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Les garçons plus à risque d’être prématurés que les filles

L’étude a été menée par l’équipe dirigée par Dre Joy Lawn, de la London School of Hygiene & Tropical Medicine, en collaboration avec 50 chercheurs de 35 instituts.

La cause de cette disparité est due au développement intra-utérin plus rapide des fœtus de sexe féminin. « Dans le cycle du développement, les filles sont toujours un peu en avance sur les garçons. Les fillettes marchent avant les garçons, elles parlent avant les garçons, et c’est aussi vrai au niveau du développement dans l’utérus », a rapporté la Dre Lawn au journal Wall Street.

Cependant, selon Science World Report, les chercheurs se demandent encore quelle est la raison qui prédispose les filles à moins de problèmes à la naissance. D’ailleurs, même lorsque les garçons naissent à terme, ils sont plus à risque que les filles de complications, entre autres des troubles infectieux ou la jaunisse.

Plusieurs théories ont été évoquées par les spécialistes, mais l’une d’entre elles prévaut. Selon la Dre Marianne Legato, les chercheurs croient que la femme développe une réponse auto-immune lorsqu’elle porte un garçon. Les tissus mâles causeraient une inflammation au placenta, entraînant un plus faible apport nutritionnel et une diminution de l’oxygène.

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Des conseils d’estime de soi pour vos petites filles

Voici quelques valeurs à essayer de transmettre à votre fille afin qu’elle ait un rapport sain avec elle-même, selon Babble.

Mettre l’accent sur le positif : Il y aura sûrement des choses qu’elle n’aimera pas d’elle-même, mais faites-lui comprendre qu’elle a aussi beaucoup de traits positifs, et qu’elle n’a qu’à les mettre en valeur.

Aimer son corps : Peu importe son apparence, elle doit toujours se rappeler que son corps est une formidable machine, très puissante et efficace.

Trouver son propre style : Bénies sont les filles et les femmes qui ne suivent pas nécessairement les tendances, mais développent leur propre style.

Ne pas se comparer : Les comparaisons ne servent à rien. Chaque fille est différente, et c’est tant mieux!

Faire des efforts : Même si l’apparence n’est pas tout, elle reste quand même importante pour notre société. Faire des efforts pour toujours avoir l’air soignée rendra la vie plus facile.

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Des conseils d’estime de soi pour vos petites filles

Voici quelques valeurs à essayer de transmettre à votre fille afin qu’elle ait un rapport sain avec elle-même, selon Babble.

Mettre l’accent sur le positif : Il y aura sûrement des choses qu’elle n’aimera pas d’elle-même, mais faites-lui comprendre qu’elle a aussi beaucoup de traits positifs, et qu’elle n’a qu’à les mettre en valeur.

Aimer son corps : Peu importe son apparence, elle doit toujours se rappeler que son corps est une formidable machine, très puissante et efficace.

Trouver son propre style : Bénies sont les filles et les femmes qui ne suivent pas nécessairement les tendances, mais développent leur propre style.

Ne pas se comparer : Les comparaisons ne servent à rien. Chaque fille est différente, et c’est tant mieux!

Faire des efforts : Même si l’apparence n’est pas tout, elle reste quand même importante pour notre société. Faire des efforts pour toujours avoir l’air soignée rendra la vie plus facile.

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Les aptitudes spatiales entre les enfants des deux sexes

Même si les garçons et les filles ont une intelligence générale similaire, la recherche des 35 dernières années a montré de manière constante que les garçons réussissent mieux dans les tests liés aux aptitudes spatiales. Ceci pourrait expliquer pourquoi il y a encore beaucoup moins de femmes dans les champs d’étude et de travail qui mettent à profit ces compétences.

Des chercheurs australiens ont analysé des données provenant de plusieurs études et ont avancé que la différence observée entre les deux sexes pourrait bien être liée à l’identification sexuée des enfants. En effet, même si les enfants naissent fille ou garçon, il peut y avoir de grandes variantes dans leur degré d’identification et de cautionnement des rôles masculins et féminins.

