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Jennifer Lopez sera l’héroïne du drame sur les mineurs chiliens

L’actrice et chanteuse retrouvera Antonio Banderas et Martin Sheen, ses partenaires de jeu de Bordertown (2006), dans The 33, long métrage sur le fait divers le plus marquant de 2010, indique The Hollywood Reporter.

Jennifer Lopez intègre la distribution de cette réalisation de la cinéaste américano-mexicaine Patricia Riggen, saluée en 2007 avec La misma luna. Antonio Banderas, Martin Sheen, mais aussi Rodrigo Santoro complètent la liste des talents rassemblés à l’affiche.

En tournage cet automne, The 33 relatera le calvaire d’autant de mineurs chiliens coincés sous terre durant 69 jours. Leur détresse et leur sauvetage avaient mobilisés les médias du monde entier.

Le dernier film de Jennifer Lopez était Parker en janvier dernier. Nous l’avions aussi vue dans What to Expect When You’re Expecting en 2012, et elle avait prêté sa voix à Ice Age: Continental Drift cette même année.

Parmi ses projets, nous savons qu’elle produira Where in the World Is Carmen Sandiego?, film qui est encore en développement. Pour le moment, rien n’indique qu’elle y tiendra un rôle. 

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Cinéma

À Cannes, le cinéma indien montre un nouveau visage, loin de Bollywood

L’Inde est l’invitée d’honneur cette année à Cannes, un choix qui coïncide avec la célébration en Inde de cent ans de cinéma. Quatre films indiens ont été présentés en dehors de la compétition officielle pour la Palme d’Or, recueillant un accueil chaleureux.

Le pays a énormément changé au cours des quinze dernières années et les tournages ont aussi subi une petite révolution, soulignent les experts.

Quatre membres de la nouvelle génération de cinéastes indiens ont notamment foulé le tapis rouge à Cannes pour une présentation de Bombay Talkies, anthologie de courts-métrages.

« Beaucoup de réalisateurs ont commencé à faire des films au début des années 2000 », a expliqué à l’AFP, Dibakar Banerjee, qui incarne à 43 ans cette nouvelle génération. À partir des films traditionnels de Bollywood, ils ont imprimé « une orientation très nouvelle reflétant l’Inde urbaine d’aujourd’hui », a-t-il souligné.

Les cinéastes travaillent désormais dans nombre d’États, en particulier dans le Sud, pas seulement dans la Mecque de Bollywood, dont l’épicentre est Bombay (État du Maharashtra).

Le court-métrage de Dibakar Banerjee raconte l’histoire d’un acteur de théâtre au chômage depuis des années, qui obtient enfin un rôle. Celui de Karan Johar, 40 ans, évoque une relation gaie, sujet encore très tabou en Inde qui a provoqué la controverse. « L’homophobie est encore très prononcée » en Inde, a souligné le réalisateur.

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Cinéma

À Cannes, le cinéma fait de l’oeil à la littérature

Le 66e Festival de Cannes fait la part belle aux adaptations de livres, source d’inspiration inépuisable des cinéastes, avec cette année pléthore de films tirés de monuments de la littérature, comme The Great Gatsby, mais aussi de romans récents, de BD ou de manga.

Glamour et Côte d’Azur obligent, c’est The Great Gatsby, réalisé en 3D par l’Australien Baz Luhrmann, avec Leonardo DiCaprio dans le rôle-titre, qui ouvrira le bal le 15 mai, hors compétition. Il s’agit de la quatrième version cinématographique du roman culte de Francis Scott Fitzgerald, dont celle de Jack Clayton en 1974 avec Robert Redford.

Sérieux défi aussi pour l’acteur et réalisateur américain James Franco, en compétition dans la section Un Certain Regard avec As I Lay Dying, adapté du roman éponyme d’un autre monstre sacré américain, William Faulkner. Publié en 1930, le livre fait se croiser plusieurs narrateurs. James Franco a écrit et réalisé le film dans lequel il tient le rôle principal. Scénariste attitré de Howard Hawks, Faulkner a toujours refusé d’adapter ses romans à l’écran, préférant transposer ceux des autres. 

Quant aux films français sélectionnés, quatre sur six sont des adaptations.

Également en lice pour la Palme d’Or, Arnaud Desplechin présentera Jimmy P. (Psychotherapy of a Plain Indian), l’histoire d’un Amérindien, vétéran de la Seconde guerre mondiale, adaptée du premier livre de l’ethnopsychanalyste franco-américain Georges Devereux.

En course aussi pour la Palme, le réalisateur et acteur franco-tunisien Abdellatif Kechiche foulera pour la première fois le tapis rouge avec La Vie d’Adèle, tiré de la bande dessinée de Julie Maroh Le bleu est une couleur chaude (Glénat).

