici, de la marijuana). Ils auraient aussi tendance à avoir de meilleurs résultats scolaires.

Les filles qui s’adonnent à ces mêmes jeux, quant à elles, auraient plus de risques d’être mêler à des disputes avec coups ainsi qu’à posséder une arme.

On a pu tirer ces conclusions d’après un sondage réalisé auprès de 4 028 adolescents du Connecticut, les questionnant sur leurs habitudes de jeux vidéo et leur comportement en général.

Un peu plus de la moitié de ces jeunes jouaient à des jeux électroniques sur une base hebdomadaire. Parmi ceux-ci, plus de 75 % étaient des garçons.

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Vera Farminga a eu une petite fille

Vera Farminga et son mari, Renn Hawkey, ne voulaient pas connaître le sexe de leur deuxième enfant avant l’accouchement.

C’est maintenant chose faite. Selon People, une petite fille s’est jointe à la famille le 4 novembre dernier. Elle s’appelle Gytta Lubov.

Le couple avait déjà un fils, Fynn, qui est âgé de 22 mois.

Rappelons que l’actrice s’était fait remarquer pour sa participation au film Up In The Air, sorti en salles en 2009. Elle y avait joué aux côtés de George Clooney.

Quant à l’heureux papa, aussi connu sous le nom de scène Dr. Nner du groupe Deadsy, il a quitté le monde musical pour se consacrer à sa vie familiale en 2008.

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Les filles provenant de foyers démunis ont des enfants plus jeunes

Une étude vient de démontrer que ces jeunes filles seraient poussées à avoir des enfants plus tôt dans leur vie que celles ayant grandi au sein d’une famille plus stable.

Selon Mail Online, des psychologues de l’Université de Newcastle ont pu tirer certaines conclusions en étudiant le cas de 4 553 femmes qui étaient toutes nées durant la même semaine de mars 1958.

Ainsi, il semble qu’une enfant qui est séparée de sa mère durant les premières années de sa vie fonderait une famille deux ans plus tôt en moyenne qu’une fille ayant grandi dans un milieu stable.

Plus précisément, le Dr Daniel Nettle, qui a dirigé cette étude, a pu statuer qu’une séparation de 6 à 24 mois durant les 5 premières années de vie avait l’impact cité.

Une tendance semblable a été observée si le père est absent durant ces mêmes années. Dans ce cas, les jeunes femmes ont des enfants un an plus tôt en moyenne.