Catégories
Hollywood PQ

Blackface: Roy Dupuis réagit au retrait d’un épisode des Filles de Caleb sur Netflix

Le terme «blackface» ne voulait rien dire pour beaucoup de gens, il y a 30 ans et encore moins au siècle dernier.

Aujourd’hui cependant, la plupart des gens savent pourquoi le geste de se peinturer le visage en noir est insultant et péjoratif pour toute une communauté. C’est pour cela que lorsque nous réécoutons certaines œuvres cinématographiques, il y a parfois un petit choc de générations et de mentalité.

C’est le cas avec la série Les Filles de Caleb.

Effectivement, dans l’un des épisodes nous pouvons apercevoir Roy Dupuis alias Ovila se peinturer le visage en noir pour un spectacle. C’est pour cette raison que Netflix a opté pour la suppression complète de cet épisode. Malgré tout, Tou.tv a choisi de conserver l’épisode en question tout en y ajoutant cet avertissement:

«Ce programme est proposé tel qu’il a été originellement créé et peut contenir des représentations sociales et culturelles différentes d’aujourd’hui.»

Voilà que notre cher Roy Dupuis, Ovila lui-même, a décidé de commenter l’affaire, rapporte La Presse!

«C’est un peu exagéré. La série se passe à Saint-Tite, au 19e siècle (…) C’est une erreur de vouloir effacer l’histoire. Je comprends que ça puisse offusquer des gens, mais il y a des limites. L’histoire ne se passe pas aujourd’hui, ça se passe au 19e siècle! Si on mettait en scène la nativité aujourd’hui, je suppose qu’on ferait appel à un acteur noir pour la faire, mais à l’époque il n’y en avait pas de Noirs à Saint-Tite, donc par respect pour l’histoire de la Bible, on a représenté tous les personnages, incluant le roi mage noir. Donc aujourd’hui, on ferait pareil», lance Dupuis, toujours selon cette même source.

Marina Orsini alias Émilie Bordeleau n’a rien dit concernant ce débat encore.

Catégories
Potins

La série culte Les filles de Caleb sur Tou.tv!

Peu importe la génération dans laquelle nous sommes, lorsque nous entendons Les filles de Caleb, nous savons de quoi il s’agit.

Des livres, une série télévisée, une œuvre d’art.

Cette série a été diffusée, la première fois, en 1990-1991. Les filles de caleb, c’est d’abord la trilogie d’Arlette Cousture, un best-seller. Ensuite, l’auteur Fernand Dansereau et le réalisateur Jean Beaudin ont adapté les livres à la télévision et le résultat fut spectaculaire.

Si vous n’avez jamais visionné la série, il est justement temps de vous reprendre, car la série culte sera disponible sur Tou.TV Extra à compter du 28 septembre 2022. Puis, si vous avez déjà regardé la série, pourquoi ne pas vous replonger dans les aventures d’Émilie Bordeleau (Marina Orsini), cette jeune femme courageuse et magnifique?

L’actrice principale, Marina Orsini, semble bien heureuse de la rediffusion. Nous pouvons imaginer qu’elle en garde bien des souvenirs!

Catégories
Potins

Sandra Bullock célèbre son anniversaire à la cowboy

Sandra Bullock s’est permis d’entamer les festivités entourant son anniversaire quelques jours avant sa date de naissance, rapporte BANG Media International, et l’actrice en a profité pour s’amuser dans un bar thématique du Far West jeudi dernier (24 juillet).

Celle que l’on imagine porter avec panache un chapeau de cowgirl a en effet célébré son 50e anniversaire au Million Dollar Cowboy Bar, à Jackson Hole au Wyoming. Profitant des artistes invités et de quelques copines, Sandra Bullock a donc mis la table pour son cinquantième anniversaire, un cap qu’elle aura finalement franchi dimanche dernier (27 juillet).

« Il y avait probablement six à dix femmes dans le groupe. Ça avait l’air d’une soirée de filles. Elles sont juste venues pour écouter le groupe. C’était pas mal détendu, elles n’ont pris qu’un verre. Sandra était radieuse, magnifique et très gentille. Elle a semblé avoir beaucoup de plaisir », révèle une source.

Une photo de la star de Gravity et de Speed a été publiée sur Instagram. On y voit une Sandra Bullock effectivement en pleine forme, entourée de quelques copines, dont l’une arbore une tenue de cowgirl un brin révélatrice.