Et c’est le thriller du Français Jérôme Salle, Zulu, adapté du roman éponyme de Caryl Férey (Gallimard), qui clôturera hors compétition le festival le 26 mai.

L’Américain Steven Soderbergh proposera pour sa part Behind the Candelabra avec Michael Douglas et Matt Damon. La vie de ce pianiste de génie homosexuel a été romancée en 2010 par la Française Amanda Sthers dans Liberace (Plon).

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Oscars 2013 : hommage aux 85 meilleurs films en images

(Relaxnews) – L’Académie américaine des arts et sciences du cinéma s’est offert une affiche commémorative. Signée Olly Moss, elle offre 85 variations sur Oscar, le fameux trophée des Academy Awards, chacune inspirée des 85 lauréats du titre de meilleur film.

L’affiche sera exposée du 14 au 17 février à Los Angeles, à la Galery1988 Melrose. Elle est aussi visible de près en ligne ici.

Les cinéphiles pourront découvrir Oscar métamorphosé de 85 manières, selon les caractéristiques des héros des films primés, de Casablanca (1943) à Lawrence d’Arabie (1962) en passant par Silent of the Lambs (1991).

Les fans peuvent acquérir l’affiche ici pour un montant de 35 dollars.

Un 86e film s’ajoutera à la liste des gagnants de l’Academy Award du meilleur long métrage le dimanche 24 février.

Seth MacFarlane présentera la cérémonie diffusée sur les ondes de ABC aux États-Unis.

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Cinéma

La SODEC dévoile le choix des projets qu’elle appuie

La SODEC a dévoilé la liste des films qui recevront un soutien financier. C’est le cas par exemple du film Le temps que durent les roses, inspiré la vie de la cycliste Geneviève Jeanson, rapporte le Journal de Montréal.

Laurence Leboeuf tiendra le premier rôle aux côtés de Patrice Robitaille. La réalisation a été confiée à Alexis Durand-Brault (Ma fille, mon ange).

Sophie Lorain et Catherine Léger signent le scénario, qui raconte l’histoire d’une cycliste québécoise qui doit faire des choix lorsqu’elle fait face à des soupçons de dopage qui menacent la poursuite de sa carrière.

Le tournage débutera en avril en Belgique, avant de se déplacer à Montréal et Phoenix. On prévoit une sortie en salles en 2014.

La suite de 1981 de Ricardo Trogi, 1987,a aussi été retenue par la SODEC. Jean-Carl Boucher reprendra le rôle principal.

Parmi les autres projets choisis, on note Ghost(s) de Stéphane Lapointe, La marraine et moi de Jean-Philippe Duval, Premier amour de Guillaume Sylvestre et Qu’est-ce qu’on fait ici? de Julie Hivon.

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Le cancer, trop mortel dans les films?

Hollywood et ses confrères utilisent abondamment le cancer pour créer du drame autour des personnages d’un film ou d’une série télévisée. Trop souvent, ils dressent un portrait de cette maladie qui ne serait pas tout à fait véridique, explique nlhm.nih.gov à la suite d’une étude effectuée sur le sujet.

Les chercheurs affirment que les créateurs se doivent de montrer aux auditeurs et spectateurs que les diagnostics de cancer sont loin d’être assurément gages de mort certaine.

L’étude analysait 82 films dont le personnage central souffrait de cette maladie. On parle entre autres de Cat on a Hot Tin Roof, Gran Torino et Diary of a Country Priest. Les conclusions sont claires : les expériences dépeintes dans ces longs métrages s’avèrent très souvent loin de la réalité.

On recense qu’un personnage fictif atteint de cancer meurt 63 % du temps. Les traitements les plus utilisés en fiction sont la chimiothérapie et les antidouleurs. Les symptômes sont mentionnés 72 % du temps, et les tests de diagnostics, 65 %.

Le 20 septembre dernier, on présentait les résultats devant l’European Society for Medical Oncology à Vienne. « Maintenant, le cinéma se heurte aux problèmes les plus substantiels en matière de maladies oncologiques, qui étaient absents au tout début de cet art », déclare le Dr Luciano De Fioere, de l’Université de Rome.

Il ajoute : « Les patients survivent rarement grâce aux traitements dans les films. Heureusement, ceci est de moins en moins vrai dans la vie réelle », et conclut en parlant d’un « écart éducationnel » en ce qui a trait aux cancers retrouvés dans les films.

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Les dix films que vos enfants devraient voir

LOVEFiLM a choisi plusieurs longs métrages que vos enfants devraient voir pour le message qu’ils transmettent.

Pour réaliser ce classement, la compagnie a interrogé plus de 5000 adultes sur les films pour enfants les ayant le plus marqués durant leur jeunesse ou plus tard dans leur vie.

En première position, on retrouve Toy Story, le classique de Disney. Le premier opus de la série des films Toy Story est sorti en 1995. À ce jour, on compte trois films mettant en vedette le cowboy Woody et son fidèle ami Buzz. Toy Story est encore très populaire de nos jours, même que l’on prépare un quatrième film.

