Selon PLoS ONE, 37 fraises par jour garderaient le neurologue, l’endocrinologue et même l’oncologue à distance.
La fisétine, un flavonoïde qui se retrouve en abondance dans les fraises, diminuerait les complications du diabète de type 1, comme les complications rénales et cérébrales. On noterait moins d’hypertrophie rénale et de protéinurie.
De plus, les examens en laboratoire exercés sur des souris démontrent que la consommation de fraises réduirait la multiplication des cellules cancéreuses de la prostate et pourrait même être efficace contre la maladie d’Alzheimer.
Soulignons que tout récemment, on mentionnait que les fraises aidaient à réduire le stress et amélioraient le niveau d’antioxydants dans le sang.
On disait également qu’elles entraînaient une diminution des effets du vieillissement et des risques de maladies comme le cancer, les maladies cardiaques et le diabète justement.