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Les garçons meilleurs en maths que les filles

L’étude publiée dans le Journal of Experimental Child Psychology explique que les garçons réagiraient plus rapidement face à un problème mathématique, ce qui pourrait leur valoir de meilleures notes dans cette matière.

En fait, les filles seraient plus calmes et prendraient mieux le temps de réfléchir à l’école. Elles essaieraient donc de croiser les données et de murir leur réflexion. Elles auraient moins de mauvaises réponses, mais répondraient à moins de questions.

Toutefois, les garçons se tromperaient plus facilement en se servant de leur mémoire au lieu de vraiment analyser le problème en détail.

Les experts ont également déduit que les filles étaient potentiellement aussi bonnes en maths que les garçons jusqu’au collège.

« Avec le temps, cette faculté à faire appel à la mémoire permet aux garçons d’être plus précis, plus justes que les filles », selon l’auteur de l’étude, Drew Bailey.

Rappelons cependant qu’une étude publiée en février dernier veut que les filles aient plus de facilité en arithmétique que les garçons, en raison de leurs aptitudes verbales et de leur facilité à mémoriser.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les filles de Demi Moore ne veulent pas abandonner leur mère

Il y a quelques jours, Radar Online rapportait que les trois filles de Demi Moore, Rumer, 23 ans, Scout, 21 ans, et Tallulah, 18 ans, avaient envisagé de demander une ordonnance restrictive contre leur mère afin qu’elle ne puisse plus communiquer avec elles.
 
On rapportait que l’actrice ne cessait de les appeler, de leur envoyer des courriels et des messages en pleurs, les suppliant de l’appeler. Tout ceci ne serait pas vrai.
 
« Il est vrai qu’elles ne sont plus proches et ne s’entendent plus comme avant, mais elles ne sont pas prêtes à aller aux extrêmes », a déclaré un proche au Us Weekly.
 
Rappelons que Demi Moore a suivi une cure de désintoxication en février dernier, après des mois de problèmes à la suite de sa rupture avec l’acteur Ashton Kutcher.
 
« Elles aiment leur mère au bout du compte et elles ne réussiront jamais à l’abandonner », ajoute la source.
 
Pour le moment, chacune a besoin de son espace. Moore passe la majorité de son temps dans l’Idaho et non à Los Angeles. Elle a des nouvelles par l’entremise d’amis ou de Bruce Willis, son ex-mari et père de ses filles.
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À 6 ans, elles veulent être sexy…

Certes, elles désirent devenir sexy et populaires, mais vouloir l’être immédiatement est une autre chose. L’hypersexualisation est partout. Les médias y sont pour beaucoup, mais certaines mères aussi, avec leurs exigences élevées de beauté et de succès.
 
Dans le cadre d’une étude menée auprès de fillettes âgées de 6 à 9 ans, effectuée par des psychologues du Knox College dans l’Illinois, la majorité des filles disent vouloir être sexy et bénéficier des avantages sociaux qui viennent avec.
 
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont montré deux sortes de poupées aux 60 petites filles participantes. L’une des poupées était « normale », alors que l’autre était « sexy » avec son maquillage et ses vêtements décolletés.
 
À chacune des enfants, les chercheurs ont posé les questions suivantes : « Quelle poupée te ressemble le plus? », « À qui aimerais-tu le plus ressembler? », « Avec qui aimerais-tu jouer? » et « Laquelle est la plus populaire selon toi? ».
 
Pour deux de ces questions, 68 % des fillettes ont affirmé qu’elles voudraient ressembler à la poupée sexy, tandis que 72 % étaient persuadées que la poupée sexy était plus populaire que l’autre.
 
Fait intéressant, les réponses étaient quelque peu différentes lorsque les chercheurs ont sondé un groupe de fillettes faisant partie d’un cours de danse. Elles tendaient davantage vers la poupée normale.
 