Puis, The Lion King remporte la deuxième place.

Home Alone, Labyrinth, The Jungle Book, Mary Poppins, The Wizard of Oz, The Neverending Story, Matilda et Up complètent la liste.

Tous ces films comprennent en fait une leçon de vie intéressante pour les enfants et sont divertissants pour les adultes.

Rappelons que la date de sortie de ces films n’a pas influencé leur popularité.

The Wizard of Oz, avec Judy Garland est sorti en 1939 et Up, le film d’animation de Pixar, est paru en 2009 et ils sont tous deux dans ce palmarès.

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Les scènes osées à l’écran influencent la sexualité des adolescents

(Relaxnews) – Sans grande surprise, une étude menée par des psychologues américains, et publiée dans la revue Psychology Science, a montré que les adolescents exposés à des scènes de sexe à la télé ou au cinéma étaient plus susceptibles de passer à l’acte à un plus jeune âge et avec un plus grand nombre de partenaires.

Des chercheurs du Dartmouth College, au New Hampshire, ont mené leur étude à partir de 700 films à succès chez les ados, parmi lesquels American Beauty et American Pie. Leurs résultats ont montré qu’en plus d’avoir une activité sexuelle plus jeune, les ados qui avaient vu ce genre de films étaient moins susceptibles de mettre des préservatifs lors de rapports sexuels occasionnels.

L’étude a pris en compte 1200 enfants âgés de 12 à 14 ans. Les psychologues leur demandaient de nommer les films qu’ils avaient vus, dans une liste de 50 titres pris au hasard. Et ce n’est que six ans plus tard qu’on les questionnait sur leur sexualité.

À la suite de ces résultats, le professeur Ross O’Hara, responsable de l’étude, a suggéré que « les parents devraient limiter les contenus à caractère sexuel que leurs enfants voient dans les films ».

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La 3D rend certains plus malades que d’autres

(Relaxnews) – La mode de la 3D à Hollywood a attiré de nombreux spectateurs en salles, mais certains se plaignent de nausées, de maux de tête et de douleurs aux yeux.

Une étude américaine publiée dans l’édition de juillet de la revue Optometry and Vision Science montre que les plus jeunes spectateurs et les personnes assises très près de l’écran sont plus susceptibles de ressentir les inconforts dus à la 3D.

« Les films en 3D sont biens tant qu’ils ne nous rendent pas malades », a expliqué l’auteur de l’étude, Shun-Nan Yang, du Pacific University College of Optometry de Forest Grove dans l’Oregon.

Pour cette étude, des chercheurs ont demandé à 203 adolescents et adultes de regarder le film familial sur un grand écran télé LCD. Certains l’ont visionné en 2D, et d’autres en 3D.

12 % des spectateurs en 2D ont éprouvé une gêne et un certain inconfort, contre 20 % pour les spectateurs en 3D. Ces derniers ont rapporté plus de douleurs aux yeux, la vue trouble ou double et des étourdissements. À noter que ces symptômes s’accroissaient souvent après 15 minutes de visionnage.

Heureusement, ces symptômes sont en général brefs et temporaires, et peuvent être limités si on s’assoit plus loin de l’écran, a ajouté Yang.

Les spectateurs âgés de 24 à 34 ans étaient plus malades à cause des images 3D que les personnes plus âgées, surtout celles au-delà de 46 ans, ont noté les chercheurs. Ils expliquent ce phénomène par le fait que les spectateurs plus âgés peuvent être moins sensibles aux stimulations visuelles ou que l’affaiblissement de leur vue rend les images 3D moins réalistes.

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Les jeunes enfants désirent aider les autres

En fait, c’est dès l’âge de deux ans que les enfants ressentiraient le besoin de venir en aide aux gens lorsqu’ils se font mal, cherchent quelque chose ou n’arrivent pas à atteindre leur objectif.

Les chercheurs se sont donc interrogés afin de savoir si l’espoir de recevoir quelque chose en retour ne les motivait pas ou s’il s’agissait de simple altruisme.

Ils ont fait visionner aux enfants de courts films durant lesquels un adulte échappait un objet. Ensuite, ils leur ont présenté trois scénarios différents. Dans le premier, le petit venait en aide à l’adulte, dans le second, c’était une autre personne qui l’aidait, tandis que dans le dernier, l’adulte devait se débrouiller seul.

C’est grâce à la grande dilatation dans le regard des petits exposés au troisième scénario que les experts ont pu affirmer que les enfants souhaitaient simplement que l’adulte reçoive de l’aide, et ce, qu’elle vienne d’eux ou de quelqu’un d’autre.

Rappelons aussi que le fait de donner quelque chose rendrait les jeunes enfants de deux ans plus heureux que le fait de recevoir une chose.