Ainsi, le fait de posséder de bonnes aptitudes spatiales était fortement lié chez les enfants à l’identification sexuée envers le genre masculin, peu importe s’il s’agissait de garçons ou de filles.

Puisque le développement des aptitudes spatiales ainsi que de l’identification sexuée passent beaucoup par le jeu, les parents, les éducateurs et les enseignants auraient intérêt à effectuer « une inclusion délibérée des activités considérées comme typiquement masculines dans la vie de tous les jours, plutôt que d’encourager la ségrégation des activités selon le sexe des enfants », ont expliqué les auteurs, selon Science Daily.

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Les activités seraient le point tournant de la relation père-fille

Une nouvelle étude portant sur 43 pères et leurs filles met en lumière les événements les plus significatifs qui définissent leur relation.

Les activités, notamment le sport, ont été l’élément le plus souvent rapporté par les participants, autant les pères que les enfants.

Du point de vue des filles, les activités sportives étaient souvent mentionnées comme une chance de devenir le centre de l’attention de leur père. Les filles appréciaient aussi le fait que leur père était un « compagnon de jeu » privilégié pour apprendre à compétitionner, à prendre des risques et à s’affirmer.

Les pères, quant à eux, aimaient que le sport leur permette de développer une relation avec leur fille que celle-ci n’avait pas avec sa mère ou ses frères et sœurs. Les papas ont également souvent mentionné que cette activité partagée leur donnait l’occasion de « parler de tout et de rien ».

« Les activités partagées correspondent au style “masculin” du développement d’une relation et un lien de proximité qu’on appelle “être proches dans l’action”, contrairement au style “féminin”, qu’on appelle “être proches dans le dialogue,” » a expliqué l’auteur de l’étude, le professeur de communications Mark Morman, selon Medical News Today.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Human Communication.

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Une étude explique pourquoi les filles ont de meilleures notes que les garçons à l’école

Des chercheurs ont analysé les données provenant de plus de 5800 enfants de la maternelle à la cinquième année, comparant leurs résultats scolaires dans des tests standardisés à l’évaluation de leur performance par leur enseignant. Leur constatation : l’écart entre les sexes commence tôt et favorise uniformément les filles.

La différence entre les deux se trouvait, toujours selon l’étude, non pas dans les capacités cognitives, mais plutôt dans « l’attitude envers l’apprentissage » que démontraient les enfants.

Cet aspect était défini comme « la manière dont chaque enfant était investi dans la classe, la manière dont il ou elle gérait les problèmes de façon externe ou interne, la fréquence à laquelle l’enfant “perdait le contrôle” de soi, et la manière dont il ou elle développait des liens interpersonnels ».

Les filles performaient généralement mieux dans six aspects bien définis : l’attention, la persistance à accomplir une tâche, la volonté d’apprendre, l’autonomie, la flexibilité et l’organisation.

Sans en arriver à une conclusion définitive sur l’influence de l’enseignant dans cet écart, les auteurs ont remarqué que « la vaste majorité des enseignants au primaire sont des femmes », selon ScienceDaily.

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Un lien entre le stress en bas âge et l’anxiété à l’adolescence chez les filles

Une étude s’est attardée sur les liens entre l’exposition au stress dans les premières années de vie et le développement de problèmes de santé mentale comme l’anxiété et la dépression.

Les chercheurs ont analysé les encéphalogrammes de 57 adolescents, 28 filles et 29 garçons. Le cerveau de certaines filles présentait des connexions cérébrales plus faibles entre la région qui interprète les « menaces » perçues et la région qui permet de réguler les émotions négatives.

En étudiant l’historique de ces filles, les chercheurs ont pu observer que celles-ci avaient souvent eu une mère qui vivait beaucoup de stress lorsqu’elles étaient bébés. De plus, à l’âge de quatre ans, ces filles avaient un niveau de cortisol élevé – cette hormone étant directement liée au stress.

Les jeunes filles devaient également décrire leur niveau de stress au moment de l’encéphalogramme, mais ce facteur a été beaucoup moins significatif pour prédire leurs connexions cérébrales que leur historique d’exposition au stress, selon PsychCentral.

