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Bébé et cie

Historique familial dépressif : une cause de vieillissement prématuré chez les jeunes filles

La nouvelle étude rapportée dans la revue scientifique Molecular Psychiatry apporte un nouvel aspect des prédispositions à la dépression. Est-ce le stress, la dépression ou la réduction de la longueur des télomères qui vient en premier et déclenche les autres?

Les télomères sont des structures situées à l’extrémité des chromosomes. En vieillissant, leur longueur diminue. Or, le stress oxydatif peut les raccourcir prématurément.

L’équipe de Ian Gotlib de la Stanford University de Californie a vérifié si la longueur des télomères pouvait être une condition déjà existante par hérédité et, donc, qui favorisait la dépression.

En tout, 97 filles de 10 à 14 ans ont été observées, mentionne Medical News Today. Elles avaient toutes un historique familial dépressif, mais étaient en parfaite santé au moment de l’étude.

Les résultats des tests d’ADN ont grandement surpris Gotlib. Il s’est avéré juste que les télomères de fillettes de 12 ans à haut risque de dépression à cause de l’historique familial étaient effectivement plus courts. Ceux-ci équivalaient aux télomères d’un adulte.

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Puberté précoce reliée à l’agressivité chez les jeunes filles

Ce sont des chercheurs de l’Université d’Alabama à Birmingham qui sont arrivés à cette conclusion.

« La délinquance et l’agressivité placent les adolescents dans des situations négatives pour leur futur, incluant un faible niveau d’éducation, la consommation de drogue et d’alcool, la dépression et des problèmes relationnels », explique Sylvie Mrug, responsable de la recherche.

La puberté précoce chez les jeunes filles a déjà été reliée à différentes problématiques lors de précédentes recherches. Notamment, l’obésité, une plus petite stature, une vie sexuelle active précoce, un niveau de stress plus élevé, des troubles comportementaux et un risque un peu plus élevé de cancer du sein plus tard.

Les chercheurs ont découvert que bien que le niveau d’agressivité physique diminue au-delà de 16 ans, le comportement délinquant, lui, persiste.

Pour l’étude, les spécialistes ont interrogé 2600 adolescentes et leurs parents à 3 différentes périodes entre 11 et 16 ans. Il était également question d’influence de la part des meilleures amies, si celles-ci avaient des comportements défiant l’autorité, le respect et à tendance agressive.

Le détail de la recherche a été publié dans la revue Pediatrics.

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Les fillettes prennent plus de poids que les garçons

Ainsi, dès l’âge de huit ans, les filles ne font en moyenne que 17 minutes d’exercice physique par jour, ce qui représente le tiers de ce qui est recommandé. Les garçons, quant à eux, en font durant 24 minutes, selon une étude de la Newcastle University.

Sur les jeunes ayant participé à l’étude, seulement 4 % du temps des enfants était consacré à l’activité physique, soit environ vingt minutes.

Les chercheurs croient que cette tendance est une bombe à retardement d’obésité. De plus, l’auteur de la recherche, le docteur Mark Pearce, trouve inquiétant que les filles, à l’âge de huit ans, soient déjà moins actives que les garçons.

De précédentes études avaient déjà démontré que plusieurs filles perdaient leur intérêt pour le sport à l’adolescence, mais jamais on n’avait soupçonné qu’elles perdaient leur enthousiasme à un si jeune âge.

Le docteur Pearce croit qu’il faudrait que les jeunes filles perçoivent les femmes athlètes comme des modèles afin de les encourager à faire du sport.

Rappelons que plus des deux tiers des parents ne font presque pas d’exercice physique et, par conséquent, ne montrent pas l’exemple à leurs enfants.

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Le stress et l’obésité derrière la puberté précoce

L’étude de chercheurs américains a démontré que la poitrine des petites filles dont le père était absent était 2,4 fois plus susceptible de se développer plus tôt.

L’enfant peut être affecté par des changements dans le milieu familial même si les relations entre les parents ne sont pas tendues.

« Il peut y avoir un beau-père ou l’enfant peut vivre dans deux maisons. Tout ça est assez stressant, et c’est beaucoup plus commun aujourd’hui que ça ne l’était avant », explique Richard Sharpe du Center for Reproductive Health.

Aussi, ils ont établi un fort lien entre la puberté précoce, les relations sexuelles à un jeune âge ainsi que la grossesse à l’adolescence.