Les chercheurs, dont l’étude est parue dans la revue Sex Roles, ont conclu que le sport était sans doute un moyen pour développer une bonne estime en soi, l’appréciation de l’image corporelle et le sens du travail pour un corps sain.
 
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Les fillettes prennent plus de poids que les garçons

Ainsi, dès l’âge de huit ans, les filles ne font en moyenne que 17 minutes d’exercice physique par jour, ce qui représente le tiers de ce qui est recommandé. Les garçons, quant à eux, en font durant 24 minutes, selon une étude de la Newcastle University.

Sur les jeunes ayant participé à l’étude, seulement 4 % du temps des enfants était consacré à l’activité physique, soit environ vingt minutes.

Les chercheurs croient que cette tendance est une bombe à retardement d’obésité. De plus, l’auteur de la recherche, le docteur Mark Pearce, trouve inquiétant que les filles, à l’âge de huit ans, soient déjà moins actives que les garçons.

De précédentes études avaient déjà démontré que plusieurs filles perdaient leur intérêt pour le sport à l’adolescence, mais jamais on n’avait soupçonné qu’elles perdaient leur enthousiasme à un si jeune âge.

Le docteur Pearce croit qu’il faudrait que les jeunes filles perçoivent les femmes athlètes comme des modèles afin de les encourager à faire du sport.

Rappelons que plus des deux tiers des parents ne font presque pas d’exercice physique et, par conséquent, ne montrent pas l’exemple à leurs enfants.

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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Les femmes cardiaques donnent naissance à plus de bébés filles

Sur 200 femmes atteintes d’une maladie cardiaque diagnostiquée, qui ont donné naissance à 216 bébés, 75 % des poupons étaient des petites filles.

Ce sont les données observées par une récente étude iranienne présentée au Congrès mondial de cardiologie organisé par la Fédération mondiale du cœur.

Cette analyse a tenté de prouver qu’il peut bel et bien y avoir une relation entre l’état de santé de la mère et le sexe des bébés qu’elle est capable de mener à terme, mentionne le site SantéLog.

Rappelons qu’en 2011, une enquête parue dans la revue Human Reproduction établissait que le ratio des sexes pouvait être influencé par le stress de la mère, et que les fœtus féminins étaient plus résistants et pouvaient ainsi mieux survivre à la nervosité.

Pour le Dr A. Alizadehasl, de l’Université de Tabriz en Iran, il y a un espoir que « son étude déclenche une enquête plus poussée sur la relation entre le sexe de l’enfant et la maladie cardiaque de la mère ».

Les participantes de l’étude du Dr A. Alizadehasl souffraient majoritairement de valvulopathie, de cardiomyopathie dilatée et de cardiopathie congénitale non corrigée.

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Neil Diamond se marie une troisième fois

Le légendaire musicien a épousé sa gérante ce weekend à Los Angeles. La cérémonie se serait déroulée devant quelques amis et membres de la famille des mariés, a rapporté une source à la revue People.

« Katie et moi, nous nous sommes mariés hier; nous aurions aimé que vous soyez tous là. C’était magique! Amour, Neil », a écrit l’artiste sur Twitter hier (22 avril).

Il s’agissait du premier mariage de McNeil, qui avait rencontré Diamond en 2009 à l’occasion de son documentaire Neil Diamond: Hot August Night NYC, dont elle était la productrice.

Rappelons que le mariage avait été annoncé en septembre dernier par le chanteur lui-même sur sa page Twitter.

Lui et sa première femme, Jaye Posner, avaient eu deux filles, Marjorie et Elyn, tandis qu’avec sa deuxième épouse, Marcia Murphey, il avait eu deux fils, Jesse et Micah.

D’ailleurs, son second divorce à été le deuxième plus dispendieux de l’industrie du divertissement, coûtant plus de 150 millions de dollars. En première position se trouve celui de Mel Gibson et de son ex-femme, Robyn Moore.

Le chanteur de Sweet Caroline célèbre cette année sa cinquantième année de carrière.

