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Les jeunes filles plus affectées par les beuveries

Une étude effectuée par l’Université de la Californie à San Diego et l’Université de Stanford démontre que les beuveries sont plus dommageables pour le cerveau des jeunes filles.
 
Et les effets vont bien au-delà de la simple gueule de bois du lendemain. L’étude rapporte que leurs neurones sont plus affectés.
 
On a examiné le cerveau de 95 jeunes femmes. 40 d’entre elles avaient participé à une beuverie (au moins quatre verres d’alcool de suite pour une femme et cinq pour un homme).
 
L’activité cérébrale de plusieurs zones du cerveau, dont celles de la mémoire et de la capacité d’attention, était considérablement réduite avec une grande consommation d’alcool. Les effets pouvaient se ressentir à long terme également.
 
« Cela suggère que les adolescentes pourraient être particulièrement vulnérables aux effets négatifs d’une consommation excessive d’alcool », mentionne la professeure en psychiatrie et coauteure de l’étude, Susan Tapert.
 
On croit que l’alcool affecte plus le cerveau des filles, car le développement de ce dernier est en général jusqu’à deux ans en avance comparativement à celui des garçons, donc les dommages sont plus grands. Aussi, les filles ont un métabolisme plus lent, un indice de masse graisseuse plus important et un poids moyen inférieur.
 
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Rappel de vêtements pour filles Joe Boxer

Santé Canada a convenu que deux modèles de vêtements de nuit pour filles de la marque Joe Boxer présentaient des risques d’inflammabilité exposant donc les enfants à des risques de graves brûlures. Ces vêtements sont amples et peuvent facilement entrer en contact avec une source de chaleur.
 
Les vêtements portent le numéro d’article CA 30885. Les modèles concernés sont le J691012, une camisole bleu clair ornée d’un cœur souriant sur le devant et d’un boxeur rose pâle. Il a été vendu entre juin 2009 et octobre 2009. Le deuxième modèle est le J671147, une camisole avec une binette devant et un boxeur avec la même effigie et une boucle en satin à la taille. Il est offert en rose, bleu, vert et calcaire. Ce modèle a été vendu entre février 2009 et juillet 2010.
 
Les consommateurs sont priés de retourner les vêtements au fabricant ou de contacter Boys Will Be Boys au 1-514-380-0000 poste 289.
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La puberté des jeunes filles encore plus précoce qu’on ne le croyait

Une vaste étude du Dr Frank Biro, du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center, révèle que la puberté des jeunes filles est beaucoup plus précoce que de précédentes études le laissaient croire.

 

Ont participé à cette recherche, qui s’est échelonnée sur 30 ans, 1 239 Américaines. On note qu’une grande partie des jeunes filles ont des seins qui se développent dès l’âge de sept ou huit ans.

Le début de la puberté varie d’une origine ethnique à l’autre. Ainsi, les Blanches sont entre 10,4 % et 18, 3% à être pubères à 7 ou 8 ans, les hispaniques entre 14,9 % et 30,9 %, alors que chez les Noires, entre 23,4 % et 42,9 % des jeunes filles débutent leur puberté à cet âge.

Selon le journal Pediatrics, plusieurs facteurs peuvent influencer le phénomène, mais les chercheurs croient que l’obésité grandissante des enfants y est pour beaucoup. Le nombre de jeunes filles entre 6 et 11 ans souffrant d’obésité a doublé, depuis 1960. Un surplus de poids stimule l’hormone de la puberté, la leptine.

Malheureusement, on note également qu’une puberté précoce est souvent accompagnée d’une tension artérielle trop haute et d’un taux de sucre trop élevé, présage de diabète également.

À noter qu’une grande consommation de viande et de lait peut aussi influencer le début de la puberté, ainsi que certains produits chimiques que l’on retrouve dans le maquillage et vernis à ongles, qui peuvent stimuler œstrogène.

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Rapport troublant sur les jeunes filles

Le Times fait part des troublants résultats d’un sondage réalisé auprès des jeunes filles.

Le plus surprenant est que dès l’âge de 10 ans, les jeunes filles deviennent de plus en plus obsédées par leur poids et veulent désespérément être minces, non pas pour leur santé, mais pour répondre aux critères de beauté de la société actuelle. Ainsi, on observe une dramatique baisse de l’estime de soi.

Bien que l’obsession du poids chez les jeunes filles ne soit pas nouvelle, cela commence maintenant de plus en plus jeune. En plus des troubles alimentaires et des nombreux régimes draconiens, on fait face aux chirurgies esthétiques très tôt.

Selon l’étude dévoilée par le Times, 12 % des jeunes filles âgées de 11 à 13 ans envisagent de recourir à des chirurgies, comme un anneau gastrique ou autre opération similaire. Ce pourcentage grimpe à 14 % chez les 13 à 16 ans. Ensuite, jusqu’à 21 ans, cela augmente radicalement à 50 % des filles qui souhaitent recourir au bistouri pour maigrir.

On rappelle qu’à cet âge, la chirurgie esthétique est loin d’être un choix éclairé. C’est seulement une réponse à la pression que subissent les adolescentes quant à l’apparence physique.