Forte du succès de Gravity, Sandra Bullock ralentit la cadence ces derniers temps, mais a confirmé sa participation à The Minions et The Heat 2, tous deux prévus pour 2015.

Catégories
Uncategorized

L’âge de la puberté des filles est héréditaire

Un conflit biologique entre les parents dû à des gènes « imprimés » (gènes dont l’activité diffère selon qu’ils sont transmis par le père ou la mère) déterminerait l’âge auquel se produit la puberté chez leurs filles, rapporte Santé Log.

Après la naissance, les gènes « imprimés » ont une influence sur la manière dont se développent les enfants. Soumis à empreinte parentale, certains gènes s’activent seulement s’ils sont hérités de la mère ou encore du père.

Cette activation ou non peut représenter un conflit biologique entre les parents, voilà ce qui aurait un impact sur l’âge de la maturité sexuelle des filles, explique l’étude de l’University Medical Center de Boston publiée dans la revue Nature à laquelle plus de 35 000 femmes en Islande ont participé.

Pour les chercheurs, cette découverte de conséquences complexes que peuvent avoir des éléments génétiques sur le corps des fillettes signifie qu’il y a peut-être un moyen de découvrir comment la puberté précoce augmente les risques de diabète, de maladies cardiovasculaires et de cancer du sein chez les femmes.

Catégories
Uncategorized

Always envoie un message important aux jeunes filles

Se faire dire tu cours, tu joues, tu lances, tu te bats « comme une fille » a une consonance péjorative, et les jeunes filles qui amorcent les changements de la puberté ont une estime « fragilisée », mentionne SheKnows.

Always a donc trouvé le moyen de changer cette perspective à la suite d’un sondage effectué auprès de 1300 jeunes femmes de 16 à 24 ans. On leur a demandé ce que signifiait pour elles de faire quelque chose « comme une fille ».

Si la pensée populaire veut que cette expression qualifie le ridicule, l’incapacité et la gaucherie, ces demoiselles avaient une tout autre opinion de ce que signifie vraiment « être une fille ».

Selon Amanda Hill, directrice du Feminine Care Brand de Always, les résultats démontrent que les mots sont blessants pour 90 % des filles. « Les mots sont puissants et ont de l’importance pour les filles, que cela vienne des parents, des pairs ou de la société en général. »

Catégories
Uncategorized

Les moqueries peuvent mener à l’obésité chez les filles

Les paroles blessent et laissent des cicatrices. Que ce soit le parent qui passe trop souvent des commentaires sur la rondeur de sa fille ou les camarades de classe, ceux-ci peuvent entraîner des conséquences à long terme.

Selon la revue JAMA Pediatrics , l’anxiété et l’angoisse chez l’enfant, surtout quant à son poids, peuvent se transformer en trouble de l’alimentation éventuellement.

Une recherche a été menée auprès de 2300 filles de 10 ans par Janet Tomiyama, professeure de psychologie de l’Université de Californie. La collecte des données s’est échelonnée sur 9 ans.

Qu’elles aient été minces, en léger surpoids ou déjà obèses, les fillettes ayant reçu des commentaires désobligeants sur leur poids, provenant de proches ou d’amis, étaient plus à risque d’être obèses à 19 ans.

Les remarques de la famille entraînaient 1,6 fois plus de chance d’être obèse, alors que les moqueries de camarades de classe ou amis portaient ce résultat à 1,4 fois.

Surtout au niveau de la famille, donc, plutôt que de critiquer l’enfant, il serait tout indiqué de l’aider à trouver une solution.

Catégories
Uncategorized

Sexualité et pornographie, peu de différence entre garçons et filles

La recherche provient de Magdalena Mattebo, du département de la santé des femmes et enfants de l’Université Uppsala.

Un questionnaire distribué à plus de 800 adolescents suédois de 16 ans a mis en lumière les intérêts, fantasmes, opinions et expériences sexuelles des jeunes d’aujourd’hui.

L’information la plus surprenante provenant des données réside dans le fait que tant les filles que les garçons croient que leur vie sexuelle est directement influencée par la pornographie.