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Les TDAH seraient surdiagnostiqués

C’est ce que la revue Psychotherapeut et le Journal of Consulting and Clinical Psychology publiaient hier (1er avril). En effet, les experts soupçonnent les psychiatres de poser des diagnostics erronés selon leur intuition et des critères peu clairs plutôt que des indices reconnus.

En fait, la plupart d’entre eux se baseraient sur des données relevant de symptômes prototypes, comme être de sexe masculin, présenter une agitation, un manque de concentration et une impulsivité. Cependant, ces symptômes mènent à un diagnostic différent selon le sexe du patient. Ainsi, les garçons seraient plus souvent diagnostiqués à tort que les filles.

De plus, les hommes pratiquant le métier donneraient plus de ces diagnostics que les femmes psychiatres ou psychologues.

Le nombre d’enfants diagnostiqués aux États-Unis est de 10 millions, et ce nombre aurait augmenté de plus de 66 % en 10 ans, rapporte une étude de la Northwestern University aux États-Unis.

L’une des conséquences de ces nombreux mauvais diagnostics est l’augmentation du nombre de prescriptions, en plus avec des doses quotidiennes plus élevées.

Les auteurs de la recherche décrient l’inexistence de recherches pour pallier le problème. « En dépit de l’ampleur du phénomène, très peu d’études empiriques ont abordé cette question », déplorent-ils.

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Sexe des bébés : le stress a-t-il un impact?

Pour en arriver à cette conclusion, des chercheurs de la New York University ont étudié minutieusement les actes de naissance des bébés chiliens entre 2004 et 2006. Les conséquences du tremblement de terre d’une magnitude de 7,9, le 13 juin 2005, ont été analysées.

Il semble que non seulement le nombre d’accouchements prématurés a explosé (une femme chilienne sur dix, contre 6 % de la population générale), mais les femmes enceintes ont davantage donné la vie à des petites filles.

Les chiffres démontrent que depuis plusieurs années, plus de garçons voyaient le jour que de petites filles, soit un ratio de 51 pour 49. L’enquête de ces chercheurs démontre maintenant une diminution de 5,8 % de cette proportion. Il y aurait donc aujourd’hui, en moyenne, 45 naissances masculines pour 55 féminines. Y aurait-il un lien avec le rythme de vie qu’ont les femmes aujourd’hui? La question se pose…

Le cortisol, l’hormone de stress, pourrait avoir un effet direct sur le placenta. Il serait donc à prendre en considération également dans le bon déroulement de la grossesse.

Malgré ce constat, les scientifiques ne sont pas prêts à affirmer un lien direct entre le stress et le sexe du bébé. En revanche, ils confirment que les fœtus garçons seraient davantage concernés par les fausses couches.

Étant moins résistant au stress maternel, les fœtus masculins ont également besoin davantage de place dans le ventre de leurs mères et exigent ainsi beaucoup plus de l’organisme de la mère.

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L’école unisexe serait un échec

Plusieurs parents choisissent d’envoyer leur enfant dans une école pour filles ou pour garçons seulement, croyant que cela améliorera ses résultats scolaires. Pourtant, une récente étude parue dans Science dément ce présupposé.

Il semble que le fait qu’un enfant soit inscrit dans une école unisexe ne changerait rien à sa réussite scolaire, et que ses apprentissages n’en seraient pas bonifiés.

Au contraire, les stéréotypes sexistes entre les enfants et les professeurs en seraient encouragés, et le sexisme deviendrait plus légitime.

Les dernières années nous ont pourtant montré une popularité grandissante pour ce type d’établissement scolaire. On a donc voulu relever ce qui en découlait pour les enfants du point de vue de la réussite scolaire.

On remet aussi en question, par cette recherche, la conception répandue selon laquelle les garçons et les filles apprendraient différemment.

Selon les chercheurs, les interactions tant positives que négatives entre filles et garçons représentent une manière efficace d’améliorer les relations entre ces deux groupes.