« Ces données posent des questions sur la manière dont les garçons et les filles ont une réponse différente au stress vécu en bas âge. Nous savons que les femmes souffrent plus souvent de troubles d’humeur et de l’anxiété, et cette différence entre les sexes est très prononcée, particulièrement à l’adolescence », a rapporté l’auteur de l’étude, Richard Davidson, un professeur de psychologie et de psychiatrie à l’Université du Wisconsin à Madison.

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Le vaccin contre le papillomavirus humain est généralement sécuritaire

À la suite d’une analyse de données concernant 189 629 jeunes filles et femmes âgées de 9 à 26 ans ayant reçu le vaccin contre le papillomavirus humain, des chercheurs ont conclu que celui-ci pouvait être considéré comme « sécuritaire » et faire partie d’une intervention clinique de routine.

Les auteurs ont toutefois noté que le vaccin était possiblement lié à un risque plus élevé d’éprouver des problèmes mineurs, soit un évanouissement le jour de l’immunisation (probabilité 6 fois plus importante) ainsi qu’une infection de la peau dans les deux semaines qui suivent (probabilité 1,8 fois plus importante).

L’étude, menée par Merck, a été réalisée à partir de la mise en marché du vaccin en 2006 et jusqu’en 2008, à la demande des autorités en santé américaines.

Les données sont parues dans la revue médicale Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

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Les filles atteintes de TDAH plus susceptibles de souffrir de troubles psychologiques

Les fillettes atteintes d’un TDAH seraient plus à risque de faire une tentative de suicide ou de se mutiler à l’âge adulte que les autres.

Ces jeunes filles seraient trois à quatre fois plus à risque de devenir suicidaires et deux à trois fois plus à risque de se mutiler si elles montrent des signes d’impulsivité.

« Nous savons que les filles avec un TDAH sont plus susceptibles d’être impulsives et d’avoir moins de contrôle sur leurs actions, ce qui pourrait expliquer ces résultats affligeants », explique l’auteur principal de l’étude, Stephen Hinshaw.

L’étude, publiée en ligne dans le Journal of Consulting and Clinical Psychology, mentionne aussi que les fillettes diagnostiquées très jeunes avec un TDAH ne s’en défaisaient pas si facilement. Elles continuent à avoir des symptômes, plus de problèmes psychiatriques et d’avoir recours à davantage de services psychologiques.

« Nos découvertes renforcent l’idée selon laquelle le TDAH chez les filles est particulièrement sévère et peut avoir de graves répercussions sur la santé publique », dit M. Hinshaw.

Rappelons que les chercheurs du NIH ont récemment découvert d’importantes altérations dans le développement du cerveau des enfants souffrant de TDAH.

En fait, les chercheurs ont vu que l’épaississement du cortex cérébral est retardé chez les enfants atteints de TDAH.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Que faire quand la puberté arrive trop tôt

De plus en plus de jeunes filles entrent dans la puberté à un très jeune âge, parfois même dès six ans. Dans certains cas, ce phénomène cache un problème plus grave. Par exemple, si votre petite fille a ses règles avant l’âge de 10 ans, il peut être bon de passer voir un médecin.

Certaines études ont déjà démontré que les fillettes avec un surplus de poids étaient plus susceptibles de commencer la puberté plus tôt. Le lait de soya et le BPA seraient également responsables de la puberté précoce selon certains théoriciens, mais il est complexe de prouver ces suppositions.

Il est possible de stopper cette puberté qui arrive trop tôt à l’aide de médicaments. Cependant, il reste que la puberté est naturelle et normale. C’est pourquoi l’endocrinologue du BC Children’s Hospital de Vancouver, Dina Panagiotopoulos, suggère aux fillettes de faire de l’exercice physique afin de s’assurer que le poids et la taille de l’enfant restent proportionnels.

Puis, il peut être bien de préparer votre fille au regard et au jugement des autres en classe, puisqu’elle aura plus de poitrine que les autres fillettes, entre autres.

Rappelons que les chercheurs ont constaté toutefois que les filles qui ont leurs premières menstruations plus tôt sont souvent plus dépressives lorsqu’elles atteignent le milieu de l’adolescence.