De plus, les chercheurs ont remarqué que le stress à long terme menant à la puberté précoce pouvait être dû à la pression des parents de jeunes filles pour qu’elles réussissent à l’école et se conforment aux autres.

Toutefois, ces facteurs ne font pas qu’accélérer la croissance des filles. En fait, la puberté précoce est liée à un risque plus élevé de cancer du sein plus tard dans la vie.

Rappelons qu’il n’y a pas que ces facteurs émotionnels qui peuvent accélérer le développement des jeunes filles. Une grande consommation de viande et de lait peut aussi influencer le début de la puberté, de même que certains produits chimiques que l’on retrouve dans le maquillage et le vernis à ongles, qui peuvent stimuler la production d’œstrogène.

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Le stress augmenterait le risque d’obésité chez les filles

C’est ce qu’une étude publiée dans l’édition du mois de mai de Pediatrics révèle.

L’étude s’est faite sur 1605 enfants de niveau préscolaire. Les experts ont noté différents facteurs de stress, comme les symptômes dépressifs chez la mère, la consommation de substances par celle-ci, l’insécurité à la maison ou encore la violence conjugale.

À l’issue de leur recherche, ils ont découvert que les filles qui vivaient plus d’un de ces facteurs de stress avaient un risque accru d’être obèses à l’âge de cinq ans.

Les fillettes avec plus de deux de ces facteurs étaient encore plus à risque de développer l’obésité.

Cependant, du côté des garçons, aucune donnée significative pouvant relier le stress à l’obésité n’a été relevée par les chercheurs.

Selon les auteurs de l’étude, ces facteurs de stress sont souvent vécus par des familles plus fragiles.

Ils estiment que les adultes qui côtoient des enfants, une fois mis au courant de ces facteurs, pourraient reconnaître plus facilement les enfants à risque et aider à développer des programmes d’intervention.

Rappelons que le diabète de type 2, l’hypertension et l’obésité, qui sont des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans, atteignent même les bébés aujourd’hui.

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Le stress augmenterait le risque d’obésité chez les filles

C’est ce qu’une étude publiée dans l’édition du mois de mai de Pediatrics révèle.

L’étude s’est faite sur 1605 enfants de niveau préscolaire. Les experts ont noté différents facteurs de stress, comme les symptômes dépressifs chez la mère, la consommation de substances par celle-ci, l’insécurité à la maison ou encore la violence conjugale.

À l’issue de leur recherche, ils ont découvert que les filles qui vivaient plus d’un de ces facteurs de stress avaient un risque accru d’être obèses à l’âge de cinq ans.

Les fillettes avec plus de deux de ces facteurs étaient encore plus à risque de développer l’obésité.

Cependant, du côté des garçons, aucune donnée significative pouvant relier le stress à l’obésité n’a été relevée par les chercheurs.

Selon les auteurs de l’étude, ces facteurs de stress sont souvent vécus par des familles plus fragiles.

Ils estiment que les adultes qui côtoient des enfants, une fois mis au courant de ces facteurs, pourraient reconnaître plus facilement les enfants à risque et aider à développer des programmes d’intervention.

Rappelons que le diabète de type 2, l’hypertension et l’obésité, qui sont des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans, atteignent même les bébés aujourd’hui.

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Une poupée Barbie chauve pour les enfants malades?

C’est dans le but de donner un peu d’espoir aux fillettes atteintes d’un cancer qu’un groupe sur le réseau social Facebook s’est formé.

Beautiful and Bald Barbie est un groupe qui rassemble aujourd’hui plus de 30 000 personnes.

Ces dernières demandent à la société Mattel de produire une Barbie chauve qui aiderait à soutenir les petites filles dans leur lutte contre la maladie.

Rappelons que l’an dernier, Mattel a créé une Barbie chauve unique pour une petite Américaine de 4 ans qui s’appelait Genesis.

L’enfant se plaignait à ses parents de ne plus se sentir comme une princesse sans ses cheveux, perdus à cause de traitements de chimiothérapie. La compagnie lui avait alors offert Princesse Genesis, une poupée chauve avec un joli diadème rose de princesse, raconte 7sur7.be.

Le groupe espère cette fois que Mattel produira une poupée commercialisée dans le monde entier, qui pourra être offerte à tous les enfants malades.

L’idée semble plaire, alors que les commentaires de soutien se multiplient sur le réseau.