« C’était inattendu de constater que plus d’une fille sur 10 affirmait qu’elle ne regardait pas assez de pornographie à son goût », explique Mattebo. « Aussi surprenant de constater qu’il n’a aucune différence entre les garçons et les filles relativement aux fantasmes. »

Les filles prenaient même le dessus quant à l’expérience sexuelle, au niveau oral, vaginal et anal. Cependant, garçons et filles se situaient sur le même niveau quant aux partenaires sexuels, que ce soit d’avoir un ami pour le sexe, un partenaire d’une nuit ou de sexe en groupe.

Cependant, la perception de multiples partenaires n’a pas changé. Pour un garçon, cela lui garantit une grande popularité, alors que pour la fille, elle demeure une traînée.

Catégories
Uncategorized

Des résultats scolaires moins élevés chez les adolescentes obèses

Selon ce que rapporte Medical News Today, cette recherche est la première du genre à relier la variation des résultats scolaires à l’obésité. Le détail a été publié dans la revue International Journal of Obesity.

Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), en 2012, plus du tiers des adolescents aux États-Unis était en surpoids ou obèses.

Sur l’échantillon de 6000 adolescents de la présente étude, 71,4 % avaient un poids santé, 13,3 % étaient en surpoids, et 15,3 % étaient obèses. Les résultats scolaires ont été vérifiés à l’âge de 11, 13 et 16 ans.

Les résultats obtenus indiquaient que ce sont les filles obèses qui tendaient à une performance scolaire plus basse.

La recherche effectuée par le professeur John Reilly de l’Université de Strathclyde au Royaume-Uni a donc déterminé un lien clair chez les filles, mais pas chez les garçons.

« Nous devons continuer à tenter de comprendre pour quelle raison l’obésité a des conséquences négatives sur la performance scolaire. Il est clair que les adolescents, parents et responsables de l’éducation et de la santé publique doivent être conscients de l’impact à long terme sur l’éducation et l’économie de l’obésité. »

Catégories
Uncategorized

Trouble anxieux chez l’enfant, gage de rechutes s’il est mal traité

La recherche a été menée aux États-Unis, sous le titre CAMELS (Child/Adolescent Anxiety Multimodal Extended Long-term Study), auprès de 288 volontaires âgés de 11 à 26 ans.

Les participants ont tous été traités pour troubles anxieux, à la suite d’une évaluation d’un spécialiste de la santé. Les notions de présence de troubles anxieux, de sévérité de l’anxiété et du fonctionnement quotidien global de l’individu ont été analysées.

Les jeunes ont été suivis à l’aide d’une thérapie cognitivo-comportementale, de la médication, une combinaison des deux, ou encore à l’aide d’un placébo. 

Les jeunes ont été réévalués 6 ans après le début des traitements. Si près de la moitié (46,5 %) étaient en rémission, il n’en demeure pas moins que 48 % des participants avaient subi un autre épisode de trouble anxieux nécessitant un traitement, les filles étant deux fois plus à risque de rechute.

Ceux ayant été traités à l’aide de médication étaient également plus à risque de vivre à nouveau de l’anxiété si le traitement n’était pas suffisamment long.

« Ce n’est pas parce qu’un enfant réagit bien à un traitement précoce que notre travail est fini, et que nous pouvons baisser la garde », explique la psychologue Golda Ginsburg, dans des propos rapportés par Top Santé.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Jama Psychiatry.

Catégories
Uncategorized

Puberté précoce reliée à l’agressivité chez les jeunes filles

Ce sont des chercheurs de l’Université d’Alabama à Birmingham qui sont arrivés à cette conclusion.

« La délinquance et l’agressivité placent les adolescents dans des situations négatives pour leur futur, incluant un faible niveau d’éducation, la consommation de drogue et d’alcool, la dépression et des problèmes relationnels », explique Sylvie Mrug, responsable de la recherche.

La puberté précoce chez les jeunes filles a déjà été reliée à différentes problématiques lors de précédentes recherches. Notamment, l’obésité, une plus petite stature, une vie sexuelle active précoce, un niveau de stress plus élevé, des troubles comportementaux et un risque un peu plus élevé de cancer du sein plus tard.

Les chercheurs ont découvert que bien que le niveau d’agressivité physique diminue au-delà de 16 ans, le comportement délinquant, lui, persiste.

Pour l’étude, les spécialistes ont interrogé 2600 adolescentes et leurs parents à 3 différentes périodes entre 11 et 16 ans. Il était également question d’influence de la part des meilleures amies, si celles-ci avaient des comportements défiant l’autorité, le respect et à tendance agressive.

Le détail de la recherche a été publié dans la revue Pediatrics.